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Splinter Cell : Double Agent
Forum Splinter Cell : Double Agent
Splinter cell:double agent
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Forum Splinter Cell : Double Agent
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Sortie le 19 Octobre 2006
,
Xbox 360
Sortie le 26 Octobre 2006
,
Xbox
, PS2
, GameCube
Sortie le 29 Mars 2007
,
PS3
Sortie le 09 Novembre 2006
,
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Splinter cell:double agent
Page 1 sur 3 / Total : 46 résultats
[SIZE="1"]Dév.: UBISOFT___|Ed.: UBISOFT__|Nbre joueur:1 ou 2__|XBOX Live: 6joueurs max.__[/SIZE]
Le scénario: Carrément plus sombre que d'habitude. Preuve que les gars d'Ubi ont enfin compris que le joueur moyen se fiche de l'habituelle géopolitique de Tom Clancy comme d'une guigne. Ici, on revient a un plan nettement plus humain. Le postulat a le bon goût de mettre en avant Sam Fisher lui-même, quitte a le malmener méchamment. Passé une premier mission au goût de tutorial, on va apprendre très vite la première mauvaise nouvelle d'une longue série: la fille chérie de notre espion favori est morte il y a peu, renversée par un chauffard sur une route sordide. Pas de complot international, pas de vengeance alambiquée, rien qu'un petit fait divers misérable. En tout cas assez misérable pour plonger la vedette de la NSA dans une profonde dépression et lui faire accepter la premier mission suicide qu'on lui proposera: l'infiltration d'un import groupe terroriste, en tant qu'agent double. Et là, le producteur du jeu lui-même, Julian Gerighty, d'avouer leur principale référence scénaristique: l'excellent film hongkongais "infernal affairs", qui aura le droit a un remake hollywoodien par Martin Scorsese.
Le choix d'une telle inspiration officieuse en dit long sur l'ambition du projet SCDA. "Infernal affairs" raconte moins une intrigue de polar que la douloureuse descente aux enfers de deux taupes: un voyou infiltré dans la police, et un flic immergé dans la mafia. Avec toutes les contradictions et tous les dilemmes inhérents a une telle situation: comment concilier des objectifs et des valeurs souvent totalement contradictoires. Car Sam Fisher, dans Double Agent, devra parfois, pour satisfaire ses boss du gouvernement ou ses compagnons criminels, se livrer à des actes que le morale, la justice, l'amitié et le bon goût réprouvent. Et ceci jusqu'au meurtre!
Quand un intérêt supérieur recommande de sacrifier un innocent ou un proche est-il pour autant plus facile de commettre un tel acte? Au cours du jeu, on vous mettra très souvent à l'épreuve. Dès le début, vous aurez à prouver votre détermination en abattant un pauvre gars de sang-froid. Pour avoir assisté à la scène complète, désormais assez fidèle aux ambitions des développeurs, nous pouvons vous garantir qu'elle sera carrément traumatisante. Surtout que la décision vous appartiendra toujours, en définitive. En effet, vous pourrez refuser d'exécuter un ordre qui vous semblera trop injuste. L'essentiel ici demeure d'impliquer le joueur émotionnellement. C'est d'ailleur pourquoi Ubisoft a débauché un animateur traditionnel, Hugues Martel, connu pour son travail sur "Les triplettes de Belleville". C'est a lui qu'ont été confiés les fameux Directed Moments qui remplacent désormais les cinématiques. Parmi celles-ci, généralement plutôt tragiques, on résoudra peut-être dans le sang une histoire d'amour avec une jolie éco-terroriste... Et même du coté des gentils, ça risque de sulfater grave, car pour plaire aux vilains poseurs de bombes, il vous faudra sans doute descendre un autre espion de la NSA, voire vous en prendre à votre supérieur de toujours, ce vieux Lambert. Décidément SCDA entend bien n'épargner rien ni personne, l'histoire de mettre la franchise sur les rails de la nouvelle génération.Et ça, c'est une excellente nouvelle, à la fois pour les joueurs et pour le studio d'Ubi Shanghai. De celui-ci, généralement dévolu aux suites appliquées (Pandora Tomorrow), on n'attendait pas une telle avalanche de nouveautés. Evidemment, le principe même à l'origine de Splinter Cell, la furtivité, est lui aussi remis en question. Notamment en le transposant dans des environnements qui ne lui sont d'ordinaire pas très propice.
