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Sortie le 04 Juin 1992 , Autre Sortie le 07 Avril 2008 , Super Nintendo

Castelvania IV, Snes

Page 1 sur 1 / Total : 19 résultats

Castelvania IV





Développeur : Konami
Editeur : Nintendo
Genre : Action, Plate-forme/ 1 joueur
Support : SuperNintendo et Sinclair (ordinateur)
Date : 1991

Bien avant les volets superbes de la Psone et ceux de la GBA et malheureusement de la descente aux enfers des versions N64, Castelvania a connu de grands succès et demeure dans la mémoire collective des joueurs comme étant des titres superbes ajoutée à une ambiance fantastique de haut niveau.

Encore une démonstration en force

A l’image d’un grand nombre de jeux sur la SuperNintendo, Super Castelvania IV (le terme Super utilisé pour les suites sur cette console comme Super Probotector, contra III), cette nouvelle chasse au vampire se présente un atout supplémentaire de la console en montrant à outrances les qualités de la console.
Par la suite, du test, j’indiquerai les qualités et les défauts de ce titre.




Prêt à bouter l’ennemi

Le jeu démarre avec une très belle introduction où vous voyez la tombe du Comte Dracula frappé par la foudre, et une chauve-souris s’échappe de la dépouille et ensuite le cimetière est recouvert d’une épaisse brume accompagnée d’une symphonie presque malsaine.
De plus, un texte vous explique la dérive des événements (malheureusement en anglais).
Le menu s’annonce avec des bruits d’animaux, ainsi que des araignées et des ombres de chauve-souris, hélas la censure a sévit sur la version européenne et américaine.

Vous remarquerez la possibilité de modifier les paramètres de la manette. Cette dernière est parfaitement utilisée tout comme un certain F-Zero.
De suc croit, vous remarquerez un système de mots de passe, la cartouche ne contenait pas de pile de sauvegarde. A savoir, que les Passwords sont propres au nom du joueurs, et ils sont symbolisés par des objets : Quatre lignes et quatre cases, vous devrez bien copier vos codes.

Castelvania IV se situe bien loin de Simon’s Quest où le coté RPG était dicté. Ici, vous avancez à la façon de Final Fight, mais attention aux nombreux pièges et du bestiaire du Comte.
Si vous avez eu le loisir de jouer au premier Castelvania, vous trouverez des similitudes.


Un Beat Them all, donc ?

Le héros, Simon Belmont (d’après mes recherches) reprend le fouet, ainsi que les armes habituelles : eau bénite, poignard,... .
Vous bénéficiez d’un plus non négligeable, votre fouet aura une utilisation multiple comme la protection des attaques mais aussi pour travers des passages très ardues (niveau 4 du jeu par exemple).
Simon est plus rapide et plus agile. Le fouet de Simon, sous n'importe quelle forme, est un outil mortel à utiliser, comme il peut fouetter dans chacune des huit directions tandis que se tenant et dans le ciel.

Konami a modifié le système des armes complémentaire, en attribuant deux options supplémentaires.
Un boomerang, si vous ramassez l’option double voire triple, vous lancez de un à trois boomerangs afin d’affliger un maximum de dégâts aux monstres, mais cela a un coût à vous de ramasser les cœurs, points permettant de lancer cette arme.

Contrairement à Final Fight de Capcom où les ennemis arrivent par vague, ici vous pouvez les éviter au risque de perdre de l’énergie et de chuter.
Vous allez rencontrer une grande variété de monstres en tout genre comme les zombies, les squelettes, les plantes, …bref tout vous empêcher d’avancer.


Edité le 27/06/2007 à 19:15
 
 
La Beauté est un ennemi traître

Dès le départ, vous êtes au abord du château. Le passage au pont-levis est mémorable et ensuite, vous abordez un jardin, et là tout se complique.
Même après le nombre d’années, je suis encore surpris par les graphismes, on dirait que nous sommes en face à des tableaux d’aquarelles de toutes beauté, prouvant que la 2D demeure une référence.




Dès le premier niveau, vous devrez jongler entre les grilles pour avancer et éviter la chute, et en plus des corbeaux profiteront pour vous attaquer, car ces derniers sont très bien camouflés par les décors, à titre d’exemple.
Autre subi lité du décor, le cours du d’eau que vous suivrez au cours d’un jeu regorge de quelques pièges en outre, vous ralentissez dans vos mouvements et des pics vous attendent à différents endroits, sans compter les gargouilles et les « poignées de mains » seront vos adversaires.





