Les meilleurs jeux de stratégie (2022)

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Les meilleurs jeux de stratégie (2022)

Nerces

02 février 2022 à 14h28

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© Firaxis
© Firaxis

Au sens vidéoludique du terme, la « stratégie » est quelque chose de vaste, mais qui concerne essentiellement une seule plateforme, le PC. Il y a bien eu des incursions consoles réussies, mais comme vous allez le voir, notre sélection des meilleurs titres n’ouvre, hélas, pas souvent sur les supports PlayStation / Switch / Xbox.

Parler de jeu de stratégie englobe donc de nombreux styles. Ainsi, notre sélection des meilleurs titres associe la stratégie temps réel à des 4X, des jeux de gestion / stratégie à des jeux de grand strategy, des tactical à des affrontements tactiques en temps réel. Un joli mélange des genres qui a toutefois un point commun : il faut toujours mettre sur la tronche de nos adversaires !

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Age of Empires IV – Retour réussi pour la franchise historique

Age of Empires IV
  • Hommage réussi à AoE II
  • Huit civilisations très variées
  • Quatre longues campagnes
  • Large contenu solo / multi
  • Pan pédagogique remarquable
En rendant hommage au second opus de la franchise, Relic Entertainment ne se montre pas des plus entreprenants et son Age of Empires IV n'est pas la révolution que des amateurs appelaient de leurs vœux. Il s'agit cependant d'un très bon jeu de stratégie temps réel qui dispose de multiples composantes pour contenter le joueur solo autant que le fan de multi, l'historien autant que le néophyte. Un regret, l'aspect technique est nettement en retrait.

Disparue des radars depuis 2005, la franchise Age of Empires a signé son retour en novembre 2019 avec une petite bande-annonce. Age of Empires IV est sorti deux ans plus tard et il fait honneur aux précédents épisodes d’une franchise qui restera gravée dans les mémoires de tous les amateurs de STR (jeu de Stratégie en Temps Réel).

Age of Empires IV rend surtout hommage au second opus, Age of Kings. Il propose de choisir parmi huit peuples et couvre une période historique comprise entre le IXe et le XVIe siècle. On profite de campagnes solos bien scénarisées autant pour apprendre les rudiments du jeu que pour se faire plaisir en découvrant de grandes pages de l’histoire : l’invasion de l’Angleterre par Guillaume le Conquérant, la guerre de Cent Ans et l’épopée de Jeanne d’Arc, le développement de la grande principauté de Moscou et la montée en puissance de l’Empire mongol.

Développé par des spécialistes du genre, Relic Entertainment, Age of Empires IV parvient surtout à dépoussiérer le concept du jeu de stratégie temps réel sans délaisser ses racines. Il modernise les mécaniques du jeu sans jamais les trahir et apporte du sang neuf à une réalisation qui aurait peut-être mérité un petit peu plus d’ambition. Cela reste une merveille à essayer au plus vite.

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Crusader Kings III – Intrigues et manigances dynastiques

Crusader Kings III
  • Refonte esthétique réussie sur toute la ligne
  • Plus clair, plus lisible, mieux agencé
  • Didacticiel complet et système de bulles d'aide imbriquées
  • Hameçonnage et intrigue pour parfaire les coups bas
  • Plus roleplay que jamais (personnages 3D, modes de vie...)
  • D'innombrables heures de jeu en perspective
S'il n'est pas question de révolutionner la franchise, Crusader Kings III parvient à la sublimer. Plus beau, plus lisible et plus agréable à jouer, il peaufine la majorité des concepts précédemment mis en oeuvre de sorte que l'on puisse, plus que jamais, se raconter d'incroyables histoires d'alliances, de trahisons et d'improbables revirements.

Disponible depuis bientôt deux ans, Crusader Kings III est – on s’en serait douté – le troisième opus de la franchise imaginée par les Suédois de Paradox Interactive. Il s’agit d’un jeu de grand strategy ce qui, pour faire simple, signifie qu’il se focalise sur la stratégie à grande échelle, laissant de côté l’aspect micro-gestion de certains jeux.

