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Post? par naito75
Cat?gorie : Reportage
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(naito75)spiderman 3 VIDEOTEST

Date de sortie fran?aise 4 mai 2007

Genre : Action

Jouable uniquement en solo

D?veloppeur : Treyarch

Editeur : Activision

BONNE VIDEO A TOUS

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Publiée le 28/01/2014 à 09:01, par Nerces

Quel logiciel pour capturer vos vidéos PC : FRAPS, Dxtory, Shadowplay et les autres

Jadis considéré comme l'incontournable de la capture logicielle sur PC, FRAPS connaît depuis quelques mois une concurrence de plus en plus rude. Faisons un peu le point... et le tri par la même occasion.

Afin de proposer des vidéos de découverte, de véritables tests ou des solutions complètes, mais aussi simplement pour le plaisir ou la « déconnade », de plus en plus de joueurs PC enregistrent leurs sessions de jeux. Autrefois, cela passait nécessairement par l'achat et la configuration d'une carte d'acquisition, mais FRAPS a ouvert une brèche dans laquelle se sont engouffrés de nombreux développeurs et aujourd'hui, il n'est pas évident de faire son choix entre Action!, Bandicam, Dxtory, Playclaw ou le petit dernier, le ShadowPlay de NVIDIA.

Ces logiciels ont en commun leur accessibilité et ne nécessitent pas de mettre les mains dans le cambouis. Pour ne rien gâcher, ils restent assez peu coûteux et leur configuration est rapide. Problème, ils sont aussi de plus en plus nombreux et il devient délicat de distinguer le bon grain de l'ivraie. Sans prétendre à l'exhaustivité, nous avons comparé certains des logiciels les plus populaires dans le domaine. Nous avons mesuré leur impact sur les performances, la qualité des enregistrements, la richesse des options disponibles, la simplicité de mise en œuvre et... nous avons fait notre choix.

FRAPS
À tout seigneur tout honneur, FRAPS est sans conteste le plus célèbre, le plus populaire et le plus ancien des logiciels du genre régulièrement mis à jour... Encore que, premier problème avec ce vétéran, la dernière version date de près d'un an et on sent bien que la société Beepa n'est plus aussi réactive que par le passé. FRAPS s'articule autour de trois fonctions clefs : l'affichage du framerate, la capture d'images et l'enregistrement vidéo. Il fonctionne sur la majorité des Windows du marché (de XP à 8.1), occupe moins de 30 Mo en mémoire vive et coûte 27 euros pour un paiement unique qui donne accès à toutes les futures mises à jour.

L'affichage du framerate et la capture d'images sont des fonctionnalités relativement simples. FRAPS s'en sort avec les honneurs en n'oubliant aucune des caractéristiques clefs à ce niveau : outil de benchmark pour enregistrer les variations de framerate sur la durée, possibilité de capturer le framerate en même temps que l'image, variété des formats de capture, enregistrement des images en « rafale »... À ce niveau, FRAPS soutient la comparaison avec la concurrence, mais comme nous le verrons, il en va bien autrement du côté de la vidéo.

FRAPS
Là, FRAPS impose d'entrée ses limites en n'acceptant que son codec propriétaire. Limitations également du côté de la taille de la capture puisqu'on ne peut choisir une résolution de sortie autre que pleine-taille ou demi-taille. On apprécie en revanche la possibilité d'enregistrer une seconde piste audio en plus de celle du jeu afin de capturer le microphone. Hélas, cette fonction met en sourdine la bande-son du jeu et s'enregistre au sein de la vidéo : on aurait aimé avoir une option de fichiers séparés. Reste que le principal problème de FRAPS est lié à son codec : il génère d'imposants fichiers vidéo et grève sensiblement les performances en jeu.

Du coup, il est nécessaire de disposer d'un espace de stockage important si on veut enregistrer de longues sessions. Il n'est pas non plus évident de s'échanger les fichiers produits avec des amis lorsqu'une minute de vidéo va chercher dans les 2,6 Go ! Enfin, à moins de disposer d'un gros PC, il ne sera pas simple de capturer en pleine-taille 60 images par seconde et garder un confort de jeu suffisant. En définitive, s'il reste une solution intéressante et fiable, FRAPS paye son manque d'évolution et se fait distancer par certains petits nouveaux.


