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Quake Wars : nos impressions sur consoles
Déjà disponible sur PC depuis le mois de novembre, Enemy Territory : Quake Wars est également attendu sur consoles nouvelle génération. Quelques mois avant le lancement, Activision a convié la presse dans ses locaux londoniens afin de nous faire découvrir les nouveaux aspects de cette version. Bien entendu, nous avons pu tester les différents modes durant près de trois heures... Si le jeu tournait sur Xbox 360, les développeurs de Nerve Software nous ont expliqué que les deux moutures (PS3 et Xbox 360) seront identiques en terme de contenu. Un contenu principalement tourné vers le multijoueur, en ligne ou en réseau local.
Mais avant de pénétrer dans l'arène sanglante, rappelons que Enemy Territory : Quake Wars reprend les bases de l'excellent Return To Castle Wolfenstein : Enemy Territory. Cette fois-ci, la trame scénaristique propulse le joueur au cœur d'un conflit opposant les humains de la Force de Défense Mondiale et les Stroggs, des envahisseurs extraterrestres. Le joueur doit naturellement sélectionner son camp avant de rejoindre une partie. Bien sûr, chaque faction de distingue par ses différentes unités. On retrouve donc tout l'armada de la version PC, à savoir une palette importante de véhicule, allant du blindé en passant par le quad, l'hélicoptère ou encore le robot Stroggs. Seul bémol, la maniabilité des véhicules nous a paru délicate et trop rigide. Néanmoins, tous les amateurs de fps hermétiques au pad seront ravis d'apprendre que les développeurs ont exploité astucieusement les commandes. Le changement d'armes et d'outils a été volontairement séparé, offrant ainsi plus de confort et de souplesse. En revanche, on espère que Nerve Software pensera à revoir le calibrage, trop lent, du viseur. Difficile dans ses conditions de sniper un ennemi. Un exercice qui s'avère encore plus délicat sur certaines cartes souffrant de la maladie du brouillard.
Visuellement parlant, cette version semble un poil plus terne que sur PC. Mais dans l'ensemble, la palette graphique de la version PC a été conservée. Mise à part quelques saccades ci et là, le moteur technique semble également tenir la route. De son côté, l'interface a bénéficié d'améliorations notables. L'ensemble étant désormais plus accessible, moins froid. Surtout que le système de classes (qui apparaît plus clairement) nécessite tout de même quelques connaissances. Comme le veut la tradition, chacun des joueurs sélectionne un domaine de compétence, comme par exemple l'ingénieur ou encore le médecin. D'ailleurs, l'action principale de ce dernier, qui permet de soigner ses alliés, a été simplifiée grâce à une seule pression. Outre l'ajout d'un mode tutorial franchement bien réalisé (étrangement annoncé uniquement sur X360), les développeurs ont clairement calqué tout le contenu de la version PC sur consoles, mêmes cartes, mêmes modes de jeu, mais avec moins de participants (en théorie 16 sur consoles). Cela dit, la mouture PC proposait déjà un emballage de qualité avec des cartes à la conception léchée, autorisant des affrontements nerveux et rythmés. On espère aussi que Nerve Software aura la présence d'esprit d'ajouter différents types de réglage comme, on l'espère, la possibilité d'éradiquer les dérives de la visée automatique. À priori, Enemy Territory : Quake Wars devrait arriver avant les chaleurs de l'été sur Xbox 360 et Playstation 3.
Mais avant de pénétrer dans l'arène sanglante, rappelons que Enemy Territory : Quake Wars reprend les bases de l'excellent Return To Castle Wolfenstein : Enemy Territory. Cette fois-ci, la trame scénaristique propulse le joueur au cœur d'un conflit opposant les humains de la Force de Défense Mondiale et les Stroggs, des envahisseurs extraterrestres. Le joueur doit naturellement sélectionner son camp avant de rejoindre une partie. Bien sûr, chaque faction de distingue par ses différentes unités. On retrouve donc tout l'armada de la version PC, à savoir une palette importante de véhicule, allant du blindé en passant par le quad, l'hélicoptère ou encore le robot Stroggs. Seul bémol, la maniabilité des véhicules nous a paru délicate et trop rigide. Néanmoins, tous les amateurs de fps hermétiques au pad seront ravis d'apprendre que les développeurs ont exploité astucieusement les commandes. Le changement d'armes et d'outils a été volontairement séparé, offrant ainsi plus de confort et de souplesse. En revanche, on espère que Nerve Software pensera à revoir le calibrage, trop lent, du viseur. Difficile dans ses conditions de sniper un ennemi. Un exercice qui s'avère encore plus délicat sur certaines cartes souffrant de la maladie du brouillard.
Visuellement parlant, cette version semble un poil plus terne que sur PC. Mais dans l'ensemble, la palette graphique de la version PC a été conservée. Mise à part quelques saccades ci et là, le moteur technique semble également tenir la route. De son côté, l'interface a bénéficié d'améliorations notables. L'ensemble étant désormais plus accessible, moins froid. Surtout que le système de classes (qui apparaît plus clairement) nécessite tout de même quelques connaissances. Comme le veut la tradition, chacun des joueurs sélectionne un domaine de compétence, comme par exemple l'ingénieur ou encore le médecin. D'ailleurs, l'action principale de ce dernier, qui permet de soigner ses alliés, a été simplifiée grâce à une seule pression. Outre l'ajout d'un mode tutorial franchement bien réalisé (étrangement annoncé uniquement sur X360), les développeurs ont clairement calqué tout le contenu de la version PC sur consoles, mêmes cartes, mêmes modes de jeu, mais avec moins de participants (en théorie 16 sur consoles). Cela dit, la mouture PC proposait déjà un emballage de qualité avec des cartes à la conception léchée, autorisant des affrontements nerveux et rythmés. On espère aussi que Nerve Software aura la présence d'esprit d'ajouter différents types de réglage comme, on l'espère, la possibilité d'éradiquer les dérives de la visée automatique. À priori, Enemy Territory : Quake Wars devrait arriver avant les chaleurs de l'été sur Xbox 360 et Playstation 3.
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