Test de Burnout Dominator

Salut à tous !
On se retrouve aujourd'hui pour un test de Burnout Dominator sur PSP, alors c'est parti !
Je tiens à préciser que les photos illustrant mon test ne sont pas les miennes, elles proviennent de Google Images.

Informations

Burnout Dominator est un jeu vidéo de course arcade pour PlayStation Portable, édité par Electronic Arts et développé par Criterion Games, sorti le 26 Avril 2007, destiné à tous publics. Ce Burnout est le dernier opus PSP à ce jour, il suit la lignée de la license Burnout, créée en 2001.

A présent, passons au test:


Graphismes

Le premier mot qui me vient à la bouche est "impressionnants". Non pas qu'ils soient transcendants à couper le souffle, mais ils exploitent parfaitement les capacités graphiques de notre chère PSP. Il y a un réel écart entre le précédent volet sorti lui aussi sur PSP et celui-ci. La preuve en image:


Burnout Legends, le précédent opus


Burnout Dominator

Une note, une note, une note, une... Woooooooooo... Le verdict est passé, 17/20 !

Gameplay

Alors là, c'est de l'arcade pure et dure. Prise en main directe, maniabilité très correcte, même s'il faut cependant un petit temps d'adaptation pour éviter de se vautrer dans un virage. Les possibilités sont très nombreuses, gardant le célèbre Takedown faisant le succès de la série, et une nouveauté: le Burnout. Qu'est-ce que le Burnout? Mauvaise question. La réelle question est: en quoi consiste-t-il? Eh bien il consiste à rouler comme un déjanté (esquiver des voitures à contre-sens au dernier moment, dérapper dans un virage, etc.) pour remplir au maximum sa barre de boost (qui devient alors bleue une fois remplie à fond), et la vider d'une traite. Une fois la barre de boost vidée d'un coup, vous aurez réalisé un Burnout. Mais le plus majestueux, c'est la suite de Burnouts ! En effet, pendant que vous videz votre barre de nitro afin de réaliser un Burnout, vous pouvez continuer à rouler comme un dingue (ce qui va de soi) pour remplir derechef votre barre de turbo afin d'enchaîner un second Burnout ! Le but étant d'en echaîner le plus possible à la suite pour marquer plus de points que de les faire un par un, bien entendu.
Cette nouveauté m'a coûté beaucoup de lignes, mais elle les méritait. En effet, la saga des Burnout manquait d'inovations. Et cette inovation a été extraordinaire, contrairement à la nouveauté Need For Speed-Like que nous a fait subir Burnout Paradise sur PlayStation 3, qui en a laissé plus d'un sur sa faim.
Bref, un gameplay riche, typé arcade, simple jouabilité, une réussite. Ah oui, la note ! 16/20

Bande sonore

Dois-je faire un copier-coller de mon précédent test sur WipEout Pulse ou dois-je répéter qu'une fois encore, la bande-son colle parfaitement au titre? Je m'explique: de l'arcade, du fun; une bande-son Rock 'n' Roll accompagnant bien l'ambiance. Ma note: 17/20, car parfois les musiques sont un peu casse-bonbons.

Durée de vie

L'espérance de vie d'un jeu vidéo décroît à l'inverse de celle de l'Homme qui ne cesse d'augmenter. C'est la durée de vie d'un jeu que je déteste le plus noter. Pourquoi? Parce que je me dégoute moi-même de devoir dire qu'une vintaine d'heure est une bonne durée de vie, alors qu'il y a une quizaine d'année, c'était une arnaque à l'état pur. Vous l'aurez sans doûte compris, si je baisse la barre à l'indulgence d'aujourd'hui, la durée de vie de Burnout Dominator est plus que correcte, une bonne quinzaine d'heures. Vous pourrez également faire des courses ou tout autre mode de jeu pour votre plaisir à tout moment. Pour finir, bien évidemment un mode multi-joueur, indispensable à tout jeu de course qui se respecte (pas comme un certaine MotorStorm...) qui rajoutera énormément à la durée de vie. 15/20


Un jeu qui deviendra mythique dans les années à venir, dans la mesure où c'est le dernier opus à garder cet esprit fermé des Burnout, maintenant comblé par l'esprit Need For Speed reignant dans ce si décevant Burnout Paradise. Un jeu à essayer, et à jouer avec énormément de plaisir pour du fun et des super parties en multi-joueurs.
Edité le 10/03/2008 à 20:38