A un moment, le fouet sera utile car il vous sauvera à deux reprises, vous entrez dans une pièce de tout ennemi, seul un anneau en forme d’oiseau sera présent.
La pièce tournera d’elle-même, prenez votre arme et attachez-vous à la manière d’Indiana Jones jusqu’à ce que la pièce retrouve sa forme originale et là affrontez les vagues de méduse.
Cette technique est le fameux mode 7 de la Snes, la rotation.
Ensuite, un sol apparaîtra et vous prenez de nouveau votre fouet afin d’atteindre la plate-forme pour continuer.

Des plaies et des boss

Que serait un bon Castelvania, sans ces monstres fantastiques ! A chaque fin de niveau, souvent dans la majorité des cas, des gardiens vous tiendront en respect, à vous de trouver la faille et d’être patient.

Avant d’affronter ces personnages, des passages ardues sont répandus dans les niveau, allant du simple saut afin d’éviter la chute, en passant par une gestion du grappin (fouet) et en élimant bien entendu les chauve-souris avant.
Il ne faut pas oublier les pierres se dérobant sous vos pieds, les trappes invisibles (dernier niveau), les plaques qui se retournent, bref le héros aura de nombreuses difficultés avant de lutter contre Dracula.

Le golem de pierre, boss imposant par sa taille vous étonnera par la grandeur du sprite face à Simon Belmont.
Vous le frappez et ce dernier s’étendra pendant une courte durée, la fonction (super) zoom de la Snes a servi une fois de plus au service de ce superbe jeu.
Quelques distorsions contre l’hydre à deux têtes, ainsi que l’effet du reflet de l’eau, gardien très facile à battre.

A chaque niveau, vous remarquerez une carte indiquant votre progression. Vous traverserez des lieux variés : la grotte, une salle de bal, une écurie,…
Tous ces décors sont une palette de couleurs à nos yeux, mais méfiez-vous du bestiaire et des pièges, encore une fois.

La majorité de ces ennemis possèdent un mécanisme propre à eux, à vous d’être patient et à analyser les décors à votre avantage : plate-forme, éviter les attaques (langue qui se déplie, cas de la tête de mort).
Le plus beau boss demeure bien évidemment le Comte Dracula, avec ces éclairs et ses disparitions, que du bonheur.


Edité le 27/06/2007 à 19:13
 
 
Castelvania IV, le mythe de la Snes

A savoir qu’une version presque identique fût sortie sur ordinateur sinclair X68000 (source Retro Game) supérieure en terme de gameplay.
Castelvania est une série qui se mérite et demande une très grande rigueur au départ, pour les néophytes. La raison provient de la qualité des sauts et ainsi que l’animation qui peut sembler rigide pour certains.
Après avoir énuméré, ces défauts que je considère comme mineur à mes yeux et aux fans.




Akumajo Dracula se présente comme un excellent titre d’action plate-forme, et une référence encore maintenant.
L’ambiance musicale est une nouvelle fois unique, et correspondent à chaque tableau, le calme pour la grotte, un ton stressant pour le niveau de tour.
Des murs cachant des objets comme de la nourriture ou des objets puissant comme la montre stoppant les ennemis pour une période, ces éléments ajoutent une petite recherche dans la survie du personnage.
Je citerai également les pièces cachées regroupant un armement plus que conséquent.
Il est difficile pour moi de parfaitement décrire ce titre, la meilleure solution est que vous y jouez et vous comprendrez au mieux l’émotion de ce superbe jeu.


+ Castelvania revenant sur les bases d’origines,
+ Ambiance sonore et graphique unique,
+ Action prenante du premier niveau jusqu’à l’affrontement final,
+ Augmentation du pouvoir des armes secondaires,
+ Référence de la SuperNintendo
+ Mots de passe.


- Animation légèrement raide,
- Sauts demandant de l’entraînement.



Graphismes : 18
Maniement : 15
Son : 18
Durée de vie : 16
Scénario : -


Note Globale : 18.00/20






Remerciements :
Pikachu 2000, Shenhua.

Edité le 27/06/2007 à 19:00
 
 
Voici de nouvelles images du jeu.


Edité le 27/06/2007 à 18:58
 
 
 
Super Castlevania IV






Un titre inépuisable ?


Il est de ces sagas qui au fil du temps, non content de nous faire profiter de titres déjà excellent dès leur naissance, se bonifie au fur et a mesure que l’évolution technologique progresse, alliant technologie récente avec talent d’inventivité pour des titres qui sortent de l’ordinaire.

