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Publiée le 08/09/2008 à 00:09, par Yogii

GC 08 : Last King of Africa

Après un excellent épisode PC, White Birds Production s’est penché sur le portage DS de Paradise, le point’n click imaginé par Sokal. Le dessinateur offre donc ses crayons à la console portable, idéale pour ce genre de titre exploitant le stylet. Au cœur du chaleureux stand Focus de la GC, nous avons eu le privilège de nous essayer au titre, essai accompagné d’une succincte présentation. Jeu d’aventure par excellence, Last King of Africa trouvera-t-il son public sur la console de Nintendo ?

La chasse au pixel huntingRetour au sommaire
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Bonjour, vous n'auriez pas vu ma mémoire par hasard ?
Reprenant l’histoire de Paradise, titre de l’opus PC, Last King of Africa se déroule dans un monde imaginaire, de nos jours. La Mauranie, un pays d’Afrique traversé par un fleuve, le Maurane, est en proie à une guerre civile opposant les rebelles au roi Rodon, par ailleurs malade et sur le point de mourir. De retour au bercail à la demande de son père, Ann Smith, fille du régent, survole son pays d’origine lorsque son avion s’écrase. Notre héroïne se réveille dans une luxueuse chambre d’un palais qu’elle ne (re)connaît pas : elle est amnésique. Débute alors une quête pour son identité, qui lui fera traverser une Afrique mystérieuse, sauvage et pleine de surprises.


Peu de nouveautés scénaristiques pour ce portage : les dialogues ont tout de même été synthétisés, tandis que les réactions et attitudes des personnages ont bénéficié d’un souci du détail plus élaboré. Deux points sont cependant à noter concernant le gameplay. Tout d’abord,. Comme il est toujours frustrant de se promener sans savoir où se rendre quand on se trouve dans un jeu d’aventure point’n click, une carte est désormais disponible à tout moment sur l’écran supérieur. Autre modification majeure, l’ajout de « hotspot ». Histoire de ne pas transformer votre écran de DS en vinyle illisible, les développeurs de White Birds ont pensé et mis en œuvre un système qui permet d’éviter le pixel-hunting. Plus besoin de pointer le moindre objet pour chercher des interactions, en appuyant sur la touche sélect, les points d’intérêts s’affichent automatiquement sous la forme d’une étincelle. Reste maintenant à effectuer les bonnes actions dans le bon timing, sans oublier les différents dialogues indispensables à tout bon point ‘n click.



Exit les phases d’actionRetour au sommaire
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Pfff... Personne ne sait qui je suis, je me suicide !
Last King of Africa se répartit en quatre chapitres, dans lesquels il faudra alterner les séquences d’exploration, quelques puzzles et autres énigmes. Par exemple, nous avons pu assister à quelques mini-jeux utilisant le briquet, accessoire indispensable du jeu. L’information qui concerne plus particulièrement les amateurs de la version PC concerne les scènes d’action en 3D. Notamment le passage avec la panthère, qui faisait régulièrement planter le jeu. Les créateurs du portage ont simplifié la chose en supprimant purement et simplement ces phases d’action. A travers des environnements en 2D dans lesquels évoluent des personnages en 3D, Last King of Africa nous a paru se présenter comme un point’n click dans la plus pure tradition des jeux du genre, quitte à manquer un peu de rythme par moment. Espérons que la richesse du script et des graphismes tentera les amateurs, qui devront cependant patienter jusqu’au 30 octobre avant de pouvoir se procurer la cartouche.
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