[FONT="Garamond"]Ces superbes graphismes écrasés par le soleil rappellent le Mexique de Ghost Recon[/FONT]
Grande nouvelle, Sam Fisher nous prouvait qu'il savait enfin nager y compris en plongée, et qu'il pouvait même utiliser cette capacité pour duper l'ennemi. En tapotant la surface inférieur d'une banquise, il devenait possible d'attirer jusqu'au bord les gardes postés à l'air libre... avant de les agripper pour les immerger dans cette eau mortelle.
[FONT="Garamond"]Sam Fisher adore les jeux aquatiques. Même en dessous de zéro...[/FONT]
Mais de tous les niveaux que nous avont pu voir, Kinshasa demeure encore aujourd'hui le plus audacieux. Certes, ce n'est pas la première mission en plein jour que Sam Fisher doit remplir. Mais cette fois, il le fait dans un contexte urbain où adversaires et innocents pullulent, en plein guerre civile. L'occasion pour Sam d'aborder non plus une déclinaison de sa célèbre combinaison (l'épisode inaugure plusieurs collections, notamment l'hiver arctique), mais un treillis de guerre, un t-shirt douteux et des lunettes de soleil. D'entrée de jeu, on y verra de méchants militaires fusiller une poignée de pauvres gens, avec bien entendu pour vous la possibilité d'intervenir... ou pas, rien dans vos objectifs ne vous y obligeant.
Par la suite, l'infiltration consistera essentiellement à jouer avec la distraction des bad guys et les opportunités du terrain pour se glisser au milieu de ce "merdier", au sens le plus martial du terme. Comme tous les autres niveaux, Kinshasa devrait profiter d'une architecture design très libre, avec moult embranchements. Sur la fin, par exemple, pour passer un barrage de mines et une méchante mitrailleuse, on aura l'occasion de se glisser sous un camion, de se s'accrocher au châssis, et de se laisser conduire tranquillement jusqu'à son but. Pratique!
Le dernier niveau que nous avons pu voir, celui de Shangai, mérite des louanges d'ordre plus technologique. Car si l'Afrique affiche d'ores et déjà des graphismes et une gestion de la lumière au niveau du meilleur de la 360 (qui a dit Ghost Recon?), la Chine possède pour elle toute la démesure d'un environnements urbains les plus impressionnants de la planète. Une fois largué sur une tour de 87 étages, on entreprendra une descente en rappel en pleine célébration chinoise, avec force feux d'artifice et gerbes de couleurs. Pour l'occasion, toute la vue de cette partie de la ville a été reconstituée, et agrémentés d'une vie propre, en mouvement: le fleuve, les routes, tout offre l'illusion d'une Shanghai véritable. De quoi déconcentrer le joueur? A cette altitude, ce ne serait pas sérieux! Surtout après avoir vu une animation carrément périlleuse: Sam, accroché au rebord des fenêtres, sautant d'étage en étage par la seule force de ses doigts. Rude! En tout cas, ce n'est rien de dire qu'en termes graphiques et sonores, le lifting est radical! Côté polygones, on est passé de 3000 dans Chaos Theory à 12000 pour le seul Sam Fisher. La moindre cicatrice sur le crâne du héros est désormais visible, et celui-ci profite de quelque 45 animations faciales différents.
La plupart des personnages principaux ne sont pas en reste. D'autant que vos amis terroristes pourront afficher diverses expressions sur le visage, selon la qualité de vos relations. De la sympathie à la colère, en passant par la neutralité...
