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Publiée le 16/06/2011 à 00:06, par Yse

Dragon's Dogma

Dévoilé à quelques semaines de l’E3, et après avoir fait parlé de lui via un mystérieux site teaser, Dragon’s Dogma se laisse enfin approcher à Los Angeles dans une version jouable. Une toute nouvelle licence à l’actif de Capcom qui ne nous a pas laissé de marbre, et en voilà les raisons.

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Capcom ne se résume pas à Resident Evil et Street Fighter. Dorénavant, pensez au géant nippon avec le nom de Dragon’s Dogma en tête. Et contrairement à beaucoup d’autres, qui s’aventurent sur un nouveau terrain à tâtons, Capcom y met toute sa foi et surtout son argent. Comprenez que Dragon’s Dogma est l’une des plus grosses dépenses depuis la création du studio. On sera ravis d’apprendre que l’équipe en charge du développement est celle qui nous a gratifiés de deux excellents jeux, à savoir Resident Evil 4 et Devil May Cry 4. Pour ce que l’on sait du pitch, Glynn (nous), un jeune guerrier, s’est fait subtiliser son cœur par un dragon. Il va donc partir en quête de son bien perdu à travers un gigantesque univers médiéval.

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Bien installés sur le stand de Capcom, nous nous adonnerons à deux niveaux choisis pour cette présentation. Le premier nous larguera dans un labyrinthe sous-terrain infesté de gobelins braillards et autres harpies peu hospitalières. Nous y apprendrons à contrôler notre héros, seul personnage jouable, entouré de trois compagnons recrutés préalablement dans des villes et villages. Le groupe est complet, nous pouvons foncer au cœur de la bataille. Malgré son aspect de RPG, Dragon’s Dogma se rapproche plus du jeu d’action. Les diverses compétences de notre guerrier s’effectuent en maintenant L ou R (l’un assigné aux techniques d’épée, l’autre aux techniques de bouclier), pour peu que la barre d’endurance, également utilisée pour sprinter, nous le permette. C’est fluide, nerveux, et les compétences offrent une diversité à la hauteur de leur efficacité. Si telle situation nécessite de charger l’ennemi l’épée en avant pour arriver au corps à corps rapidement, une autre nous demandera de nous protéger d’une rafle de flèches, ou encore de « buffer » nos alliés avec un cri de guerre. Les affrontements semblent donc avoir été pensés pour mettre à profit un maximum de nos techniques.

Le Seigneur Des DragonsRetour au sommaire
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Une fois les couloirs du donjon nettoyés, nous débouchons sur la salle que nous cherchions. Le boss du donjon, une chimère, nous prend de court et nous oblige à engager la bataille. Le combat est long, difficile le temps de trouver la stratégie à adopter. L’I.A des alliés - un peu à la ramasse - peut être contrôlée via des commandes simples placées sur les gâchettes. Appelez à l’aide, et votre mage lancera un sort de soin pour vous requinquer. Bien entendu les ordres sont assez variés pour nous offrir un contrôle quasi-total sur notre groupe, même si l’on aurait aimé une I.A plus travaillée à l’occasion de cette session. Le monstre de légende rend finalement l’âme, nous nous empressons d’entamer la seconde mission, un bossfight contre un griffon, cette fois dans un environnement ouvert.

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Avec étonnement, nous découvrons que notre héros abandonne épée et bouclier au profit d’un arc et de dagues, et bien sûr des techniques qui vont avec. Tout comme sur la mission d’avant, ces compétences seront mises en contribution de manière intelligente. On ne s’étendra pas sur le combat suivant, sachez toutefois que nous avons pu nous agripper à la bête pour la massacrer en plein vol, pour au final la mettre en feu et l’obliger à atterrir pour le coup de grâce. Les compagnons pourront d’ailleurs être changés au fil de nos rencontres et selon nos besoins (spécialisations, apparence etc.). Enfin, s’il ne semble pas possible de monter en niveau, nous savons qu’il sera possible d’endosser différents rôle, comme celui du guerrier, du voleur ou encore du mage. En ce qui concerne l’équipement, pas beaucoup d’information dessus, mais vu l’orientation action de Dragon’s Dogma, on peut supposer qu’il ne se posera pas comme un aspect majeur du titre. On misera plutôt sur son monde, que l’on nous promet immense, entièrement ouvert, plein de vie grâce à plus de 250 personnages doublés. Mais on ne comptera pas sur un quelconque multijoueur ou mode coopération, Dragon's Dogma étant un jeu uniquement solo.


On aura tout notre temps pour attester de la fraicheur du jeu début 2012, sur Xbox 360 ou PS3, au choix.
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