Quel bouquin lisez -vous?

moi je lis les livres de vacances scolaires (j´sui obligé )

moi je lis ca

UNE PETITE MAISON EN ESPAGNE


Mac était assise sur le sable fin, le vent jouant dans ses cheveux, le regard fixement river sur les vagues qui s’échouaient sur la page.
La jeune femme repensait à tous les événements qui étaient venus chamboulés sa vie au cours des derniers mois.
Depuis ce fameux jour où, l’Amiral Chegwidden l’avait appelé dans son bureau. « Nous avons une affaire importante à traiter, Colonel, avait-il dit, à dire vrai, il s’agit d’une enquête qu’il vous faudra mener pour le JAG mais également pour et avec la CIA.
Un capitaine de vaisseau serait à la tête d’un énorme trafic d’armes en direction des Balkans. La plaque tournante de ce marché noir, serait selon la CIA, une station balnéaire en Espagne, Malaga. Vous allez aussitôt vous y rendre. Comme l’Espagne fait partie de la Coalition, nous avons une petite base installée au sud de cette ville. Bien entendu, vous irez sous couverture. Votre identité sera « Sheila Murati » vos initiales seront ainsi les même que votre nom réel, et vous servirez dans cette base en tant que professeur d’armement pour les recrues.»

Sarah se souvenait encore que Webb était passé en fin de journée chez elle pour lui remettre ses faux papiers et quelques précisions quant à l’affaire, mais cela lui semblait tellement loin maintenant.

Au début, la jeune femme avait été très enthousiaste et sûre qu’elle démasquerait facilement le coupable. Mais elle ne savait pas encore, alors, dans quoi elle allait mettre les pieds. Un réseau de trafic d’armes plus vaste que ce que la CIA aurait pu imaginer, même dans ses pires cauchemars.
Tous les parrains impliqués la dedans, n’avaient pas tardé à se rendre compte que quelqu’un mettait le nez dans ce qui ne le regardait pas. Et ce quelqu’un, c’était Sarah, qu’ils ne tardèrent pas également, à démasquer.
Un soir, en sortant des cours qu’elle dispensait à la base, elle était tombée dans une embuscade. Une embuscade qui avait bien faillit lui coûter la vie ! Heureusement que les hommes de Webb gardaient en permanence un œil sur elle, sinon, Sarah Mackenzie se seraient retrouvée à Arlington à l’heure qu’il est.

Depuis ce jour, c’était il y a un mois et demi de cela, la jeune femme avait été écartée de l’affaire et en attendant que celle-ci « se tasse », la CIA l’avait installée dans une maison, toujours en Espagne car les agents craignaient que les parrains du trafics ne surveillent les frontières ce qui rendait un retour en Amérique impossible.

C’était une petite villa, loin de tout, même Sarah ne savait pas où elle se trouvait : lorsque Webb l’avait conduite ici, il lui avait badé les yeux, la jeune femme en ignorait la raison et l’agent de la CIA s’était refusé à lui fournir la moindre explication.

Ainsi, chaque semaine, un membre différent de l’agence venait lui apporter de quoi manger, il ne s’arrêtait jamais, il posait simplement les vivres devant la porte. Sarah avait bien entendu pensé à s’échapper mais n’ayant aucune idée d’où elle pouvait bien se trouver, si ce n’est dans une petite crique, elle préféra faire confiance à Clayton.
Mais le temps lui paressait bien long, seule, face à l’immensité de la mer et dans son dos, d’hautes collines qui l’empêchaient de voir à l’horizon.

Le regard toujours au large, Sarah laissait le soleil baigner son visage de sa douce chaleur. La jeune femme repensait à sa vie d’avant, à ses amis du JAG, à Mic, un Australien auquel elle aurait dû bientôt se marier si elle n’avait pas été envoyée en mission.
L’avocate soupçonnait la CIA de ne pas avoir donné la moindre de ses nouvelles à ses amis, ni à son fiancé qu’elle aimait profondément. Cette pensé, qu’ils la croient morte ou disparue, lui creva le cœur et pour la première fois depuis longtemps, elle se mit à pleurer et sentit une vague de désespoir l’envahir.

