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Forum Assassin's Creed
Assassin's creed
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snake le maitre a écrit:C'est plus amusant de les trouver sois-meme donc cela ne sert a rien, cela gache le jeu comme les codes mais merci pour l'intentionhugo boss 51 a écrit:
pour les drapeaux j'ai trouvé sur internet des cartes.... si ça vous intéresse je met les liens.
Pff aahha (rire),essaye de deja trouver les 20 premiers a masyaf tt seul,c'est deja pas evident,alors aprés les 100 et autres ds chaque ville,c'est bien simple,sans rien,c'est tout bonnement impossible,ou alors ils faut passer 2ans sur le jeux
ben moi j'aurai donc 2 ans de durer de viemastergurt a écrit:snake le maitre a écrit:C'est plus amusant de les trouver sois-meme donc cela ne sert a rien, cela gache le jeu comme les codes mais merci pour l'intentionhugo boss 51 a écrit:
pour les drapeaux j'ai trouvé sur internet des cartes.... si ça vous intéresse je met les liens.
Pff aahha (rire),essaye de deja trouver les 20 premiers a masyaf tt seul,c'est deja pas evident,alors aprés les 100 et autres ds chaque ville,c'est bien simple,sans rien,c'est tout bonnement impossible,ou alors ils faut passer 2ans sur le jeux
sans rigoler, il faut au moin essayer d'en trouver le plus possible, apres si t'es vraiment dans la @!#$?* tu utilise cette astuce, c'est comme pour les cheats, il sont là quand t'es bloquer ou quand tu a fini le jeu mais cela le casse si tu les faits dès le debut 
UNCLE TATTOO GI a écrit:
Je ne suis ps de votre avis à tous ;.j'ai déjà revendu le jeu ....trés déçu ... je dirais même que pour moi c'est une daube ...
Graphiquement magnifique ... ça c'est sûr .... et pour le son ok ça tue aussi ...
Mais des défauts y'en a à la pelle ...
-nombreux bugs , notament à cheval ...
-interface merdique .... ils ont voulu être originaux ... du coup c'est raté...
-pas de pêche ... c'est mou , c'est long ... on est obligé de se taper des heures de vidéos ....
-IA bidon .... pas crédible une seconde (ennemis ou pas)
-répétitif ... (j'ai arrêté au milieu de Jerusalem et c'est toujours pareil).
Heureusement j'ai pu le revendre 60€ à un pote qui avait la flemme d'aller l'acheter ....
question de gout aussi ! c'est pour sa que faut dabbor tester le jeu avant de l'acheter !!!moi je pense que je le finirais bien quand je l'ai ,mais vla c sure que sa soule a la fin!a+
hugo boss 51 a écrit:
pour les drapeaux j'ai trouvé sur internet des cartes.... si ça vous intéresse je met les liens.
comment voullez vous profiter du jeu si deja vous avez les soluces !!linteret c'est de se balader de toit en toit et de chercher les moindres recoins ou pourais se cacher ses "paquets cachets"drapeau",bref c'est vous qui voyez mais perso je ne le ferais pas !!a+a+ bonne journée
En ce qui me concerne ce jeu est la tuerie escomptée. 
J'avais déjà adoré Shadow of Colosus alors que beaucoup le jugeaient inintéressant, sans saveur et répétitif. Assassin's Creed est le genre de méga-friandise dont je me délecte à chaque instant, faut dire que je fais partie de ceux qui aiment contempler, tester toutes les formes de gameplay possibles et inimaginables.
A titre d'exemple, relever le défi qui consisite à supprimer les patrouilles de soldats qui parcourent le royaume, que ce soit à cheval, en chargeant ses adversaires, ou à pied, entouré d'une horde d'ennemis, le challenge est exaltant, et qu'importe la mort, on réapparaît très souvent à proximité de son décès, le temps d'un chargement rapide.
Vous réintégrez le monde sans votre fidèle destrier ?
Pas grave, Altaïr, c'est le genre de guerrier infatigable qui court inlassablement et sprinte à l'infini. Au diable les sempiternelles jauges d'endurance, merci à Patrick désilet d'avoir évité l'écueuil du réalisme qui exaspère.
Bien que perfectible, le gameplay s'avère très réussi, Altaïr, c'est un roi de l'escalade couplé à un Maître Assassin.
