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Un repreneur providentiel pour Atari
S'il n'a plus grand-chose à voir avec la société pionnière du jeu vidéo, Atari vient encore une fois de sauver son nom... et sa tête.
Le mois dernier, la messe semblait dite pour Atari qui devait pour ainsi dire mettre un terme à ses activités alors que la branche américaine tentait de faire cavalier seul. Aujourd'hui, les choses semblent bien différentes puisque un repreneur aurait été trouvé la semaine dernière.
Un communiqué a même été publié afin d'annoncer « l'arrivée de nouveaux actionnaires pour remplacer le fonds BlueBay » qui du fait de sa position de principal créancier avait plus que son mot à dire dans les affaires d'Atari. Holding détenue par Frédéric Chesnais (un ancien d'Infogrames / Atari), Ker Ventures a racheté pour la somme de 400 euros 25,23% du capital d'Atari SA.
Nos confrères de Challenge précisent par ailleurs que « le fonds Alden se chargera lui d'assurer la ligne de crédit consentie à Atari par BlueBay ». De fait, Atari / Atari Europe SAS « ont décidé de retirer leurs demandes d'ouverture d'une procédure de sauvegarde en France ».
Le fonds Alden et Ker Ventures évoquent aussi le sort de la filiale américaine qui assure aujourd'hui l'essentiel des activités du groupe : 5 millions d'euros devraient permettre de financer cette société, actuellement sous la protection du Chapitre 11. Logiquement, les dirigeants changent à la tête d'Atari et Frédéric Chesnais prend ainsi la place de Jim Wilson... Atari envisage l'avenir plus sereinement et parle même d'un retour de la cotation « dans un délai de quatre à six semaines ».
Un communiqué a même été publié afin d'annoncer « l'arrivée de nouveaux actionnaires pour remplacer le fonds BlueBay » qui du fait de sa position de principal créancier avait plus que son mot à dire dans les affaires d'Atari. Holding détenue par Frédéric Chesnais (un ancien d'Infogrames / Atari), Ker Ventures a racheté pour la somme de 400 euros 25,23% du capital d'Atari SA.
Nos confrères de Challenge précisent par ailleurs que « le fonds Alden se chargera lui d'assurer la ligne de crédit consentie à Atari par BlueBay ». De fait, Atari / Atari Europe SAS « ont décidé de retirer leurs demandes d'ouverture d'une procédure de sauvegarde en France ».
Le fonds Alden et Ker Ventures évoquent aussi le sort de la filiale américaine qui assure aujourd'hui l'essentiel des activités du groupe : 5 millions d'euros devraient permettre de financer cette société, actuellement sous la protection du Chapitre 11. Logiquement, les dirigeants changent à la tête d'Atari et Frédéric Chesnais prend ainsi la place de Jim Wilson... Atari envisage l'avenir plus sereinement et parle même d'un retour de la cotation « dans un délai de quatre à six semaines ».
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