Action!
Davantage connu pour son lecteur vidéo - Splash - Mirilis s'est mis en tête de concurrencer FRAPS et les autres avec Action!, un logiciel doté de très nombreuses options permettant par exemple d'enregistrer le flux d'une webcam en même temps que celui du jeu. L'interface d'Action! est logiquement très chargée, mais grâce à un système d'onglets plutôt bien pensé, on s'y retrouve assez aisément, même si les icônes pourront perdre les néophytes. Régulièrement mis à jour, Action! occupe un peu plus de 35 Mo de mémoire vive, mais c'est surtout par son prix qu'il se distingue : 29,95 dollars auxquels peuvent s'ajouter 2,95 dollars par mois si vous souhaitez souscrire à l'option Live.

Avant tout destinée aux utilisateurs de LiveStream, Twitch, Ustream ou YouTube, cette dernière option permet de diffuser en temps réel sur les plateformes en question. Dans ce contexte, la possibilité de capturer le flux d'un maximum de deux webcams prend tout son sens et Action! garde une certaine avance sur la concurrence. Petit regret en revanche, une seule source audio peut être ajoutée alors que Mirilis ne donne pas la possibilité de mettre ou non en sourdine le son du jeu pendant que l'on parle. Autre regret, plus important encore, les options d'encodage sont pour le moins limitées puisqu'on ne peut directement choisir le codec de notre choix : il faut faire avec l'option AVI / MP4 laissée par les développeurs.

Action!
Heureusement, il est possible de choisir à peu près n'importe quoi côté définition / framerate de la capture et la possibilité d'apposer une image / un logo à la vidéo est un plus bien sympathique. Notons d'ailleurs qu'une option permet aussi d'ajouter le nombre d'images par seconde à la vidéo. Hélas, ces nombreuses options ne peuvent compenser l'essentiel : Action! est gourmand. Au format MP4, les vidéos qu'il produit sont parmi les plus petites de notre sélection alors que la qualité reste intéressante, mais il fait chuter de manière assez gênante les performances de notre machine de test. Sur DIRT Showdown comme sur Metro 2033, nous observons une baisse de framerate de l'ordre de 30%.

C'est d'autant plus dommage que Mirilis n'a pas oublié toutes les fonctions annexes et avec FRAPS, son Action! est ainsi le seul à proposer une véritable fonction benchmark dans l'affichage de la vitesse d'animation : en plus d'un overlay, on peut donc garder une trace de la fluidité d'un jeu tout au long d'une session. Mais là encore, Mirilis fait les choses à moitié puisqu'à côté de cette option intéressante, il ne propose que trois format d'images (BMP, PNG, JPG) sans possibilité de définir le taux de compression. Malgré de nombreuses options, Action! rejoint donc pour le moment la cohorte des logiciels intéressants, mais trop gourmands pour sortir du cadre des configurations les plus musclées.


Afterburner
Conçu par la société MSI, spécialiste dans le domaine du composant informatique, Afterburner est un logiciel un peu à part dans notre sélection dans la mesure où il se destine avant tout à la gestion des cartes graphiques du constructeur. Précisons d'entrée qu'il ne se limite toutefois pas aux cartes MSI et qu'il est bien sûr doté de fonctionnalités qui vont bien au-delà de ce seul objectif... Ce qui justifie d'ailleurs sa présence dans notre dossier. Afterburner est effectivement pourvu d'options de captures d'images ou de vidéos en plus de fonctionnalités liées à la surveillance de la chaleur ou à la gestion des ventilateurs. Notons en outre qu'il a le bon goût d'être gratuit et de ne consommer que 10-15 Mo de mémoire vive !

Afterburner
Pas très pratique, l'interface de configuration d'Afterburner nécessite de se plonger dans pas mal de sous-rubriques pour parvenir à ses fins et puisque le logiciel permet la surveillance de très nombreuses variables, le nombre d'images par seconde d'un jeu n'est par exemple que l'une des multiples options de l'overlay. Reconnaissons en revanche que la gestion de journaux pour stocker ces informations dans le temps est très pratique. Côté captures d'écran, rien de bien exceptionnel et si MSI ne permet pas d'automatiser la chose, il autorise le contrôle du taux de compression JPG, une option pas toujours présente chez la concurrence.