Violent, brutal, sanguinaire, ces contres sont tellement dévastateurs, chaque mise à mort révèle le combattant qui sommeille en nous. Que dire des mini cut-scènes qui ponctuent ces "instant kills", quand la mise à mort devient un spectacle jouissif de réalisme, où l'on frémit à la vue d'un soldat qui se fait empaler, trucider, éventrer, gifler dans une gerbe de sang.
Alors certe, l'I.A est l'un des points qui choque les pros de la critique parce qu'elle se montre parfois illogique, avec des soldats aveugles ou qui ne réagissent pas promptement, mais si vous considérez que vos aissaillants se conduisent comme des ânes, pourquoi ne pas les faire tourner en bourrique.
En utilisant judicieusement l'architecture des constructions, on peut s'amuser à les jeter dans le vide, et admirer le crash de son adversaire tandis que la foule devient totalement histérique. "This is living", comme dirait une grande firme japonaise.
Quand au "free running", c'est l'un des aspects les plus étonnant, ainsi, plus besoin de calculer le moment propice du saut d'un édifice à un autre, tout s'enchaîne naturellement, les mouvements de notre héros sont d'une grande souplesse, digne des plus grands félins. Hier, je suis monté tout en haut de la flèche de la cathédrale d'Acre, quel spectacle vertigineux, impréssionnant !
Le saut de la foi qui s'en est suivi m'a paru durer une éternité.
Il est difficile de décrire les sensations que l'on peut éprouver quand on adhère totalement au style du jeu, spécialement lorsqu'on parcourt les rues des villes, les habitants y sont nombreux, on se sent totalement immergé dans le contexte, chaque personnage est autonome et vaque à ses occupations. Ainsi on croise des mendiantes particulièrement exaspérantes, des fous à lier qui ne manquent pas une occasion pour nous frapper, des porteuses de jarres à l'équilibre fébrile, des orateurs au discours révolutionnaire, des patrouilles de soldats, des érudits mais aussi, bien sûr, de simples passants.
Les dévelopeurs ont mis un peu plus de 3 ans pour créer Assassin, impossible de ne pas s'en rendre compte en y jouant.
Le "scimitar engine", élaboré pour l'occasion, s'avère être une nouvelle référence sur console, le nombre d'éléments 3D et la profondeur de champs qu'il est capable d'afficher sont sans commune mesure avec ce que l'on a pû voir jusqu'à présent.
Un must, qui ne serait rien sans une direction artistique franchement inspirée, des relevés précis de l'architecture de l'époque ont été effectués, les villes d'Acre, Jérusalem, Damas, Masyaf, Arsuf, ainsi que la campagne environnante sont énormes et ont nécessité un travail d'orfèvre. A mon sens, les level-designers sont des passionnés, du même calibre que ceux de Bioshock, c'est pour dire.
Cette foultitude d'éléments spécifiques confèrent à l'ensemble un réalisme unique qui renvoie GTA et son microcosme au rang des jeux... préhistoriques.
Alors pourquoi bouder son bonheur ?
Parce que certains en attendaient trop, beaucoup trop...
D'ailleurs, au cas où ceux-ci auraient des idées exploitables, je leur conseillerais de présenter leurs services aux gars d'Ubisoft Montréal.
Car critiquer, c'est bien, trouver des solutions, c'est nettement mieux.
Je ne vais pas parler de l'histoire, mais la mise en scène qui précède chaque assassinat est digne des grands films, de quoi rester scotché, (bien que l'on puisse toujours se mouvoir ou changer de caméra, vive l'intéractivité !)
Et pour finir, un grand bravo à Jesper Kyd, un grand compositeur de musique qui s'est littéralement déchiré pour l'occasion, les musiques orchestrales sont absolument magnifiques et ponctuent magistralement les moments forts, et que dire des mélodies aux intonations mystico-orientales, un régal pour les sens.
Alors voilà, Assassin's Creed, dans son style, fait partie des rares jeux qui procurent une grande expérience.
D'ailleurs, j'y retourne de suite !
J'avais déjà adoré Shadow of Colosus alors que beaucoup le jugeaient inintéressant, sans saveur et répétitif. Assassin's Creed est le genre de méga-friandise dont je me délecte à chaque instant, faut dire que je fais partie de ceux qui aiment contempler, tester toutes les formes de gameplay possibles et inimaginables.