Un point jaune, dans l’eau, qui se balançait au rythme des vagues, attira son attention. Au début, la jeune femme ne sut pas de quoi il s’agissait, mais le courant le poussant contre la plage, elle put bientôt apercevoir ce qui lui semblait être un gilet de sauvetage.
Sans le penser à deux fois, elle se jeta à l’eau et nagea en direction de cet étrange point jaune. Au bout de quelques minutes, elle vit enfin plus clairement la forme : il s’agissait bien d’un gilet de sauvetage et d’un corps naufragé qui était ballotté dans tous les sens par le courant.
En quelques brases supplémentaires, atteignit le corps et entreprit de le ramener sur la plage.
Sarah prit le pouls du naufragé, il ne respirait que très faiblement et était inconscient. Lui retirant son gilet de sauvetage, la jeune femme remarqua une combinaison de vol. « Un pilote de chasse américain sans aucun doute possible » pensa-t-elle en voyant inscrit « U.S.S. Seahawk » sur le revers de sa combinaison.

Mac regarda autour d’elle, comme si subitement, quelqu’un allait apparaître pour l’aider. « Pauvre nouille ! Tu es toute seule ici, il va falloir trouver un moyen pour l’amener à la maison ! Il doit faire pas loin d’un mètre nonante-cinq, ça ne va pas être de la tarte ! ».
Faisant appel à ses entraînements de Marine’s, Sarah leva le buste du pilote et se glissa derrière lui. En lui passant les bras sous les aisselles, elle noua ses mains sur sa poitrine et entreprit de le tirer. Seulement une dizaine de mètres la séparait de la maison, mais elle mit sept minutes pour les combler. Le naufragé était très grand, donc lourd, ses habits étaient mouillés ce qui n’aidait en rien.
Une fois arrivée devant la terrasse de la maison, elle dut faire une pause avant de reprendre le même cirque pour le tirer sur les trois petites marches de la terrasse et le traîner jusqu’à l’intérieur.

Le corps du militaire était pris de violents tremblements : il avait très froid et semblait avoir passé beaucoup d’heures dans l’eau. Mac vérifia une nouvelle fois sa respiration, toujours aussi faible.
La jeune femme allait céder à la panique, seule et avec tout ce qui lui était arrivé ces derniers temps, elle était à bout de nerfs. Malheureusement, elle n’avait aucun moyen de joindre Webb ou qui que ce soit d’autre. Elle n’avait donc pas le choix : il fallait qu’elle s’occupe de cet homme toute seule.

« Premièrement, se dit la jeune femme en commençant à le dévêtir, voyons voir comment il s’appelle » et elle enleva les plaques d’identité militaire qui étaient au cou du naufragé. « Ravie de faire votre connaissance Capitaine de frégate Harmon Rabb Junior » dit-elle à l’homme toujours inconscient.

UNE PETITE MAISON EN ESPAGNE
Un jour et demi plus tard
23h02

Voila deux nuits que Sarah dormait sur un fauteuil près de son lit, au chevet du naufragé qu’elle avait recueilli. Son dos lui faisait mal et elle était épuisée d’avoir dormi aussi peu d’heures, passant le plus clair de son temps à veiller sur son blessé qui n’avait toujours pas repris connaissance. Toutefois, sa respiration avait pris un rythme normal tout comme sa température corporelle.
Sarah l’observait minutieusement à la faible lumière que diffusait la lampe de chevet dans la pièce. « Je suis sûre, se dit-elle, qu’il doit avoir fait des publicités pour l’enrôlement dans la Navy, avec un corps comme le sien et sans sa barbe, je suis sûre qu’il doit avoir un visage de playboy, il ne peut que faire partie de ces spécimens qui ventent la Navy à la télévision ! »

Sarah sourit devant l’image de cet homme allongé sur le lit, elle continua à scruter attentivement son torse musclé qui se soulevait doucement au rythme de sa respiration puis elle remonta sur son visage harmonieux, ses traits qui semblaient si fins et si beaux, mangés par une barbe de plusieurs jours. Tout à coup, son regard tomba sur deux yeux bleus qui la regardaient fixement, d’un bleu profond, c’étaient les plus beaux yeux qu’elle n’ait jamais vus.
C’est alors qu’elle se rendit compte que le pilote venait de se réveiller. Mal à l’aise, elle se leva de sa chaise et s’approcha de lui.