Sur la partie vidéo, on alterne le bon et le moins bon. Soulignons tout d'abord la possibilité d'utiliser à peu près n'importe quel codec installé sur notre machine avec des réglages relativement précis. On peut ainsi choisir le framerate d'acquisition, la définition d'image et la qualité d'image de manière on ne peut plus simple. En revanche, pas question de trouver des options plus exotiques comme la capture associée du flux d'une webcam. Deux sources audio peuvent s'ajouter à la vidéo, ce qui n'a rien d'exceptionnel, mais devrait suffire pour nombre d'utilisateurs. Impossible en revanche d'enregistrer ces pistes audio sur des fichiers indépendants.

Cela dit, le plus gênant avec Afterburner reste sans conteste son impact sur les performances observées en jeu. Le codec H264 fait évidemment des merveilles en termes de qualité / espace occupé, mais à quel prix ! MSI Afterburner se classe parmi les plus gourmands des logiciels de notre sélection et le passage au format MJPEG ne change pas grand-chose au problème : en H264, les performances plongent de plus de 35% alors qu'en MJPEG nous perdons encore près de 30%. Gardons à l'esprit que la gratuité d'Afterburner est un atout indéniable, mais sa gourmandise le réserve aux possesseurs de grosses machines.


Bandicam
Tout droit venu de Corée du Sud, Bandicam laisse de côté les interfaces pleines de couleurs pour nous offrir quelque chose d'épuré et d'aisément accessible. Quatre onglets pour regrouper les fonctionnalités d'un logiciel qui permet d'enregistrer des images, d'afficher le framerate d'un jeu ou de capturer de la vidéo. Une simplicité qui va de pair avec une occupation mémoire réduite puisqu'elle plafonne à 20 Mo alors que le prix, en revanche, se situe dans la moyenne haute : Bandisoft en demande 33 euros et garantit la gratuité de toutes les mises à jour à suivre.

L'onglet consacré au framerate permet de choisir la position de l'overlay, mais aucune option ne vient concurrencer l'outil de benchmark intégré à FRAPS. Dommage. Du côté de la capture d'images, les choses sont plus complètes : quatre formats (BMP, PNG, JPG normal et JPG haute qualité) sont disponibles, mais on regrette de ne pouvoir définir précisément le taux de compression de l'image alors qu'une option de capture automatique peut être réglée au dixième de seconde près. Impossible en revanche de capturer le nombre d'images par seconde.

Bandicam
De l'avis de nombreux utilisateurs, le point fort de Bandicam est à chercher du côté de la capture vidéo et il faut reconnaître que les options sont nombreuses : divers codecs sont disponibles de base et il est même possible de choisir n'importe quel codec installé sur la machine qu'il s'agisse de la vidéo ou de l'audio. On peut définir à peu près n'importe quelle définition d'écran avec toutes les options de proportion et de framerate qui vont bien. Mieux, on peut capturer deux sources audio, les intégrer au fichier vidéo ou les enregistrer de manière séparée. Seul regret à ce niveau : impossible de mettre en sourdine l'une des deux pistes pendant la capture.

Les amateurs de diffusion sur YouTube seront également très heureux de voir qu'une option permet d'apposer directement un logo sur la vidéo capturée. Pratique. Hélas, et malgré les commentaires élogieux de différents joueurs, nous n'avons pas été impressionnés par les performances de Bandicam. Certes, les fichiers encodés en H264 sont économes en espace disque, mais ils ont un impact non-négligeable sur les performances (-20% environ). De fait, malgré ses innombrables qualités, l'ergonomie de son interface et ses très pratiques options, nous ne conseillerons Bandicam qu'aux possesseurs de configuration musclée.


Dxtory
À l'heure actuelle - et depuis déjà quelques mois - Dxtory est perçu comme le concurrent le plus sérieux pour FRAPS. Il faut dire que le logiciel est sans aucun doute l'un des plus ouverts qui soit, que son prix de 3600 yens (26 euros) en fait l'un des moins coûteux et que son occupation mémoire reste dans la norme (26 Mo). Pour ne rien gâcher, ses créateurs sont parmi les plus réactifs du moment, ils suivent avec attention les remarques des joueurs et font régulièrement évoluer leur projet actuellement en version 2.0.125.