A titre d'exemple, relever le défi qui consisite à supprimer les patrouilles de soldats qui parcourent le royaume, que ce soit à cheval, en chargeant ses adversaires, ou à pied, entouré d'une horde d'ennemis, le challenge est exaltant, et qu'importe la mort, on réapparaît très souvent à proximité de son décès, le temps d'un chargement rapide.
Vous réintégrez le monde sans votre fidèle destrier ?
Pas grave, Altaïr, c'est le genre de guerrier infatigable qui court inlassablement et sprinte à l'infini. Au diable les sempiternelles jauges d'endurance, merci à Patrick désilet d'avoir évité l'écueuil du réalisme qui exaspère.
Bien que perfectible, le gameplay s'avère très réussi, Altaïr, c'est un roi de l'escalade couplé à un Maître Assassin.
Violent, brutal, sanguinaire, ces contres sont tellement dévastateurs, chaque mise à mort révèle le combattant qui sommeille en nous. Que dire des mini cut-scènes qui ponctuent ces "instant kills", quand la mise à mort devient un spectacle jouissif de réalisme, où l'on frémit à la vue d'un soldat qui se fait empaler, trucider, éventrer, gifler dans une gerbe de sang.
Alors certe, l'I.A est l'un des points qui choque les pros de la critique parce qu'elle se montre parfois illogique, avec des soldats aveugles ou qui ne réagissent pas promptement, mais si vous considérez que vos aissaillants se conduisent comme des ânes, pourquoi ne pas les faire tourner en bourrique.
En utilisant judicieusement l'architecture des constructions, on peut s'amuser à les jeter dans le vide, et admirer le crash de son adversaire tandis que la foule devient totalement histérique. "This is living", comme dirait une grande firme japonaise.
Quand au "free running", c'est l'un des aspects les plus étonnant, ainsi, plus besoin de calculer le moment propice du saut d'un édifice à un autre, tout s'enchaîne naturellement, les mouvements de notre héros sont d'une grande souplesse, digne des plus grands félins. Hier, je suis monté tout en haut de la flèche de la cathédrale d'Acre, quel spectacle vertigineux, impréssionnant !
Le saut de la foi qui s'en est suivi m'a paru durer une éternité.
Il est difficile de décrire les sensations que l'on peut éprouver quand on adhère totalement au style du jeu, spécialement lorsqu'on parcourt les rues des villes, les habitants y sont nombreux, on se sent totalement immergé dans le contexte, chaque personnage est autonome et vaque à ses occupations. Ainsi on croise des mendiantes particulièrement exaspérantes, des fous à lier qui ne manquent pas une occasion pour nous frapper, des porteuses de jarres à l'équilibre fébrile, des orateurs au discours révolutionnaire, des patrouilles de soldats, des érudits mais aussi, bien sûr, de simples passants.
Les dévelopeurs ont mis un peu plus de 3 ans pour créer Assassin, impossible de ne pas s'en rendre compte en y jouant.
Le "scimitar engine", élaboré pour l'occasion, s'avère être une nouvelle référence sur console, le nombre d'éléments 3D et la profondeur de champs qu'il est capable d'afficher sont sans commune mesure avec ce que l'on a pû voir jusqu'à présent.
Un must, qui ne serait rien sans une direction artistique franchement inspirée, des relevés précis de l'architecture de l'époque ont été effectués, les villes d'Acre, Jérusalem, Damas, Masyaf, Arsuf, ainsi que la campagne environnante sont énormes et ont nécessité un travail d'orfèvre. A mon sens, les level-designers sont des passionnés, du même calibre que ceux de Bioshock, c'est pour dire.
Cette foultitude d'éléments spécifiques confèrent à l'ensemble un réalisme unique qui renvoie GTA et son microcosme au rang des jeux... préhistoriques.
Alors pourquoi bouder son bonheur ?
Parce que certains en attendaient trop, beaucoup trop...
D'ailleurs, au cas où ceux-ci auraient des idées exploitables, je leur conseillerais de présenter leurs services aux gars d'Ubisoft Montréal.
Car critiquer, c'est bien, trouver des solutions, c'est nettement mieux.