Premièrement apparu sur nes dans un épisode qui traça les grandes lignes d’une saga inépuisable, castlevania n’en fini pas de nous surprendre et ce encore mainent sur des plateformes telle que Nintendo DS dont les titres constituent a coup sûr l’un des meilleurs morceau de la machine.
Il n’est d’ailleurs pas rare de constater en parlant de titre culte que castlevania représente la plupart du temps un titre qui, traversant quasi chaque support, se paye le luxe d’être un des titres incontournable dans presque chacun de ses passages.
Belle performance qu’il me fallait souligner, bravo konami
.


Castlevania, un action RPG uniquement?

Actuellement connu sous cette forme là, style popularisé notamment depuis l’épisode événementiel apparu sur psone qui repris le concept du deuxième opus apparu sur nes ( voir test castlevania 2 simon quest de keniori : [/SIZE][/FONT][FONT=Times New Roman]http://www.jeuxvideo.fr/forum/showthread.php?t=96238[/FONT][FONT=Times New Roman] ) , il faut savoir qu’avant tout, sous sa forme original apparu sur nes, castlevania était un titre de plateforme teinté d’action dont le déroulement se passait de niveau succédant un autre niveau et dont le but était de venir au bout de chaque fin de stage d’un boss.[/FONT]

Si aujourd’hui, la nouvelle génération de gamer n’a en tête ce titre que sous sa forme action/rpg, sa forme original plateforme/action fut décliné sur diverse machines ( nes, super nes, gameboy, mega-drive… dont d’ailleurs Super Castlevania IV en représente le meilleur choix, précéder juste devant par l'épisode apparu sur nec, injustement méconnu du grand publique.
On notera également que des titres apparurent en 3d, mais les puristes le diront, un castlevania ne sera jamais aussi bon que sous sa forme traditionnelle, la 2d.


Prologue

Nous sommes à l’aube d’une nouvelle catastrophe. Le ciel s’obscurcis, une tombe parmi tant d’autre se dresse dans un cimetière. Seulement voilà, cette tombe n’est autre que celle du comte Dracula qui se verra ressuscité et revigorer physiquement et psychiquement suite a un coup de foudre qui le libérera de son profond sommeil afin de pouvoir a nouveau semer la terreur en Transylvanie et de pouvoir redonner une nouvelle excuse pour notre Simon belmond, chasseur bien connu des vampires de reprendre du service…
Un prologue classique, bien connu des amateurs de castlevania et qui ne sera prétexte qu’à nous fournir un titre excellent. Qui s’en plaindra ?

Une brume, un pont, il se redresse derrière vous, le jeu commence…


Armé de votre fidèle fouet, vous voilà lancé dans le premier niveau qui constituera l’occasion idéal pour vous frayez un chemin tout en vous familiarisant avec les commandes du jeu, et là, première surprise, le jeu a considérablement évoluer depuis les opus précédant sur nes et les possibilités de gameplay bien plus étoffé.
Qu’elle n’est pas la bonne surprise de constater que dorénavant, votre arme est manipulable dans tout les sens ! Votre fouet pourra claqué vers le bas suite a un saut, vers le haut, ainsi que dans les diagonales…en tout ce sera donc chaque direction de la croix du pad qui pourront trouver utilité mais le système ne s’arrête pas là, en gardant enfoncer la touche action, votre fouet prendra une forme flasque, avec qui un simple mouvement de la croix pourra le faire remuer délicatement…utile lorsqu’on se trouve en hauteur sur une plateforme et qu’un ennemie se trouve un cran en dessous. Bien évidemment, rien ne vaudra un bon coup bien placé, les dégâts y étant bien plus important.

Ajouter a cela les armes secondaires bien connu des précédant opus telle que le boomerang, l’eau bénite, la montre a figer le temps pendant quelque seconde, la hache... et vous voilà parer a casser du monstres dans tout les recoins.

Autre nouveauté fort appréciable, la présence inédite d’anneau qui parsème le jeu, le plus souvent suspendu au dessus de précipice, vous permettant un passage en vous balançant d’anneau en anneau, un procédé et une nouvelle venue qui pour l’époque et pour la série fut fort jouissif.

Niveau contenu, le soft de konami dévoilera celui-ci à travers 11 niveaux à la difficulté progressive extrêmement bien dosé. On commencera par se frayer un chemin dans la cour d’entrée du château de Dracula, pour ensuite traverser un marécage, aboutir dans le château même, parcourir une bibliothèque, gravir une horloge…le parcours est fort similaire au troisième opus paru sur nes dont ceux qui auront jouer seront reconnaitre la patte niveau design. Il n’est d’ailleurs pas rare dans le jeu d’observer dans le décor certain clin d’œil a castlevania 3, comme par exemple un niveau ou juste avant de rentré dans le château, vous apercevez trois statut dans le décor, une brisé au milieu qui fait référence a un passage vécu dans le troisième titre de la série. Amusant quand on est conscient de ce genre de détail.