Dans Crusader Kings III, on prend le contrôle d’une famille qui doit survivre – et si possible prospérer – entre les années 867 / 1066 et 1453. Contrairement aux autres jeux du genre, on ne dirige pas ici un pays ou une nation, mais une dynastie et, plus précisément, le leader de cette dynastie. Une partie du moteur du jeu reste le développement des régions sous son contrôle, la conduite d’opérations militaires et de savantes négociations pour tisser de profitables alliances, mais Crusader Kings III se penche aussi sur toutes les questions politiques.

Il faudrait plutôt ici parler d’intrigues et de manigances prenant pour cadre les relations entre des centaines de dynasties. La nôtre se doit de survivre, même si cela passe par des mariages forcés ou une partie de chasse risquée pour un oncle trop ambitieux. Bien sûr, tensions commerciales et troubles religieux ajoutent aux péripéties qui ne manqueront pas de se dresser sur notre chemin vers les titres de Duc, de Roi ou, pourquoi pas, d’Empereur.

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Gears Tactics – Quelques grammes de finesse dans un univers de brutes

Gears Tactics
  • Fan-service réussi autour de Gears
  • Réalisation de toute beauté, bande son qui prend aux tripes
  • Variété et personnalisation des soldats
  • Bestiaire locuste efficace, mais limité
  • Rythme des (bonnes) missions intéressant
  • Mécaniques de jeu bien pensées
Gears Tactics parvient avec un certain talent à transposer la franchise Gears of War, reine du TPS bien violent, au monde du tactical. On conserve bien sûr les caractéristiques de son univers, mais Splash Damage opère un joli travail pour aboutir à un jeu de combats bien mené avec de belles options tactiques.

L’univers de Gears of War est bien connu des fans de grosses pétoires qui tâchent, d’action à l’état pur et de dézingages en règle. Histoire de nous prouver qu’il est aussi possible de massacrer du Locust en faisant preuve d’une certaine finesse, Xbox Game Studios a confié la création d’un jeu de combats tactiques dans cet univers aux Britanniques de Splash Damage.

Sorti en avril 2020 sur PC et dans un second temps sur Xbox One / Xbox Series, Gears Tactics n’est certes pas le meilleur tactical disponible, mais il assure l’essentiel et procure de bonnes sensations. Il faut dire que Splash Damage est parvenu à conserver le côté délicieusement gore propre à Gears of War et à merveilleusement le mettre en scène sans que l’aspect tactique paraisse sous-représenté. En prélude réussi aux autres jeux de la franchise, Gears Tactics prend le temps de nous présenter ses personnages et, en particulier, Gabriel Diaz, le géniteur de la nouvelle héroïne de la franchise, Kait Diaz.

Les experts reprocheront sans doute un manque d’inventivité et de verticalité aux différentes cartes ainsi qu’une fin de campagne pas très inspirée, mais pour le reste, c’est du bon travail avec un jeu magnifiquement optimisé de sorte qu’il tourne bien même sur des PC modestes.

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Humankind – Melting pot stratégique

Humankind
  • Du neuf - et beaucoup - dans le 4X
  • Agrégation de civilisations bien pensée
  • Didacticiels clairs quoique un peu incomplets
  • Système d'événements bien vu
  • Montagne d'implications sur chaque choix
  • Diplomatie riche et intéressante
  • Gestion originale des combats
  • Une esthétique de toute beauté
Quand on se lance dans un projet aussi ambitieux que Humankind, il y a forcément quelques accrocs, mais Amplitude Studios parvient à nous offrir une alternative passionnante aux 4X déjà disponibles, incroyablement chronophage cependant !