Je ne vais pas parler de l'histoire, mais la mise en scène qui précède chaque assassinat est digne des grands films, de quoi rester scotché, (bien que l'on puisse toujours se mouvoir ou changer de caméra, vive l'intéractivité !)
Et pour finir, un grand bravo à Jesper Kyd, un grand compositeur de musique qui s'est littéralement déchiré pour l'occasion, les musiques orchestrales sont absolument magnifiques et ponctuent magistralement les moments forts, et que dire des mélodies aux intonations mystico-orientales, un régal pour les sens.
Alors voilà, Assassin's Creed, dans son style, fait partie des rares jeux qui procurent une grande expérience.
D'ailleurs, j'y retourne de suite !
Tu pourrais travailler comme un testeutFlyingSpirit a écrit:
En ce qui me concerne ce jeu est la tuerie escomptée.
J'avais déjà adoré Shadow of Colosus alors que beaucoup le jugeaient inintéressant, sans saveur et répétitif. Assassin's Creed est le genre de méga-friandise dont je me délecte à chaque instant, faut dire que je fais partie de ceux qui aiment contempler, tester toutes les formes de gameplay possibles et inimaginables.
A titre d'exemple, relever le défi qui consisite à supprimer les patrouilles de soldats qui parcourent le royaume, que ce soit à cheval, en chargeant ses adversaires, ou à pied, entouré d'une horde d'ennemis, le challenge est exaltant, et qu'importe la mort, on réapparaît très souvent à proximité de son décès, le temps d'un chargement rapide.
Vous réintégrez le monde sans votre fidèle destrier ?
Pas grave, Altaïr, c'est le genre de guerrier infatigable qui court inlassablement et sprinte à l'infini. Au diable les sempiternelles jauges d'endurance, merci à Patrick désilet d'avoir évité l'écueuil du réalisme qui exaspère.
Bien que perfectible, le gameplay s'avère très réussi, Altaïr, c'est un roi de l'escalade couplé à un Maître Assassin.
Violent, brutal, sanguinaire, ces contres sont tellement dévastateurs, chaque mise à mort révèle le combattant qui sommeille en nous. Que dire des mini cut-scènes qui ponctuent ces "instant kills", quand la mise à mort devient un spectacle jouissif de réalisme, où l'on frémit à la vue d'un soldat qui se fait empaler, trucider, éventrer, gifler dans une gerbe de sang.
Alors certe, l'I.A est l'un des points qui choque les pros de la critique parce qu'elle se montre parfois illogique, avec des soldats aveugles ou qui ne réagissent pas promptement, mais si vous considérez que vos aissaillants se conduisent comme des ânes, pourquoi ne pas les faire tourner en bourrique.
En utilisant judicieusement l'architecture des constructions, on peut s'amuser à les jeter dans le vide, et admirer le crash de son adversaire tandis que la foule devient totalement histérique. "This is living", comme dirait une grande firme japonaise.
Quand au "free running", c'est l'un des aspects les plus étonnant, ainsi, plus besoin de calculer le moment propice du saut d'un édifice à un autre, tout s'enchaîne naturellement, les mouvements de notre héros sont d'une grande souplesse, digne des plus grands félins. Hier, je suis monté tout en haut de la flèche de la cathédrale d'Acre, quel spectacle vertigineux, impréssionnant !
Le saut de la foi qui s'en est suivi m'a paru durer une éternité.
Il est difficile de décrire les sensations que l'on peut éprouver quand on adhère totalement au style du jeu, spécialement lorsqu'on parcourt les rues des villes, les habitants y sont nombreux, on se sent totalement immergé dans le contexte, chaque personnage est autonome et vaque à ses occupations. Ainsi on croise des mendiantes particulièrement exaspérantes, des fous à lier qui ne manquent pas une occasion pour nous frapper, des porteuses de jarres à l'équilibre fébrile, des orateurs au discours révolutionnaire, des patrouilles de soldats, des érudits mais aussi, bien sûr, de simples passants.
Les dévelopeurs ont mis un peu plus de 3 ans pour créer Assassin, impossible de ne pas s'en rendre compte en y jouant.
Le "scimitar engine", élaboré pour l'occasion, s'avère être une nouvelle référence sur console, le nombre d'éléments 3D et la profondeur de champs qu'il est capable d'afficher sont sans commune mesure avec ce que l'on a pû voir jusqu'à présent.
