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Publiée le 23/08/2007 à 00:08, par Ty

Games Convention 07 : Présentation de Geometry Wars: Galaxies

Fort de son succès sur le Xbox Live, Geometry Wars fut l’un des titres les plus téléchargés du Market Place. Kuju Entertainment y a vu un nouveau projet à succès pour la console de salon de Nintendo. Nous avons pu, pendant quelques minutes lors de sa présentation, nous familiariser avec le Shoot Them Up.

Vers l’infini et l’au-delàRetour au sommaire
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Oui, chaque partie de Geometry Wars: Galaxies est un bazar sans nom
Si la wii n’a pas encore pris les mêmes habitudes que sa cousine portable, « on prend du vieux pour faire du neuf. » elle commence à s’y mettre petit à petit. La console virtuelle fut un premier pas, la remasterisation de Geometry Wars: Galaxies en est un deuxième. On retrouve la petite grille bleutée et des ennemis à profusions qui nous foncent dessus et explosent de partout. Pas d’histoire, un seul objectif : shooter et s’en sortir. Pour bien commencer la présentation, une rapide explication s’impose. Comme son genre l’indique expressément, dans Geometry Wars: Galaxies il faut tirer, tirer, bouger et encore tirer, sur les ennemis bien sûr, de toute façon c’est à peu près tout ce qu’il y a sur la grille. Nous n’avons pas le choix des armes mais celui du drone oui. Ce petite engin nous accompagne dans notre périple et se décline sous sept formes, sachant que chacune a une spécialité. Il y aura entre autres, l’attaque (le drone ne lâche plus l’adversaire), le Bait, où la petite machine sert alors d’appât et le Swep qui reste notre favori. Comme il ne fait que nous tourner autour, il empêche les missiles de passer et on perd moins facilement.

C’est au tour de l’interface d’avoir son petit check up complet. Le menu solo donne accès à une galaxie en spirale, on part de son centre et plus on débloque des mondes plus on s’éloigne. La galaxie dévoile des systèmes solaires et leurs planètes. Selon le démonstrateur, tous ces globes auront leur propre style, avec un habillage et des obstacles à chaque fois différent. Pour passer de planète en planète il faudra récolter des gemmes. Ces petits éléments colorés sont laissés par les ennemis lorsqu’ils meurent et servent d’argent pour ouvrir de nouveaux mondes. Comme dans tout shoot them up il faut aussi marquer un maximum de points en éliminant le plus d’opposants possibles. C’est pourquoi on nous encourage à choisir ceux qui rapportent le plus de points. En début de chaque partie les ennemis apparaissent avec le nombre de points qu’ils valent, si cette information semble utile en théorie, en pratique l’action est trop intense pour que l’on puisse tous les distinguer et prendre le temps de choisir.

Après le mode solo vient le tour du multi. Ce mode respecte le minimum syndical avec du Coop et du Versus. La surprise vient de la possibilité de télécharger du contenu de la Wii sur la DS. Le principe n’est pas inintelligent puisque ce genre de jeu addictif passe très bien le temps pendant les longs trajets.

Tu pointes et tu tiresRetour au sommaire
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Graphiquement, la Wii donne le meilleur d'elle-même
Après avoir compris l’objectif principal nous nous sommes intéressés à la manipulation. Le développeur nous tend la wiimote avec un grand sourire, on le regarde timidement tout en attrapant la petite télécommande dans la main droite. « Elle sert à viser et tirer » nous dit-il. On comprend donc que le nunchunk permet de déplacer le vaisseau dans toute la zone. Ce dernier est très maniable et se laisse guider facilement. En revanche la cible, qui a la forme d’une étoile rouge, oppose plus de résistance. Trop sensible par moment, peu réactive à d’autres, on ne sait pas si ces difficultés viennent du manque de place ou d’un problème du jeu.

Quoi qu’il en soit Geometry Wars : Galaxies est, sans surprise, amusant. Lorsque tout explose, on ne voit pas toujours ce qui se passe mais la couleur nous fait apprécier le feu d’artifice. On se rassure, à force de pratiquer on commence à voir la différence entre notre vaisseau et les ennemis. Bien que le principe du titre soit simple, en maintenant la gâchette enfoncée on tire en continue, il faut être habile de ses mains et apprendre à se faufiler pour éviter de percuter le moindre petits ennemis. Une seule collision et on perd le peu de vie que le jeu nous laisse garder. Si on se sent trop surchargé, une simple pression sur le bouton A et l’une de nos trois bombes se lâchent. Tout explose alors sur la grille. On se croit tranquille quelques minutes mais nous revoilà aussitôt pris d’assaut.

bref
Une maniabilité simple pour un concept simple : la recette vintage du succès ?
Le rythme du jeu ne semble pas faiblir et la prise en main est fun et vraiment addictif, on oublie ce qui nous entoure pour ne voir que les petits carrés multicolores. C’est un jeu simple idéal pour le grand public et les fans du genre. Comme d’habitude la wiimote est un atout et renouvelle l’intérêt du titre, mais n’ayant pas pu observer les quelques 60 niveaux qui composent le jeu. La question principale reste entière, de l’intérêt pour le titre, oui mais pour combien de temps ?
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