- Salut, commença-t-elle simplement. Ça va ?

Mais Rabb ne lui répondit rien, il tourna la tête de l’autre côté. Puis, il tenta de se redresser dans le lit, mais le militaire était à bout de force, et il n’y arriva pas.

- Je vais vous aider, murmura Mac, joignant le geste à la parole, elle s’assit sur le rebord du lit et aida Rabb à se redresser.
- Qui êtes-vous ? demanda-t-il enfin.

En entendant sa voix, Sarah sursauta. Il avait parlé d’un ton dur et sec.

- La personne qui vous a repêchée, Capitaine.
- Capitaine ?! interrogea-t-il en faisant de grands yeux.
- Ecoutez, c’est ce qui est mis sur vos plaques d’identité.
- Quelles plaques d’identité ?

Poussant un profond soupir, Mac attrapa le collier militaire qu’elle avait posé sur la table de nuit et le lui tendit.

- « Capitaine de frégate Harm Rabb Junior » murmura-t-il avant de se prendre la tête entre ses mains et de la secouer violemment.

Surprise de sa réaction, Mac ne sut que faire. Finalement, elle posa ses mains sur celles du marin et l’empêcha de ballotter son visage de tous les côtés. Elle l’obligea à la regarder dans les yeux.

- Calmez-vous, lui dit-elle doucement, qu’est-ce qui ne va pas ?
- Je…, je…, je ne me souviens de rien, répondit Harmon dans un souffle. Ni de comment je m’appelle, ni ce que je suis.

Un peu septique, Sarah le regarda fixement. La jeune femme put voir, au désarroi qui se peignait sur son visage, que ce devait être vrai : il était amnésique.

- Vous savez déjà que vous vous appelez Harmon Rabb et que vous êtes militaire, un pilote de chasse d’après la combinaison que vous portiez. C’est un bon début. Il vous faut reprendre des forces, et vous verrez, la mémoire vous reviendra.

Le naufragé posa sur elle un regard plein de mépris et sans ménagement l’écarta de lui. Il se leva d’un bond mais lorsqu’il voulut faire un pas, ses jambes de dérobèrent sous lui.
Blessée dans son orgueil par la façon dont il l’avait traitée alors qu’elle lui avait sauvé la vie, Sarah se leva mais n’aida pas le pilote à se remettre sur pied. Elle s’adressa seulement à lui en ces paroles glaciales :

- La prochaine fois que je vous dirai que vous avez besoin de reprendre des forces, et donc de manger, vous m’écouterez peut-être.

La jeune femme quitta la pièce avant de lui lancer un pull qu’elle avait prit dans l’armoire. « Heureusement pensa-t-elle, que cette maison comporte tout ce dont on a besoin, je me demande à qui elle appartient ». En effet, déjà à son arrivée, la petite villa était entièrement meublée, des produits de nettoyage, de douche se trouvaient en quantité suffisante dans la cave, tout comme de la nourriture et les armoires étaient remplies d’habits pour femme, pour homme mais aussi de quelques vêtements qui devaient appartenir à des enfants. Sarah préféra ne pas penser à ce qui avait bien pu arriver aux occupants du lieu et elle se dirigea vers la cuisine pour prendre un verre d’eau et chasser l’énervement qu’elle ressentait envers le pilote.

Alors qu’elle reposait son gobelet vide sur l’évier, un énorme fracas provint de sa chambre. La jeune femme se précipita aussitôt dans la pièce d’où provenait le bruit.

Harmon était toujours à terre, mais visiblement, il avait tenté de se lever en s’agrippant à la table de nuit. Cette dernière avait basculé et tout ce qui s’y trouvait dessus avec.
Oubliant les paroles peu agréables qu’il lui avait dites quelques instants auparavant, Sarah se rendit auprès du naufragé qui n’arrêtait pas de pester contre lui-même un utilisant un vocabulaire grossier.

