Comme nouveautés aussi, vous pouvez sprinter, très utile, je vous jure. Moi, ce que j’adore dans ce jeu, c’est qu’on peut faire mumuse sur les toits, et c’est stylé de faire comme Spydey dans le premier volet ! La bande son, est assez bonne, je trouve. Il y aura des moments, que vous allez tellement galérer, que je parie qu’y en aura au moins un qui lâchera avant d’avoir fini ! Comme le moment sur le train, ou alors à la fin du jeu, contre Doc Ock ! J’ai adoré buter cette enflure de Docteur Octopus, mais j’ai galérer, autre nouveauté, l’esquive, sans qui, vous ne pourriez jamais finir ce jeu, car contre Doc Ock, c’est très utile, esquiver les tentacules, enfin, les quatre bras de Doc Ock, vous devrez faire ça : Esquive, tissage, autrement dit (Sur Game Cube ) « X-Y » comme ça, les tentacules seront fixer au sol, et vous pourrez tuer le Doc en douce. Le mode achat, est super, car, sans ça, vous ne pourriez jamais battre des gars qui sont forts ! Aussi, il y a un mode ralenti, où vous êtes plus rapide que quiconque, vous aurez besoin de ça aussi pour battre Doc Ock à la fin. La jouabilité est très bonne, vous ne mettre, pas beaucoup de temps avant de comprendre les touches. Bon maintenant que vous savez presque tout sur ce jeu, passons au :
Bilan :
Jouabilité :
Très bonne, vous ne mettre pas beaucoup de temps avant de connaître les touches. 16/20
Durée de vie :
Excellente, qu’est-ce que ça à changer depuis le temps ! 16/20
Graphismes :
C’est assez beau, franchement, je trouve moi ! 16/20
Bande son :
Très bonne, ça va, j’adore les musiques, surtout celle de la transformation du Professeur Otto Octavius. 18/20
Scénario :
Excellent ! Il suit de très près la trame du film et celle du livre. Malheureusement, trop de choses sont changées. 14/20
Note finale :
Il y a aussi les nouveautés, qui rajoutent un point à la note, ce jeu est bien, et c’est pour ç a qu’il reçoit la note moyenne qui est 17/20 de la part de la rédac. De Wallyd !
« Quoique je fasse, où que j’aille, jamais je n’oublierais ces mots, Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, j’ai reçu là un don, une malédiction, qui je suis ? Je suis
Spider-Man ! » C’est comme ça que nous laisser Peter dans le précédent volet, dans celui là, ça à complètement changé, « Quoique je fasse, où que j’aille, tout ceux que j’aime ne finiront jamais de périr, de souffrir, Spider-Man, c’est terminé ! » Si c’était terminé, on aurais jamais fini le jeu !
Wallyd le Prince de Perse
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