Au lancement, il faut toutefois se rendre à l'évidence, l'ouverture de Dxtory se paye côté interface : sans doute l'une des moins ergonomiques et des plus riches. Différents onglets sont là pour essayer de catégoriser les choses, mais les débutants seront un peu perdus. Autre déception, l'overlay ne propose aucun benchmark, il faut se contenter de l'affichage du framerate du jeu. Heureusement, l'outil de capture d'images est autrement plus complet et permet à peu près toutes les fantaisies : format d'image, compression, résolution, découpage et même un réglage de capture automatique redoutable d'efficacité.

Dxtory
Cela dit, c'est sur la partie vidéo que nous attendions Dxtory au tournant... surtout du fait de la publicité faite sur l'intégration du codec H264. En réalité, Dxtory est capable d'utiliser n'importe quel codec installé sur votre machine de Cinepack à Lagarith en passant par son format propriétaire ou même le codec de FRAPS. Côté options, on peut pratiquement tout faire du choix du framerate, à la résolution en passant par le découpage, la création de marges. Il est possible d'enregistrer jusqu'à 8 pistes audio et, là encore, les codecs accessibles sont très variés, le MP3 étant au programme.

Les choses deviennent toutefois encore plus intéressantes au moment de la capture. Le codec propriétaire de Dxtory s'avère être l'un des plus légers en termes de ressources monopolisées, mais même l'emploi du x264 reste possible. On économise alors un très large espace disque, la taille des vidéos pouvant être divisée par 8 en fonction des réglages retenus. Certains utilisateurs rencontrent un problème avec les fichiers obtenus, des logiciels comme Premiere étant parfois incapables d'exploiter le .avi exporté par Dxtory. Heureusement, une manipulation très simple via ffmpeg.exe permet de résoudre le souci. De fait, Dxtory est sans doute l'un des logiciels de capture les plus intéressants du moment.


PlayClaw
Relativement ancien, PlayClaw a récemment connu un regain de popularité alors qu'il fait maintenant partie des rares logiciels à être disponible au travers du client Steam. Sur le papier, il s'agit d'un excellent programme doté d'un paramétrage riche, mais aussi d'une interface soignée à la mode « Metro ». Moins sympathique, il se distingue aussi par un coût (35,99 euros) et une occupation mémoire (35 Mo) plus élevés que FRAPS. Le prix de la modernité ?

PlayClaw ne se limite pas à l'affichage du seul framerate. Son overlay est capable de faire apparaître de multiples informations à commencer par l'heure, les statistiques d'enregistrement, la température du processeur / de la carte graphique et tout un tas d'autres choses. On peut paramétrer l'apparence de manière très précise et on regrette finalement qu'une seule chose : l'absence d'un véritable outil de bench qui enregistre ces informations sur la durée. Petit regret du côté de l'outil de capture qui offre moins d'options avec le choix entre le PNG et le JPG sans option de compression.

PlayClaw
Bon point en revanche dans la partie capture audio puisqu'il est possible d'ajouter bien plus de sources que nécessaire... Pour nos tests, nous nous sommes limités à 7 ! Il est bien sûr possible de choisir une touche précise pour activer l'enregistrement de chacune de ces sources ou de les enregistrer en continu et, mieux encore, de les enregistrer dans des fichiers séparés pour une édition simplifiée. Sur la partie vidéo, PlayClaw alterne le bon et le moins bon avec tout d'abord le blocage sur trois codecs prédéfinis : TMB2, MJPEG et H264.

On a la possibilité de sélectionner avec précision les dimensions de notre vidéo ou le framerate (entre 5 et 60 ips). Hélas, les contraintes se multiplient ensuite avec par exemple la limitation de sortie du H264 à des fichiers MKV, un conteneur pas toujours bien reconnu et du côté du TMB2, c'est la relecture qui peut poser problème (VLC ne peut rien en faire). Les problèmes les plus importants sont cependant ailleurs : en H264, il faut faire avec une chute terrible des performances alors que le TMB2 génère lui des fichiers deux fois plus gros que ceux de FRAPS ! Enfin, pour ne rien arranger, l'outil de captures d'écran manque singulièrement de réactivité en capture manuelle. PlayClaw a donc du potentiel, mais en l'état, il est à déconseiller.


