Sword of vermillon

Éditeur : SEGA
Année : 1990
Genre : RPG
Nombre de joueurs : 1
Console : Megadrive








Prochainement disponible sur la virtua console de la wii, c’est une bonne occasion de vous parler d’un bon petit RPG très peu connu mais de bonne facture…
Sorti au début de la console au japon, il fut un des rares RPG à arriver dans notre pays. Bien avant les futurs Hits que sont Phantasy Star ou Shining Force, Sword Of vermillon proposait un avant goût de ce que pouvait offrir la console dans ce type de jeu.


HISTORIQUE :

L’histoire débute pour notre héros lors d’une guerre qui dévasta le royaume de son père. Sauvé des flammes par un des serviteurs alors qu’il n’était encore qu’un bébé, il fût élevé loin de l’agitation du royaume et des guerres sans fin. Son identité resta caché à la face du monde, même pour lui jusqu’à la mort de ce père adoptif. Notre héros découvrit alors qu’il était l’héritier du trône et qu’il devait combattre pour regagner sa place.
Bref, vous l’aurez compris un scénario très classique, qui s’étoffera au cours du jeu.

LE JEU :

Graphismes : Les villages ou villes sont en vue de haut, comme la majorité des RPG de l’époque. Les graphismes vont du moyen au joli sans jamais atteindre le magnifique. Là où le jeu fait dans l’innovation, c’est lors des phases d’exploration ou de donjons. La vue passe automatiquement en vue subjective (comme un FPS) et le héros avance dans des sortes de labyrinthe verdoyant ou de mur. Une carte apparaît sur le côté permettant de voir la progression du personnage, coffres cachés, grottes, cul de sac, etc….. Assez rebutant au départ, on se fait vite à ce type de déplacement de case par case (comme shining in the darkness pour les connaisseurs). Le principal inconvénient étant de limiter l’espace de mouvement, donnant donc un sentiment d’enfermement. On a parfois l’impression de jouer à un jeu donjon et dragon de l’époque….





Musiques : Sans être vraiment insipides, elles se révèlent sympathique dans les villages mais souvent pesantes lors des combats ou exploration. La mégadrive a largement fait mieux dans le domaine.





Maniabilité - gameplay : Le jeu se joue facilement, les menus sont clairs, succints. Les cartes sont toujours lisible mais attention, elles devront être trouvés dans les villages ou donner par des personnes, sinon vous avancerez à l'aveuglette dans les niveaux. Les villages fourmis de marchands, maisons et autre église où l’on peut sauvegarder allègrement. A vous d’acheter ou récupérer de l’équipement pour votre personnage, dans une évolution très classique des jeux de rôle.
Edité le 16/03/2008 à 19:07