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Psygnosis renait sous les traits de Firesprite
Trois quarts des développeurs de Firesprite sont issus de l'ancien studio de Sony à Liverpool, fermé l'année dernière.
Fondé en 1984, Psygnosis fut l'un des éditeurs/développeurs les plus influents des années 90', très actif sur la première Playstation avec des séries aussi cultes que Colony Wars, WipEout, Destruction Derby ou G-Police. Racheté en 1993 par Sony, la structure est devenue Sony Liverpool en 1999 et s'est vu cantonné au développement des différents WipEout sortis ces dernières années, avant d'être définitivement fermé par le constructeur l'année dernière.
Reste qu'un nouveau venu d'outre-Manche, le studio Firesprite, s'est vu fondé par cinq anciens développeurs de Psygnosis. Sur les vingt personnes que compte le studio, quinze proviennent de l'ex-Studio Liverpool, assurant une forme de continuité indépendante avec l'illustre éditeur/développeur. Forcément très ancrée Playstation, l'expérience de Firesprite a permis de décrocher un premier contrat avec Sony sur le développement de The Playroom, auquel il a collaboré.
Pour autant, Firesprite ne compte pas spécialement se limiter à ce seul constructeur, une solution logicielle flambant neuve ayant même été construite pour l'occasion. C'est le directeur technique Chris Roberts qui l'indique à IGN :
« Nous avons travaillé dur sur la création d'un nouveau moteur et de nouveaux outils qui nous permettent de mettre la puissance créative dans les meilleures mains, celles des artistes et des designers. Nous sommes donc dans une position idéale pour offrir les meilleurs expériences aux joueurs. Cela nous permet de faire tourner nos jeux sur différentes plateformes, mobile y compris, et d'offrir des possibilités particulières à ces plateformes dans le but de faire les meilleurs jeux. »
Le studio aimerait-il continuer de faire du WipEout ? « Je ne sais pas où ce voyage nous mènera. Nous adorons ces jeux, mais la décision ne nous appartient pas. WipEout est un jeu spécial. Son âme vient de l'histoire du développement à Liverpool. ». Compte tenu de la qualité des derniers épisodes en date, espérons que Firesprite ne soit jamais bien loin de la série, dans le cas où Sony souhaiterait faire revivre sa série sur Playstation 4.
Reste qu'un nouveau venu d'outre-Manche, le studio Firesprite, s'est vu fondé par cinq anciens développeurs de Psygnosis. Sur les vingt personnes que compte le studio, quinze proviennent de l'ex-Studio Liverpool, assurant une forme de continuité indépendante avec l'illustre éditeur/développeur. Forcément très ancrée Playstation, l'expérience de Firesprite a permis de décrocher un premier contrat avec Sony sur le développement de The Playroom, auquel il a collaboré.
Pour autant, Firesprite ne compte pas spécialement se limiter à ce seul constructeur, une solution logicielle flambant neuve ayant même été construite pour l'occasion. C'est le directeur technique Chris Roberts qui l'indique à IGN :
« Nous avons travaillé dur sur la création d'un nouveau moteur et de nouveaux outils qui nous permettent de mettre la puissance créative dans les meilleures mains, celles des artistes et des designers. Nous sommes donc dans une position idéale pour offrir les meilleurs expériences aux joueurs. Cela nous permet de faire tourner nos jeux sur différentes plateformes, mobile y compris, et d'offrir des possibilités particulières à ces plateformes dans le but de faire les meilleurs jeux. »
Le studio aimerait-il continuer de faire du WipEout ? « Je ne sais pas où ce voyage nous mènera. Nous adorons ces jeux, mais la décision ne nous appartient pas. WipEout est un jeu spécial. Son âme vient de l'histoire du développement à Liverpool. ». Compte tenu de la qualité des derniers épisodes en date, espérons que Firesprite ne soit jamais bien loin de la série, dans le cas où Sony souhaiterait faire revivre sa série sur Playstation 4.