Jeu de stratégie au tour par tour, Humankind est ce que l’on appelle un 4X. Il repose donc sur les quatre piliers – eXploration, eXpansion, eXploitation, eXtermination – chers au Civilization de Sid Meier, l’un des pionniers du genre. De fait, dans Humankind, il s’agit toujours de mener son peuple depuis l’âge de pierre jusqu’aux premières découvertes spatiales.

Imaginé par les Français d’Amplitude, Humankind se détache sur un point crucial : il n’est pas question de choisir une unique civilisation. Une partie est découpée en plusieurs périodes et, à chacune d’elles, on change de civilisation. L’idée est de montrer que les peuples évoluent à travers les âges tout en conservant certains traits du passé. Il en résulte des parties plus variées avec des peuples – et des bonus – que l’on change en fonction des besoins liés à la période : ici plus militaire, là davantage porté sur le commerce ou les sciences.

Humankind tente aussi de se distinguer dans sa manière d’aborder les combats, mais le résultat est peut-être moins convaincant. Pour autant, il s’agit d’une variation remarquée – et réussie – sur le thème du 4X, histoire de changer un peu de l’inévitable Civilization. Bonne pioche !

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Sid Meier’s Civilization VI – Le pionnier du 4X vieillit bien

JVFR

Sid Meier's Civilization VI

  • Le 4X au sommet de sa forme
  • Concept de villes élargies/quartiers
  • Prise en main remarquable
« Encore un tour », cette phrase a hanté les nuits des joueurs de Civilization et le sixième opus ne fait pas exception. Riche de multiples nouveautés, Civilization VI se distingue grâce à son concept de ville « élargie » et son système de quartiers. Pour le reste, c'est un classique indémodable qu'il faut absolument au moins essayer.

S’il n’est plus autant impliqué dans les productions de son studio – Firaxis – Sid Meier est l’un des plus grands créateurs de jeux vidéo et son Civilization est un titre qui a marqué des générations. Le sixième opus de la franchise est sorti en 2016 déjà et il a été complété par deux extensions.

Civilization VI est une œuvre référence qui a encore marqué des millions de joueurs et écourté bien plus de nuits. Le concept est simplissime : à la tête d’un peuple de chasseurs-cueilleurs, il s’agit de s’imposer au sein du concert des nations. La victoire peut prendre plusieurs formes selon que l’on cherche à écraser les autres militairement, à faire triompher sa propre foi ou à se lancer dans l’exploration spatiale. Bien sûr, le joueur dispose d’innombrables moyens pour parvenir à ses fins et c’est cette ouverture qui a fait le succès de la franchise.

Ce sixième opus se distingue par une réalisation plus cartoon et par l’intégration d’un système d’expansion des villes par quartiers. L’interface est une merveille de clarté, mais les habitués regrettent que l’intelligence artificielle soit incapable de conduire une diplomatie un tant soit peu intéressante. Six ans après sa sortie, Civilization VI fait toutefois figure de classique.

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StarCraft 2 : Wings of Liberty – Must du jeu de stratégie temps réel

JVFR

StarCraft 2: Wings of Liberty

  • Campagne solo remarquable
  • Qualité, précision du gameplay
  • Multi compétitif exceptionnel
Référence absolue en matière de jeu de stratégie temps réel, StarCraft 2 est de ces jeux qui ne prennent (pratiquement) pas une ride malgré les années. Le rythme des parties, la perfection du gameplay et la variété des tactiques possibles en font l'un des modèles du genre.

Jeu le plus ancien de notre sélection, StarCraft 2 : Wings of Liberty ne nous rajeunit clairement pas puisque Blizzard Entertainment – qui n’appartenait pas encore à Activision et encore moins à Microsoft – l’a commercialisé en 2010. En bientôt douze ans, le jeu n’a toutefois pas connu de concurrents suffisamment costauds pour remettre en cause sa domination sur le genre de la stratégie temps réel.

