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Les Dents De La Mer sombre sur PS2
Qui ne connait pas Les Dents de la Mer ? Un film culte des années 70' qui n'a pas pu échappé à son adaptation vidéoludique. Pour vous, la rédaction a plongé dans les profondeurs de l'océan en compagnie du redouté requin blanc... Verdict.
Qui ne connaît pas Les Dents de la Mer ? Un film culte des années 70' qui n'a pas pu échappé à son adaptation vidéoludique. Pour vous, la rédaction a plongé dans les profondeurs de l'océan en compagnie du redouté requin blanc... Verdict.
Pour remettre les choses dans leur contexte, il faut savoir que derrière le jeu Jaws : Les Dents De La Mer se cache Appaloosa Interactive. Pour ceux à qui ce nom ne dit rien, il faut savoir qu'il s'agit en fait des développeurs du très reposant Ecco the dolphin : Defender Of The Future sur Dreamcast. Un gage de qualité ? En principe oui. Après plusieurs reports, Jaws : Les Dents De La Mer arrivent enfin en France. Le principe du jeu se veut plutôt simpliste puisque le joueur incarne le grand requin blanc. On se retrouve donc propulsé dans les profondeurs de l'océan en compagnie de notre mâchoire ambulante. Premier constat, le requin est plutôt bien ressemblant et les fonds marins bougent bien. À ce moment-là, on pourrait presque croire aux miracles. De plus, l'environnement paraît, au début, plutôt vaste. Malheureusement, on se rend bien vite compte que les fonds marins se ressemblent tous et surtout que l'intérêt de tourner en rond est plus que limité.
Mis à part croquer des poissons pour se nourrir et éviter les plongeurs en colère, on constate qu'il n'y a pas grand-chose à faire. Reste le plaisir intense et parfois sadique de s'approcher doucement des humains près de la plage pour ensuite les déchirer en morceaux. Vraiment jouissif ! Du moins, amusant durant un moment. Une fois l'effet de surprise passé, Jaws : Les Dents De La Mer devient vite lassant : un simple défouloir qui manque cruellement d'intérêt. La mise en scène des missions frise souvent le très mauvais goût.
Sur le plan technique, on ne peut pas dire que le jeu soit laid. Mais on ressent très rapidement le sentiment que le jeu a été bâclé sur différents aspects. Les défauts récurrents comme la vue catastrophique et la maniabilité frustrante n'arrivent pas à le faire remonter à la surface. Jaws : Les Dents De La Mer restera donc dans les profondeurs de l'océan...
Pour remettre les choses dans leur contexte, il faut savoir que derrière le jeu Jaws : Les Dents De La Mer se cache Appaloosa Interactive. Pour ceux à qui ce nom ne dit rien, il faut savoir qu'il s'agit en fait des développeurs du très reposant Ecco the dolphin : Defender Of The Future sur Dreamcast. Un gage de qualité ? En principe oui. Après plusieurs reports, Jaws : Les Dents De La Mer arrivent enfin en France. Le principe du jeu se veut plutôt simpliste puisque le joueur incarne le grand requin blanc. On se retrouve donc propulsé dans les profondeurs de l'océan en compagnie de notre mâchoire ambulante. Premier constat, le requin est plutôt bien ressemblant et les fonds marins bougent bien. À ce moment-là, on pourrait presque croire aux miracles. De plus, l'environnement paraît, au début, plutôt vaste. Malheureusement, on se rend bien vite compte que les fonds marins se ressemblent tous et surtout que l'intérêt de tourner en rond est plus que limité.
Mis à part croquer des poissons pour se nourrir et éviter les plongeurs en colère, on constate qu'il n'y a pas grand-chose à faire. Reste le plaisir intense et parfois sadique de s'approcher doucement des humains près de la plage pour ensuite les déchirer en morceaux. Vraiment jouissif ! Du moins, amusant durant un moment. Une fois l'effet de surprise passé, Jaws : Les Dents De La Mer devient vite lassant : un simple défouloir qui manque cruellement d'intérêt. La mise en scène des missions frise souvent le très mauvais goût.
VidéoTest - Kévin sort les dents sous l'eau
VideoTest Des Dents De La Mer sur PS2
Sur le plan technique, on ne peut pas dire que le jeu soit laid. Mais on ressent très rapidement le sentiment que le jeu a été bâclé sur différents aspects. Les défauts récurrents comme la vue catastrophique et la maniabilité frustrante n'arrivent pas à le faire remonter à la surface. Jaws : Les Dents De La Mer restera donc dans les profondeurs de l'océan...
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