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PlayStation 4 / Xbox One : de la différence des DRM (MàJ)
Malgré les annonces, les conférences et les interviews, il faut rester prudent... tant que nous n'aurons pas les nouvelles consoles dans notre salon.
Mise à jour : Suite à certaines remarques et afin de clarifier notre position qui va bien au-delà du clivage Microsoft / Sony, nous avons apporté quelques éclaircissements à notre précédente brève.
D'un côté, nous avons la Xbox One, sa connexion toutes les 24 heures, sa mise à mort de l'occasion et ses coups bas portés aux joueurs, aux vrais. De l'autre, nous avons la PlayStation 4 qui défendrait les intérêts de ces amateurs éclairés, qui n'empêcherait pas le jeu hors-ligne et ne serait pas opposée aux jeux de seconde main... Au milieu, nous avons surtout une très jolie bataille marketing !
Pas grand-chose à redire du côté du test de connexion opéré par la console de Microsoft : si pour de nombreux joueurs, la console (PS3 ou Xbox 360) est déjà connectée en permanence, rendre la chose obligatoire est assez maladroit de la part du constructeur américain. En revanche, du côté de la gestion des DRM, il nous semble utile de prendre un certain recul, car si Sony semble avoir des arguments intéressants, il donne surtout l'impression d'avoir su caresser les joueurs dans le sens du poil.
Si on lit entre les lignes, il semble que ces verrous numériques soient dans un cas comme dans l'autre laissés à la discrétion des éditeurs tiers. Bien sûr, Microsoft semble plus incisif - notamment à l'encontre du jeu d'occasion - et Sony plus coulant. Mais ne s'agit-il pas de postures ? Est-on vraiment sûrs de savoir à quelle sauce nous allons être mangés ? Souvenez-vous, ni Microsoft, ni Sony n'ont été très prolixes quand il a fallu critiquer le online pass et à JeuxVideo.fr, on préfère donc vous inciter à une certaine prudence, afin d'éviter toute déconvenue.
On sait effectivement que les conférences sont surtout l'occasion de frapper un grand coup et tant pis si les choses évoluent dans les mois qui suivent. On sait aussi que les constructeurs n'ont pas franchement notre intérêt en ligne de mire et dès lors qu'une « horreur » semble entrée dans les mœurs, l'autre a tôt fait de s'y engouffrer (cf. le multijoueur payant sur PlayStation 4). Que les choses soient claires, il n'est pas question de défendre l'un ou l'autre des constructeurs : nous n'avons pas plus d'intérêt chez Microsoft que chez Sony et, pour le moment, nous vous conseillons surtout d'éviter la « bataille-rangée-avec-le-camp-d'en-face » en attendant que l'on y voit plus clair... S'il faut se battre pour faire reculer l'un, l'autre ou les deux protagonistes sur telle ou telle question, autant faire front commun !
D'un côté, nous avons la Xbox One, sa connexion toutes les 24 heures, sa mise à mort de l'occasion et ses coups bas portés aux joueurs, aux vrais. De l'autre, nous avons la PlayStation 4 qui défendrait les intérêts de ces amateurs éclairés, qui n'empêcherait pas le jeu hors-ligne et ne serait pas opposée aux jeux de seconde main... Au milieu, nous avons surtout une très jolie bataille marketing !
Pas grand-chose à redire du côté du test de connexion opéré par la console de Microsoft : si pour de nombreux joueurs, la console (PS3 ou Xbox 360) est déjà connectée en permanence, rendre la chose obligatoire est assez maladroit de la part du constructeur américain. En revanche, du côté de la gestion des DRM, il nous semble utile de prendre un certain recul, car si Sony semble avoir des arguments intéressants, il donne surtout l'impression d'avoir su caresser les joueurs dans le sens du poil.
On sait effectivement que les conférences sont surtout l'occasion de frapper un grand coup et tant pis si les choses évoluent dans les mois qui suivent. On sait aussi que les constructeurs n'ont pas franchement notre intérêt en ligne de mire et dès lors qu'une « horreur » semble entrée dans les mœurs, l'autre a tôt fait de s'y engouffrer (cf. le multijoueur payant sur PlayStation 4). Que les choses soient claires, il n'est pas question de défendre l'un ou l'autre des constructeurs : nous n'avons pas plus d'intérêt chez Microsoft que chez Sony et, pour le moment, nous vous conseillons surtout d'éviter la « bataille-rangée-avec-le-camp-d'en-face » en attendant que l'on y voit plus clair... S'il faut se battre pour faire reculer l'un, l'autre ou les deux protagonistes sur telle ou telle question, autant faire front commun !
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