StarCraft 2 prend place au XXVIe siècle. Trois factions se disputent la domination galactique : les Terrans, descendants de prisonniers terriens, les Zergs, créatures insectoïdes, et les Protoss, race humanoïde dotée de pouvoirs psioniques. Seulement trois factions diront certains, mais les différences et la qualité de l’équilibrage sont telles que l’on ne peut en vouloir à Blizzard qui a donc préféré miser sur la qualité plutôt que la quantité. Blizzard a aussi misé sur l’excellence d’un gameplay si parfait qu’il fait aujourd’hui encore figure de référence en matière d’eSport.

Deux ans après sa sortie, il s’était déjà écoulé à plus de six millions d’exemplaires et, depuis 2017, Blizzard le distribue gratuitement afin que tout le monde puisse goûter à la justesse de son gameplay, la nervosité de son action, l’excellence de sa réalisation. Un chef-d’œuvre.

Stellaris – Dans l'espace, le 4X se fait plus accessible

Stellaris
  • Enfin un jeu Paradox accessible
  • Passionnante phase d'exploration
  • Gestion des races très complète
  • Interface claire et pratique
  • Multijoueur efficace
Se détachant de la grand strategy chère à Paradox Interactive, Stellaris apporte un regard neuf sur le 4X. Il offre une partie exploration absolument remarquable, mais s'avère moins convaincant dans sa gestion des combats. Il compense par une remarquable accessibilité qui en fait une excellente porte d'entrée à ce genre d'habitude complexe.

Après Europa Universalis, Hearts of Iron, Crusader Kings et Victoria, Stellaris est la cinquième franchise de grand strategy mise au point par Paradox Development Studios. En réalité, elle se détache un peu du genre de prédilection des Suédois pour s'orienter davantage vers le 4X.

Par rapport aux classiques du genre, Stellaris se distingue tout d'abord par l'introduction du jeu en temps réel, comme sur un STR tel que StarCraft 2. Contrairement à ce dernier, on peut bien sûr mettre le jeu en pause, mais cela change pas mal de choses dans la gestion de sa faction. Une gestion qui est aussi bouleversée par le système de « pops » qui vient diviser notre population en fonction de leur appartenance à tel ou tel peuple. Des migrations s'opèrent entre les systèmes et il faut gérer les antagonismes entre ces pops.

Pour le reste, Stellaris est un 4X pur jus qui met plus particulièrement l'accent sur la partie exploration avec d'innombrables trouvailles comme les anomalies ou les empires « déchus ». L'aspect combat est peut-être moins réussi, plus brouillon, mais l'accessibilité générale du jeu compense aisément. Une belle entrée en matière au genre du 4X.

Total War : Three Kingdoms – Gestion et tactique en Chine

JVFR

Total War : Three Kingdoms

  • La Chine des Trois Royaumes
  • Diplomatie largement repensée
  • Interface magnifique
Pas question de repenser réellement le concept du Total War avec Three Kingdoms qui se distingue toutefois en en améliorant la plupart des aspects à commencer par la thématique des Trois Royaumes, remarquablement reproduite. Les questions diplomatiques prennent aussi une part plus importante avec des négociations enfin intéressantes. Un regret peut-être, les batailles auraient connaître aussi quelques améliorations.

Imaginée par le Britannique de The Creative Assembly, la saga Total War est iconique du jeu de stratégie / gestion / tactique sur PC. Le concept est immuable depuis le premier opus, commercialisé en 2000. Il s’agit toujours et encore de mener une faction en jouant sur deux tableaux distincts. D’un côté, on exploite une carte de la région pour déplacer ses forces, gérer ses cités / ses provinces et faire progresser des personnages clés, intrigants, commerçants…

Le second versant d’un Total War prend place dès lors que deux armées se rencontrent. On change alors de décor pour passer sur un champ de bataille où on prend le contrôle de toute son armée : chacun des régiments, le général et même les machines de siège. De multiples stratégies sont envisageables en utilisant au mieux son infanterie lourde, sa cavalerie légère, ses archers… De plus, la lecture de la carte est indispensable pour profiter des avantages topographiques, des zones de couverture.