- Vous avez fini de jurer, oui ! s’exclama Mac
- Est-ce que je vous ai demandé quelque chose à vous ?! répondit-il méprisamment.
- Très bien, dans ce cas sortez immédiatement de chez moi, allez-vous-en.

Sarah fut assez contente d’elle-même car Rabb ne trouva rien à répondre, il se contenta de marmonner quelque chose dans sa barbe et arrêta de se débattre contre lui-même.

- Venez, je vous aide, finit-elle par dire plus gentiment.
- Comme si j’avais le choix, rétorqua Harmon.
- Je vous demande pardon ? questionna Mac.
- Non, rien.

Une nouvelle réplique cinglante brûlait les lèvres de Sarah, mais elle préféra la ravaler et aida le capitaine à se hisser sur son lit.
C’est alors que la jeune femme vit que l’ampoule de la lampe de chevet, en tombant, avait éclaté et plusieurs débris avaient touché le torse du matelot et l’avait coupé.

- Ne bougez, pas je vais désinfecter tout cela, annonça-t-elle en allant dans la salle de bain chercher quelques compresses.

Sarah s’occupa de désinfecter les blessures causées par les coupures en tentant de contrôler au maximum le tremblement de sa main. Le fait d’être aussi proche de cet homme la mettait dans un drôle d’état et elle n’aurait su dire pourquoi.

- Au fait, demanda le blessé d’une voix étonnement douce, vous ne m’avez toujours pas dit comment vous vous appelez ?
- Sarah, je m’appelle Sarah.
- Vous devez sûrement avoir un nom de famille, Sarah ?
- Mackenzie.

La jeune femme regretta aussitôt de ne pas lui avoir donné son nom de couverture, elle ne savait pas très bien pourquoi, mais cela la dérangeait qu’il sache son vrai nom.

- Vous avez un joli prénom, se contenta de répondre le jeune homme.
- Merci, Harmon.

Le pilote retourna subitement la tête, Sarah se demanda si elle avait commis une gaffe, il semblait vexé, blessé.

- Ca ne va pas ? interrogea-t-elle doucement.

Faisant un effort pour lui sourire et la regardant dans les yeux, il hocha la tête avant de répondre :

- Non, c’est juste que ça me fait bizarre ce « Harmon »…
- Vous préférez, euh…, attendez que je réfléchisse, euh…, Harm ?? ça vous plaît plus ça « Harm » ? dit-elle en souriant.
- C’est déjà mieux que Harmon, lui accorda-t-il.
- Dans ce cas, va pour « Harm ».

Sarah voulut ajouter quelque chose mais un petit bruit bizarre l’interrompit puis, elle rigola.

- Je crois que votre estomac crie famine, Harm. Ne bougez pas, je vais vous chercher quelque chose à manger.

La jeune femme se leva du lit mais avant qu’elle ne puisse faire un pas en avant, l’aviateur lui prit la main dans sa sienne et la serra tendrement.

- Merci pour tout, Sarah. Merci
- De rien, répondit la jeune femme en retirant vivement sa main : elle n’aimait pas trop la douce chaleur soudaine qui s’était répandue dans son corps à ce contact.

Elle trafiqua quelques instants dans la cuisine pour préparer un souper qui, malgré l’heure tardive, soit digne de ce nom. Une fois qu’elle eut terminé, elle mit le tout sur un plateau qu’elle porta dans la chambre.

Lorsqu’elle arriva sur le pas de la porte, elle observa quelques instants son blessé. Celui-ci, avait passé autour de son cou la chaînette où pendaient ses plaques d’identité et regardait fixement le plafond, visiblement, il tentait de se rappeler, de se souvenir de son passé. Cela pouvait se distinguer aux traits qui crispaient son visage.

- Arrêtez de vouloir vous souvenir du passé, Harm. Cela viendra tout seul, vous verrez.

Le militaire sursauta lorsque Mac parla.