Shadowplay
Petit dernier de notre sélection, Shadowplay s'intègre au GeForce Experience mis au point par NVIDIA. Logiquement, il est handicapé par un premier problème : il se limite aux seules cartes graphiques de la marque et ne fonctionnera donc pas sur des cartes AMD. En revanche, sa gratuité et ses riches options devraient intéresser plus d'un possesseur de GeForce... Enfin, à condition qu'ils soient équipés d'un modèle de la gamme GTX 6xx ou 7xx puisque seules les cartes de la génération Kepler sont prises en charge par Shadowplay.

Pour poursuivre sur les points négatifs ou les contraintes, appelez cela comme vous voulez, il est important de signaler que Shadowplay ne s'intéresse ni au benchmarking, ni à la capture d'images. Inutile donc d'espérer afficher le framerate d'un jeu ou d'en faire différentes captures fixes. En revanche, si l'on en croit la promesse de NVIDIA, Shadowplay doit exploiter la puissance des GeForce pour limiter l'impact de la capture vidéo sur les performances et force est de reconnaître que nos essais en la matière sont éloquents. Malgré l'utilisation du format vidéo H264, Shadowplay est le logiciel qui grève le moins les performances avec une perte de plus ou moins 5% lors de la capture.

Shadowplay
Mieux, l'utilisation du H264 donc, permet de réduire considérablement la taille des fichiers, et ce, même en choisissant l'option de qualité « élevée ». Pour ne rien gâcher, Shadowplay produit des fichiers vidéos au format MP4 parfaitement reconnus par tous les logiciels que nous avons pu essayer qu'il s'agisse de lecteurs ou de softs de montage : un vrai plus pour le vidéaste amateur. Enfin, NVIDIA se tourne depuis peu vers Twitch : les paramètres comprennent maintenant une option qui permet de diffuser en direct la vidéo capturée sur Twitch, pratique et efficace.

Notons également la possibilité de sauvegarder les cinq dernières minutes de jeu, d'enregistrer le son d'un microphone ou de capturer le flux vidéo d'une webcam. Ces différentes options se configurent le plus simplement du monde, mais on regrette tout de même que NVIDIA n'aille pas un peu plus loin dans les options. On aurait par exemple aimé pouvoir définir la résolution de la capture ou le framerate. Il n'aurait pas non plus été mal d'avoir moyen de mettre en sourdine le son du jeu pendant que l'on parle dans le micro... Mais reconnaissons qu'il s'agit d'options gadgets alors que Shadowplay assure l'essentiel, et ce, gratuitement. Sans aucun doute, LE logiciel que nous avons le plus apprécié dans ce dossier.


Pas encore testée par nos soins, la dernière version de Shadowplay (v1.8.2) promet de nombreuses améliorations, notamment du côté de la configuration avec la possibilité de choisir parmi différentes résolutions (720p, 1080p), plusieurs vitesses d'animation (30 à 60 ips) et de définir le bitrate. Toujours plus de raisons de se laisser convaincre.

PerformancesRetour au sommaire
Lorsque l'on utilise un logiciel de capture vidéo, les fonctionnalités et l'ergonomie de l'interface sont évidemment très importantes, mais au final, l'un des principaux critères reste l'impact que peut avoir ledit logiciel sur les performances. Pour nombre d'utilisateurs, il n'est pas question de devoir réduire le rendu graphique lorsque l'on capture afin de conserver un bon niveau de fluidité.

Pour évaluer cela, nous avons conduit deux tests simples : mesurer la vitesse d'animation moyenne après plusieurs passages sur deux titres, DIRT Showdown et Metro 2033. Dans un cas comme dans l'autre, nous avons poussé les réglages graphiques au maximum et nous avons relevé les performances observées. Notez que pour ce faire, nous avons utilisé une configuration très musclée (Core i7 4770K @ 4GHz, GeForce GTX 780Ti pilotes v331.82, 16 Go de RAM, RAID0 de 2 SSD Intel 330 240 Go). Du coup, ces informations ne sont données qu'à titre indicatif, et ce, d'autant que les réglages des différents logiciels de capture peuvent aussi être très complets.