On le voit, à tous les niveaux, Double Agent met l'accent sur l'humain et l'émotion, quitte à prendre le contre-pied des opus précédents. Tout ce qu'il manquait à Splinter Cell pour en faire une légende définitive... Affaire à suivre en septembre prochain, du moins si les développeurs mettent les bouchées doubles!!
[FONT="Tahoma"][SIZE="2"]*Sortie:Septembre 2006*[/SIZE][/FONT]
>>Site officiel<<
>>Démo de 2min du jeu<<
Superbe vidéo lors de l'E3. 10min
Le scénario: Carrément plus sombre que d'habitude. Preuve que les gars d'Ubi ont enfin compris que le joueur moyen se fiche de l'habituelle géopolitique de Tom Clancy comme d'une guigne. Ici, on revient a un plan nettement plus humain. Le postulat a le bon goût de mettre en avant Sam Fisher lui-même, quitte a le malmener méchamment. Passé une premier mission au goût de tutorial, on va apprendre très vite la première mauvaise nouvelle d'une longue série: la fille chérie de notre espion favori est morte il y a peu, renversée par un chauffard sur une route sordide. Pas de complot international, pas de vengeance alambiquée, rien qu'un petit fait divers misérable. En tout cas assez misérable pour plonger la vedette de la NSA dans une profonde dépression et lui faire accepter la premier mission suicide qu'on lui proposera: l'infiltration d'un import groupe terroriste, en tant qu'agent double. Et là, le producteur du jeu lui-même, Julian Gerighty, d'avouer leur principale référence scénaristique: l'excellent film hongkongais "infernal affairs", qui aura le droit a un remake hollywoodien par Martin Scorsese.
Le choix d'une telle inspiration officieuse en dit long sur l'ambition du projet SCDA. "Infernal affairs" raconte moins une intrigue de polar que la douloureuse descente aux enfers de deux taupes: un voyou infiltré dans la police, et un flic immergé dans la mafia. Avec toutes les contradictions et tous les dilemmes inhérents a une telle situation: comment concilier des objectifs et des valeurs souvent totalement contradictoires. Car Sam Fisher, dans Double Agent, devra parfois, pour satisfaire ses boss du gouvernement ou ses compagnons criminels, se livrer à des actes que le morale, la justice, l'amitié et le bon goût réprouvent. Et ceci jusqu'au meurtre!
Quand un intérêt supérieur recommande de sacrifier un innocent ou un proche est-il pour autant plus facile de commettre un tel acte? Au cours du jeu, on vous mettra très souvent à l'épreuve. Dès le début, vous aurez à prouver votre détermination en abattant un pauvre gars de sang-froid. Pour avoir assisté à la scène complète, désormais assez fidèle aux ambitions des développeurs, nous pouvons vous garantir qu'elle sera carrément traumatisante. Surtout que la décision vous appartiendra toujours, en définitive. En effet, vous pourrez refuser d'exécuter un ordre qui vous semblera trop injuste. L'essentiel ici demeure d'impliquer le joueur émotionnellement. C'est d'ailleur pourquoi Ubisoft a débauché un animateur traditionnel, Hugues Martel, connu pour son travail sur "Les triplettes de Belleville". C'est a lui qu'ont été confiés les fameux Directed Moments qui remplacent désormais les cinématiques. Parmi celles-ci, généralement plutôt tragiques, on résoudra peut-être dans le sang une histoire d'amour avec une jolie éco-terroriste... Et même du coté des gentils, ça risque de sulfater grave, car pour plaire aux vilains poseurs de bombes, il vous faudra sans doute descendre un autre espion de la NSA, voire vous en prendre à votre supérieur de toujours, ce vieux Lambert. Décidément SCDA entend bien n'épargner rien ni personne, l'histoire de mettre la franchise sur les rails de la nouvelle génération.Et ça, c'est une excellente nouvelle, à la fois pour les joueurs et pour le studio d'Ubi Shanghai. De celui-ci, généralement dévolu aux suites appliquées (Pandora Tomorrow), on n'attendait pas une telle avalanche de nouveautés. Evidemment, le principe même à l'origine de Splinter Cell, la furtivité, est lui aussi remis en question. Notamment en le transposant dans des environnements qui ne lui sont d'ordinaire pas très propice.