- Vous pouvez lire dans mes pensées, Sarah ?
- Non, mais je suis assez bonne aux devinettes.
- Et bien j’espère que vous êtes aussi bonne en cuisine qu’aux devinettes, répondit-il d’un ton moqueur.

Cette nouvelle remarqua froissa Sarah. « Décidemment, cet homme peut se montrer d’une humeur massacrante ! Comme il m’énerve ! Vivement le prochain ravitaillement, que je puisse le refourguer aux hommes de la CIA ! »

Sans rien dire, Sarah lui tendit son plateau en lui lançant un regard noir et sortit immédiatement de la chambre sans rien ajouter de plus.
L’avocate mit un peu d’ordre dans sa cuisine. Au bout d’une demi-heure, elle pensa que Harm devait avoir fini son repas et se décida à retourner dans la chambre, prête à faire face aux sarcasmes du pilote.
Mais ce dernier sembla en avoir assez donné pour le moment : Mac remarqua qu’il s’était endormi, le plateau de repas toujours posé sur ses genoux.
« Je le préfère quand il dort, mais demain il faudra vraiment lui raser cette barbe avant qu’il ne ressemble à un homme des cavernes ! » pensa la jeune femme en débarrassant délicatement le plateau pour ne pas éveiller le marin.
Une fois que ce fut fait, elle couvrit Harm avec le duvet puis s’étira. Son dos lui faisait toujours atrocement mal après avoir passé le plus clair de son temps sur la vieille chaise à bascule en bois afin de veiller sur Harm.
« Si je m’allonge trente petites secondes à côté de lui, sur mon lit, pensa-t-elle, il n’en saura rien puisqu’il dort et je pourrai détendre mon dos ». Pesant le pour et le contre, elle finit par céder à la tentation et s’allongea de l’autre côté de la couche. « Juste trente secondes » pensa-t-elle.
Mac finit par fermer les yeux, s’accordant trente secondes de plus sur le lit. Finalement, avant qu’elle ne s’en rendre compte, le sommeil la rattrapa et elle s’endormit profondément.

Quelques minutes plus tard, alors qu’elle rêvait, comme tous les soirs, qu’elle était enfin de retour au pays, deux bras puissants l´enveloppèrent. Inconsciemment, elle se blottit un peu plus contre cette source de chaleur et posa sa tête au creux de l’épaule de Harm et sa main sur sa poitrine, un sourire heureux flottant sur ses lèvres.

Bah oui c´est encore moi lol, donc la comme j´ai finis Hermux Tantamoq, j´ai commencé le livre (assez consistant) : Le messager des sables d´ Audouard et Anthony. Je le trouve plutot pas mal sa raconte l´histoire d´un jeune homme qui part sur l´un des bateau de Napoleon lors de sa conquête de l´Egypte, pour la suite je peux rien vous dire j´en suis que là mais je vous le conseil sa parle de faits historique et d´egypte donc c´est tout bon pour ceux qui sont passioné d´histoire

Moi je suis tres science fiction alors en ce moment je lis Le Grand Livre des Robots Tome1 de Isaac Asimov.....c est mon auteur préféré ce bouquin fait environ 1000 pages et en plus c est ecrit en tout petit...que des histoires sur les robots c est passionant....apres je vais me taper le Tome 2 qui fait aussi environ 1000 pages mais ca me derange pas je suis fan ....j ai une amie qui m a prété la bible alors j ai commencé a lire le Nouveau Testament mais pour l´instant j accroche pas alors je continue mon bouquin d´Asimov....en réalité c est un recueille de ses histoires sur les robots....malheureusement le pauvre est décédé il y a pas mal de temps c est dommage d ailleurs parce que c etait vraiment quelqu un de tres brillant...enfin moi j adore et de lui avant le Grand Livre de Robots j ai lu Le Cycle De Fondation qui reste mon roman favori avec le Seigneur des Anneaux(normal )....Le Cycle de Fondation c´est deux gros roman de 1000 pages le premier et de 1200 pour le second ecrit tout petit en plus...ne croyait pas que je me la pète en vous donnant le nombre de pages non c est pour vous montrer a qu elle point cet auteur avait une puissance d ecriture extraordinaire....bah voilou autrement dernierement j ai lu 3 romans de Werber que j aime beaucoup aussi....mais en ce moment mon livre de chevet c est le Grand Livre des Robots que je conseille a tous ceux qui aiment la science fiction

