galaga, multi

Galaga

Editeur / Développeur : Namco
Genre : Shoot Them Up, 1-2 Joueur (s) alterné
Format : Arcade, Nes, etc.
Année : 1981, 1988 pour Nes

A à une époque où les fêtes foraines m’attiraient pour mon village, on trouvait un salon des premières bornes d’arcades qui comprenaient de nombreuses références à son époque.
Des flippers, des « griffes », et d’autres amusements, mais ce qui me fascinait se tourner vers des meubles trop grands pour moi, il s’agissait des bornes d’arcades.

Une claque au départ

Ces meubles qui comportaient de solide chaise pour mieux y jouer, un shoot them up m’a attiré comme un aimant, impossible d’y résister.
Galaxian était considéré comme un des premiers jeux de tir à scrolling, c'est-à-dire que l’image ne restait pas fixe.

Galaga suite logique a marqué les joueurs d’arcade en raison de sa beauté, et de la réputation de l’éditeur avec des jeux comme Xevious.
Graphiquement, ce soft avait bénéficié d’une réalisation très honnête, des sprites de couleurs chatoyantes, des ennemis bien différents et un principe très accrocheur similaire à Space Invaders, précurseur du shoot.




Base solide

Le jeu place le joueur au commande d’un véhicule spatial qui lutte contre des envahisseurs dans un univers hostile, où vous devez bien sûr sauver l’humanité.
Assis sur la chaise, je mettais une pièce dans la fente prêt à découdre les aliens.

Le principe simple, votre déplacement s’effectue de gauche à droite et vice et versa, pas d’autres direction malgré la présence d’un stick arcade bien costaud et muni d’un seul switch (bouton).
Les vagues d’ennemis arrivent à la manière de Space invaders où vous étiez protégé par des murs. Ici, ces adversaires ne restent pas figés sur un seul déplacement, ils peuvent vous taquiner en se déplaçant dans de nombreuses directions pouvant revenir derrière vous.
Vous disposez d’un unique tir, tout comme les « bêtes » qui ressemblaient à des insectes, vraiment original ce genre d’adversaires.

Faible puissance de feu face à cette horde, mais à vous de bien diriger l’engin, ce titre demande un timing précis et aucune erreur n’est tolérée, un tir ennemi ou une frappe directe, c’est la mort assurée.