Three Kingdoms est sans aucun doute l’opus le plus abouti de la franchise alors que le contexte de la Chine des Trois Royaumes n’est clairement pas pour nous déplaire. Esthétiquement, c’est une petite merveille qui souffre toutefois d’un (léger) problème de lisibilité sur certains points.

Total War : Warhammer II – Créatures fantastiques et batailles rangées à la sauce Games Workshop

JVFR

Total War : Warhammer II

  • La campagne longue et passionnante
  • Le mode Mortal Empires
  • Des batailles plus tactiques, plus posées
Après un Total War : Warhammer de grande qualité, Warhammer II vient enfoncer le clou et montrer à quel point l'univers de Game Workshop se prête bien au concept Total War. L'aspect gestion n'est pas très original encore qu'en combinant les deux jeux, Mortal Empires apporte beaucoup. Reste que ce sont les batailles, plus épiques que jamais, qui vont convaincre tous les amateurs des jeux Creative Assembly.

Alors que nous venons de détailler le concept d’un Total War avec Three Kingdoms, nous n’allons pas le refaire pour présenter Total War : Warhammer II. Il se base sur les mêmes mécaniques pour associer deux gameplay radicalement différents : une partie gestion de faction et une partie combat tactique sur le champ de bataille.

Total War : Warhammer II procède donc de la même manière, mais se distingue logiquement par l’univers adopté. Il n’est pas ici question de se pencher sur notre propre histoire, mais d’inviter les créatures de Games Workshop. L’univers de Warhammer est riche et donne matière à quantités de factions et d’unités toutes plus incroyables les unes que les autres. Sur la partie purement gestion, on ne peut pas dire que Total War : Warhammer II apporte beaucoup.

En revanche, sur l’aspect tactique, la liberté offerte par les unités fantastiques permet d’aller bien plus loin dans le délire et l’inventivité. Unités magiques, volantes et héros sont autant de moyens de repenser la bataille et, pour être honnête, il est difficile de revenir sur un Total War historique.

XCOM 2 – Le combat tactique au sommet de sa forme

JVFR

XCOM 2

  • Concept d'invasion planétaire toujours aussi efficace
  • Combats tactiques repensées
  • Rythme, variété des approches
XCOM 2 vient parachever l'œuvre du premier opus et de son extension, Enemy Within, pour aboutir au tactical RPG de référence. Il y a peut-être encore quelques soucis techniques comme ces chargements à rallonge, mais pour le reste c'est une réussite sur toute la ligne. Rarement les affrontements auront été aussi fins et aussi malins.

Voilà six ans que Firaxis a donné suite à son tactical, XCOM : Enemy Unknown. Dans ce dernier, il s’agissait de repousser une invasion extraterrestre. XCOM 2 part du principe que cette invasion a réussi, que les joueurs ne sont pas parvenus à l’emporter. Sur Terre, les aliens ont créé Advent, une institution miliaire dont le but est de maintenir la population humaine sous contrôle.

Bien sûr, Advent n’a pas la partie facile et une faction humaine a émergé. La Résistance n’a qu’un but : contrecarrer les plans d’Advent malgré des moyens humains, financiers et techniques bien inférieurs. Dans XCOM 2, il n’est plus question de gérer sa base pour prévenir les assauts des extraterrestres, mais de contrôler du Talion, un vaisseau alien dérobé par la Résistance afin d’en faire son QG. À partir de là, on gère son escouade, on détermine les prochaines missions, on développe de nouveaux modules, on étudie les technologies aliens…

Le but est de se préparer à la seconde partie : les opérations militaires. Avec une escouade préalablement sélectionnée et équipée, on se mesure aux forces d’Advent en gérant les points d’action de nos unités. Bien sûr, différentes classes de soldats, différents équipements et cinq types d’actions apportent variété et renouvellement alors que les cartes sont parmi les meilleures jamais dessinées pour un jeu de ce genre.

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