allez voilou je vous embete pas plus longtemps et je vous dis que Isaac Asimov était un Dieu parmis les mortels comme Tolkien l´a été aussi...et d ailleurs petite anecdote ce sont deux auteurs qui ont sensiblement appartenu a la meme periode et Asimov était un grand fan du Seigneur des Anneaux qu il a lu plusieurs fois....si c est pas de l ouverture d esprit ca....allez foncez sur les romans de Asimov c est du bonheur a tartiner en famille

a+++

j´ai viens de finir artemis fowl tome 2 il est aussi exelent que le premier

Moi je lis tout le temps dragon ball.

Moi je lis " Les désastreuses aventures des orphelins baudelaire" je crois ke c le tome 7/12

moi je lis le seigneur des annneaux(environ 1200 pages), g mis 2 mois mais en lisant seulement le soir pendant 2 ou 3h

je suis en train de lire bilbo le hobbit

ca faisait longtemps...

je viens de finir 3 bouquins ces derniers temps

"les chronique des crepusculaires" et "abyme" de M. Gaborit

et le super chef d´oeuvre de David Gemmel , son petit dernier koi... mdr

"L´épée de L´Orage"

j´attends trop le tome 2 qui est en pleine traduction ( source du traducteur )

bref , de tte facon c vous filez un lien parce que si vous connaissez pas Gemmel , vous ne connaissez rien

a voir absolument , peut changer votre vie

++

Moi, je vient de finir deux ans de vacances de Jules Verne.

Moi je suis entrain de lire le thriller populaire de J-c Grangé " Le Vol des Cigogne " , adapté au cinéma ...

Le meme auteur que " les rivières pourpres ", autrement dit, un roi du thriller, le stephen king de chez nous

Pour planter le décor, c´est l´histoire d´un ornithologue qui doit suivre la migration des cigognes en afrique du sud, suite a une réduction brutale de la population des migrateurs ...

Et son assistant le retrouve mort, mutilé dans un nid de cigogne, au sommet d´une falaise ou personne n´aurait pu le déposer ...

Quelques jours plus tard, d´autres ornithologues trouvent la mort, meme symptomes, corps mutilés, brulures aux paumes des mains, et l´assistant décide d´enqueter sur cette énigme, et il se fait rattrapé son passé, et comprend que les cicatrices qu´il a aux mains ont fait suite a des brulures .... les memes brulures que les victimes ...

Et la il va se rendre a Calcutta, la ou le mystère va peut etre se résoudre ...

Voila une petite mise en bouche de ce livre qui m´a l´air aussi réussi que les Rivières Pourpres et Le Concile de Pierre, que j´ai également lu dernièrement et qui en vaut la peine ...

Moi je lit de livres de Tolkien,de Pullman,de Rowling et des star-wars(divers auteurs).

merci pour toute c reponse.A+

bas moi je lit tout les moi le spider-man ki sort tout les moi et sinon je commence le harry potter je sait je suis en retard.
@+

moa ces troll de troy ,XIII ,samson et neon,ragnarok

je me remet à lire ´Sommeil de plomb´ de RL Stine, c un livre que je lisais quand j´étais ado e je me rend compte que meme en l´ayant lu au moins une dizaine de fois bah je m´en souviens plus !!!

Ouahh l´affaire caius je m´en rappelle je l´ai lu pour ma classe de latin y´a au mmoins 2 ans c´est marrant comme bouquin.
Moi la je viens de finir le livre de ma mère d´Albert Cohen
Pour ceux qui aime les bons bouquins.....

A plus

moi je lit les mangas:
- detective conan
-dragon ball z


ceux sont les 2 meilleurs mangas au monde[smy45] [smy45]

moi je lis alex rider et dragon ball z