Performances sur DIRT Showdown ramenées au résultat sans outil de capture (100%)
DIRT Showdown - Framerate

Performances sur Metro 2033 ramenées au résultat sans outil de capture (100%)
Metro 2033 - Framerate

Afin de gagner en lisibilité, nous avons comparé les performances obtenues en cours de capture sur chacun des logiciels. Le résultat « sans capture » a été ramené à 100 et nous vous présentons les performances de chaque logiciel : plus ils sont proche de ces 100 points, meilleurs ils sont. À ce petit jeu, Shadowplay est ce qui se fait de mieux avec Dxtory, à condition toutefois que l'on utilise le codec propriétaire pour ce dernier. Notons que malgré son âge, FRAPS ne démérite pas.

Le second élément à prendre en considération au moment de la capture proprement dite est la place occupée par les fichiers vidéo. Ici, la comparaison est extrêmement délicate puisque d'innombrables réglages de compression peuvent venir altérer ces valeurs. Nous ne vous donnons les résultats ci-dessous qu'à titre indicatif et, en quelque sorte, pour consacrer les H.264 / x264 roi de l'économie d'espace disque !

Espace disque occupé par notre vidéo « bench » (1mn, options de qualité au maximum)
DIRT Showdown - Taille des vidéos

En considérant, les deux informations issues de nos quelques benchs, on voit que la solution Shadowplay est sans doute la plus équilibrée... à ceci près qu'elle nécessite une carte graphique NVIDIA. On apprécie également le travail réalisé par les créateurs de Dxtory et leur bonne utilisation du x264. Il est ensuite très difficile de vous orienter vers les autres solutions : disons que cela dépend beaucoup de vos impératifs, mais vous pouvez voir que FRAPS est encore loin d'être ridicule.

DIRT Showdown - Afterburner MJPG
DIRT Showdown - Afterburner x264

Afterburner en MJPG et Afterburner en x264
DIRT Showdown - Bandicam
DIRT Showdown - Dxtory x264

Bandicam en H.264 à côté de Dxtory en x264
DIRT Showdown - FRAPS
DIRT Showdown - Playclaw H.264

FRAPS et son codec propriétaire puis Playclaw en H.264
DIRT Showdown - Shadowplay

Enfin, Shadowplay en H.264

Suite à quelques problèmes techniques, nous ne sommes pas en mesure de vous montrer des copies d'écran de toutes nos captures vidéo. Les quelques exemples ci-dessus devraient cependant vous convaincre que dans la majorité des cas, il est difficile de faire une réelle différence entre des enregistrements réalisés avec le codec FRAPS, le MJPG et le x264. Encore une fois, tout est bien sûr question de réglages, mais on voit qu'il est tout à fait possible d'allier qualité d'image et taille contenue.

Vous vous en doutez, un tel dossier ne peut se conclure sur un unique gagnant dans la mesure où nos objectifs, nos besoins diffèrent nettement. De la même manière, il ne faut pas oublier que les tests de performances réalisés par nos soins dépendent de nombreux facteurs : en fonction du choix du codec, des réglages et de votre configuration, vous pourriez aboutir à des résultats sensiblement différents. Nous avons cependant tenté de faire ressortir de grandes tendances et la solution Shadowplay nous est apparue comme la plus performante alors que Dxtory est sans doute le logiciel le plus malléable. Des softs comme Action! ou Bandicam ont un potentiel certain, mais se perdent un peu en chemin alors que FRAPS n'a clairement pas à rougir de la comparaison... si on met de côté la taille des fichiers obtenus. Enfin, nous sommes à l'écoute alors n'hésitez pas à nous faire part de vos expériences en la matière, des logiciels que vous préférez et de vos petites astuces.

Notez enfin que nos amis de Clubic ont publié il y a peu un article consacré aux boîtiers externes d'acquisition vidéo. Nous vous invitons à le consulter sans plus attendre.
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