Un must, qui ne serait rien sans une direction artistique franchement inspirée, des relevés précis de l'architecture de l'époque ont été effectués, les villes d'Acre, Jérusalem, Damas, Masyaf, Arsuf, ainsi que la campagne environnante sont énormes et ont nécessité un travail d'orfèvre. A mon sens, les level-designers sont des passionnés, du même calibre que ceux de Bioshock, c'est pour dire.
Cette foultitude d'éléments spécifiques confèrent à l'ensemble un réalisme unique qui renvoie GTA et son microcosme au rang des jeux... préhistoriques.
Alors pourquoi bouder son bonheur ?
Parce que certains en attendaient trop, beaucoup trop...
D'ailleurs, au cas où ceux-ci auraient des idées exploitables, je leur conseillerais de présenter leurs services aux gars d'Ubisoft Montréal.
Car critiquer, c'est bien, trouver des solutions, c'est nettement mieux.
Je ne vais pas parler de l'histoire, mais la mise en scène qui précède chaque assassinat est digne des grands films, de quoi rester scotché, (bien que l'on puisse toujours se mouvoir ou changer de caméra, vive l'intéractivité !)
Et pour finir, un grand bravo à Jesper Kyd, un grand compositeur de musique qui s'est littéralement déchiré pour l'occasion, les musiques orchestrales sont absolument magnifiques et ponctuent magistralement les moments forts, et que dire des mélodies aux intonations mystico-orientales, un régal pour les sens.
Alors voilà, Assassin's Creed, dans son style, fait partie des rares jeux qui procurent une grande expérience.
D'ailleurs, j'y retourne de suite !
Sinon je pense que je vais m'acheter ce jeu en occaz Shinobi le grand a écrit:
Bonjour,
Je viens de voir une vidéo de ce jeu, où Altaïr assassine un gars qui à ordonné de cassé les jambes d'un paysan (sur dailymotion, "assassin's creed gameplay").
PUIS, il lui passe un truc sur le coup (une sorte de couteau ou je ne sais quoi...
Qu'est-ce que c'est ?
Shinobi le grand a écrit:
ARGHHH !!!
Je vous envie (vous avec votre jeu...) [snif] !!!
Je voudrais faire un truc par votre intermediaire (SVP) !!!
J'ai vu que dans certaine ville, le grille se baisse !!!
Donc, vous mettez votre "putain de saloperie de cheval de mes couilles" :D...............votre monture sous la grille et ...SPLAAASHHHHH !!!!!
c'est claire !!!moi je dois encore me repayer une xbox pour pouvoir y jouer et vous vous chiez dessus?!
ahh quand je vais pouvoir me balader a la spider man dans cette magnifique ville...
si non a chaque fois qu'il faudras tuer il faut marqué la plume de sang ???
Personne sur ce Topic pourrait faire une vidéo "ULTRA MEGA SPOILER DE LA MORT QUI TU SA MERE" qui montre le début du jeu en disant bien que seul les fous qui veulent se gacher l'histoire regarderont ??? (nous ne sommes pas responsable de tout acte ayant un rapport avec ce message et nous vous prevenons que si vous voulez faire cette vidéo, attendez-vous à recevoir la pire critique de votre vie ponctuée de plusieurs insultes terriblement déshonorante...nous vous prions de lire attentivement ce message et de ne pas tenter cette folie)
fraquilone a écrit:
Pour ma part j'ai adoré ce jeu, bonne durée de vie, graphisme éxemplaire, pour ma part rencontré aucun bug.
Par contre quand je vois qu'un manhunt qui galère avec les autorisations, je trouve certaine cinématique super violente, tout comme les prises durant les combats (surtout celles fait avec la petite lame, cassage de jambe en bonne uniforme puis brisage de coup :D, ou encore et je ne l'ai vu qu'une fois la lame enfoncer par le dessus du crane, sa m'as fait bien mal sur le coup)...
Bref impressionnant, fini tout les succés sauf les templiers et les drapeaux, j'attendais beaucoup de ce jeu et je ne suis pas dessus loin de la au contraire. Du tout bon pour UBI.
La Dague enfoncé au dessus du crane il me le fait souvent moi, une des pires à mon avis c'est celle ou il lui pete le bras au niveau du coude (Celle la c'est que du bonheur
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