[FONT="Garamond"]Ces superbes graphismes écrasés par le soleil rappellent le Mexique de Ghost Recon[/FONT]
Grande nouvelle, Sam Fisher nous prouvait qu'il savait enfin nager y compris en plongée, et qu'il pouvait même utiliser cette capacité pour duper l'ennemi. En tapotant la surface inférieur d'une banquise, il devenait possible d'attirer jusqu'au bord les gardes postés à l'air libre... avant de les agripper pour les immerger dans cette eau mortelle.
[FONT="Garamond"]Sam Fisher adore les jeux aquatiques. Même en dessous de zéro...[/FONT]
Mais de tous les niveaux que nous avont pu voir, Kinshasa demeure encore aujourd'hui le plus audacieux. Certes, ce n'est pas la première mission en plein jour que Sam Fisher doit remplir. Mais cette fois, il le fait dans un contexte urbain où adversaires et innocents pullulent, en plein guerre civile. L'occasion pour Sam d'aborder non plus une déclinaison de sa célèbre combinaison (l'épisode inaugure plusieurs collections, notamment l'hiver arctique), mais un treillis de guerre, un t-shirt douteux et des lunettes de soleil. D'entrée de jeu, on y verra de méchants militaires fusiller une poignée de pauvres gens, avec bien entendu pour vous la possibilité d'intervenir... ou pas, rien dans vos objectifs ne vous y obligeant.
Par la suite, l'infiltration consistera essentiellement à jouer avec la distraction des bad guys et les opportunités du terrain pour se glisser au milieu de ce "merdier", au sens le plus martial du terme. Comme tous les autres niveaux, Kinshasa devrait profiter d'une architecture design très libre, avec moult embranchements. Sur la fin, par exemple, pour passer un barrage de mines et une méchante mitrailleuse, on aura l'occasion de se glisser sous un camion, de se s'accrocher au châssis, et de se laisser conduire tranquillement jusqu'à son but. Pratique!
Le dernier niveau que nous avons pu voir, celui de Shangai, mérite des louanges d'ordre plus technologique. Car si l'Afrique affiche d'ores et déjà des graphismes et une gestion de la lumière au niveau du meilleur de la 360 (qui a dit Ghost Recon?), la Chine possède pour elle toute la démesure d'un environnements urbains les plus impressionnants de la planète. Une fois largué sur une tour de 87 étages, on entreprendra une descente en rappel en pleine célébration chinoise, avec force feux d'artifice et gerbes de couleurs. Pour l'occasion, toute la vue de cette partie de la ville a été reconstituée, et agrémentés d'une vie propre, en mouvement: le fleuve, les routes, tout offre l'illusion d'une Shanghai véritable. De quoi déconcentrer le joueur? A cette altitude, ce ne serait pas sérieux! Surtout après avoir vu une animation carrément périlleuse: Sam, accroché au rebord des fenêtres, sautant d'étage en étage par la seule force de ses doigts. Rude! En tout cas, ce n'est rien de dire qu'en termes graphiques et sonores, le lifting est radical! Côté polygones, on est passé de 3000 dans Chaos Theory à 12000 pour le seul Sam Fisher. La moindre cicatrice sur le crâne du héros est désormais visible, et celui-ci profite de quelque 45 animations faciales différents.
La plupart des personnages principaux ne sont pas en reste. D'autant que vos amis terroristes pourront afficher diverses expressions sur le visage, selon la qualité de vos relations. De la sympathie à la colère, en passant par la neutralité...
On le voit, à tous les niveaux, Double Agent met l'accent sur l'humain et l'émotion, quitte à prendre le contre-pied des opus précédents. Tout ce qu'il manquait à Splinter Cell pour en faire une légende définitive... Affaire à suivre en septembre prochain, du moins si les développeurs mettent les bouchées doubles!!
