Salut,
Voici le preview de
Blood Will Tell issu du magnifique Mangas!
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Blood Will Tell redonnera l’année prochaine une seconde jeunesse à Dororo, le célèbre manga d’Osamu Tezuka. Mais cette fois vous serez dans la peau des héros, et non plus simple spectateur.
Blood Will Tell s’inspire de Dororo, un manga des années 60 créé par Osamu Tezuka, l’une des figures emblématiques des manga et anime japonais qui nous a quitté le siècle dernier. Le scénario relate les aventures de Hyakkimaru, un samouraï dont le père a vendu à sa naissance les organes à des forces démoniaques. Désormais reconstitué artificiellement, Hyakkimaru part à la recherche de son corps aidé du jeune Dororo, voleur émérite.
Une cure de jouvence
Le graphisme de la série a été remis au goût du jour par Hiroaki Samura, l’auteur de "L’habitant de l’infini" pour les aficionados.
Ainsi Hyakkimaru et Dororo se rapprochent plus dans le design des mangas nouvelle génération.Cela dit, l’environnement graphique reste pauvre par rapport à ce qu’on peut voir chez la concurrence. Des titres comme
Devil May Cry 2 ou Tenchu : La Colère Divine exploitent mieux les possibilités de la console.
A la recherche des organes perdus
Le concept de Blood Will Tell affiche une originalité qui reprend les éléments de la série et imprime un aspect jeu de rôle astucieux pour un titre orienté action. En effet, à chaque fois que vous retrouverez l’un de vos membres, sur l’un des 48 démons à défaire, les caractéristiques et les aptitudes de Hyakkimaru augmenteront. Par exemple, l’aventure commence en noir et blanc et c’est uniquement après récupération d’un œil que l’affichage passe en couleurs.
Samurai certes, mais cyborg avant tout
Pur produit de la science, Hyakkimaru est équipé de différentes armes bioniques, des lames acérées faisant office d’avant-bras, à la sulfateuse, en passant par le canon situé dans les jambes.
En outre, Dororo vous assistera sur certaines phases d’exploration et il sera possible de jouer à deux en coopération. Petit reproche pour le moment en ce qui concerne les animations des modèles 3D. On a l’impression de se battre contre des pantins désarticulés et les mouvements du héros ne sont pas d’une fluidité à toute épreuve.
Espérons que ces défauts de réalisation seront revus d’ici à la sortie du jeu.
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