[FONT="Tahoma"][SIZE="2"]*Sortie:Septembre 2006*[/SIZE][/FONT]
>>Site officiel<<
>>Démo de 2min du jeu<<
Superbe vidéo lors de l'E3. 10min
c'est un jeu de *****! bouh!!!!
mais non! j'attends de voir s'il est aussi bon que les précedents! je suis quasi-sûr mais bon!
après, je le prends sur pc!
mais non! j'attends de voir s'il est aussi bon que les précedents! je suis quasi-sûr mais bon!
après, je le prends sur pc! 
j'attend avec impatience sa sortie ,en plus on peut se tourner du coté du mal ou rester avec les gentils ricains(NSA),et que l'histoire variera énormement en fonction de nos actions
,en plus on peut se tourner du coté du mal ou rester avec les gentils ricains(NSA),et que l'histoire variera énormement en fonction de nos actions 
Ghost-Hacker a écrit:
C'est vrai que cette nouveauté va surment etre le point fort du jeu. Ne pas suivre les ordres direct qu'on vous a donnez, ça donne un tout autre style de jeu.
si on ne suivait pas les ordres de la nsa, sam ne vivrait pas bien longtemps... :cool:
le seul ordre que sam reçoit, c'est d'infiltrer une très grosse organisation terroriste et de ramener des infos! après, libre à nous de nous accorder certaines libertés pour le bien de la mission d'infiltration... (tuer des innocents pour monter dans l'estime des terros par exemple!)
donc, tout le long du jeu, on est toujours du côté des gentils! on fait juste semblant d'être un méchant pour soutirer des infos...
[QUOTE=Bou2004]si on ne suivait pas les ordres de la nsa, sam ne vivrait pas bien longtemps... :cool:
le seul ordre que sam reçoit, c'est d'infiltrer une très grosse organisation terroriste et de ramener des infos! après, libre à nous de nous accorder certaines libertés pour le bien de la mission d'infiltration... (tuer des innocents pour monter dans l'estime des terros par exemple!)
donc, tout le long du jeu, on est toujours du côté des gentils! on fait juste semblant d'être un méchant pour soutirer des infos... ;)[/QUOTE]
Splinter Cell: Double Agent.Tout est dans le titre pourtant!...
Caractéristiques: Incarnez un agent double dans une histoire aux multiples embranchements. Travaillez pour les deux camps et choisissez entre, la NSA et les terroristes. A vous de définir vos priorités. Vos actes influent sur le déroulement du jeu et mènent à différents dénouements possibles. Ce qui aura une concéquence direct avec la fin du jeu...
le seul ordre que sam reçoit, c'est d'infiltrer une très grosse organisation terroriste et de ramener des infos! après, libre à nous de nous accorder certaines libertés pour le bien de la mission d'infiltration... (tuer des innocents pour monter dans l'estime des terros par exemple!)
donc, tout le long du jeu, on est toujours du côté des gentils! on fait juste semblant d'être un méchant pour soutirer des infos... ;)[/QUOTE]
Splinter Cell: Double Agent.Tout est dans le titre pourtant!...
Caractéristiques: Incarnez un agent double dans une histoire aux multiples embranchements. Travaillez pour les deux camps et choisissez entre, la NSA et les terroristes. A vous de définir vos priorités. Vos actes influent sur le déroulement du jeu et mènent à différents dénouements possibles. Ce qui aura une concéquence direct avec la fin du jeu...
Nouvelles images!
L'eau sur les vitres, faut bien l'avouer est tout de même superbe!
On peut même distinguer les cicatrices sur notre Héros. Superbe!
Graphiquement, ça envoit pas mal quand même!
L'eau sur les vitres, faut bien l'avouer est tout de même superbe!
On peut même distinguer les cicatrices sur notre Héros. Superbe!
Graphiquement, ça envoit pas mal quand même!
arkgreen'>C'est Sam, lui ?Ghost-Hacker a écrit:
On peut même distinguer les cicatrices sur notre Héros. Superbe!
Graphiquement, ça envoit pas mal quand même!
arkgreen'>Elles sont où les cicatrices ?
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