Super Castlevania IV, un titre toucher par le maniérisme de michael-ange?


Bon, il faut toujours savoir relativisé et remettre un titre dans son contexte pour aborder la partie technique.
Graphiquement, on peut se souvenir que pour l’époque, le jeu est rester pendant longtemps source de vitrine technique, et pour beaucoup considéré comme une des plus belle claque que le jeu mettait au joueur en découvrant les premiers titres et mêmes ceux de la génération suivante.
out était mis en œuvre pour faire étalage du fameux mode 7 qui ne cessait de faire parler de lui a l’époque, que ce soit dans le niveau ou le décor tourne, donnant l’impression de traverser un tonneau, ou toujours dans ce même niveau ( le 4ème pour être précis ), la pièce se mettait a faire un 180° pour inverser le décor et vous faire accédé a la sortie de la pièce. Sans compter les passages ou vous passer un gouffre en vous déplaçant sur un lustres géant qui bascule d’un coté vers l’autre, la map qui mettait en application un système de zoom directement emprunt des bornes d’arcade de l’époque etc… sans oublier que le décor, fort travailler, faisait souvent défiler devant nos yeux trois plan de profondeur, qui contribuait grandement a l’immersion de part ces nombreux détails qui jongle d’un peu partout : des livres qui bougent, des lustres qui s’écroule, des mures qui se brise, des barrières qui se dressent et sépare l’action sur deux plan de profondeur, a la manière d’un fatal fury… tout était vraiment fournis pour donner du grand spectacle, et croyez bien que pour l’époque, ça en jetait vraiment et le pire dans tout ça, c'est que actuellement, ben ca n'a pas vraiment changer!

]Seulement voilà, si techniquement le titre est une vrai réussite, on pourrait très sérieusement se poser quelque question concernant le choix des couleurs d’où la référence avec le maniérisme, ce mouvant d’art qui entre autre se servait de couleur extrêmement acidulé. Ici les teintes sont étrangements choisies, on passe parfois même de couleur sobre avec des éléments teintés de mauve, de vert ou de bleu ultra criard, a la limite du fluo, tranchant directement avec le reste du décor, certain y voit la dedans un style a part, d’autre y déchiffre une faute de goût, tout dépendra de chacun, en tout cas, on ne peut pas ne pas le remarqué.

Coté animation, même si le scrolling est légèrement haché, ce la ne nuit nullement a la jouabilité, qui demeure malgré tout très précise. Les feuilles bougent, la flemme des bougies vacillent, l’eau s’écoule dans le décor...du beau travail. Néanmoins, on constatera une rigidité vraiment prononcé au niveau de n’importe qu’elle protagoniste du jeu, a deux ou trois exceptions près, a commencer par le héros que l’on dirige, véritable piquet mobile.





Message edité le 27/06/2007 à 19:16
Message edité le 27/06/2007 à 19:17
Message edité le 28/06/2007 à 06:05
Message edité le 28/06/2007 à 06:05
Message edité le 28/06/2007 à 06:07
Message edité le 28/06/2007 à 06:13
Message edité le 28/06/2007 à 06:21
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
Le meilleur pour la fin

J’aurais put aborder ce point d’entrée de test, tellement cette élément constitue un des facteurs essentiel de la saga, en particulier sur ce titre et sur celui sorti sur psone, je parle bien entendu de la bande son.[
Si au niveau des bruitages, le titres reste très classique, voir même parfois ridicule (suffis d’entendre le bruit des vols de chauve souris ou de la foudre de l’intro pour s’en convaincre ^^), il en est tout autre au niveau des musiques, qui sont tout simplement époustouflante de qualité et d’une richesse instrumentale et d’harmonisation qui respire ici le sans faute,totalement dans l’esprit gothique a l'image du jeu, avec des instruments telles que l’orgue, le piano … le tout créant une ambiance hors du commun !

De mémoire de joueurs, sur cette plateforme qu’est la supernes, il n’aura eut que très peu de jeu pouvant se targuer d’avoir fourni des titres musicaux qui même 10ans après, trotte encore dans vos têtes et il suffit d’entamé le premier niveau du titre pour se rendre compte de la claque sonore qui vous attend tout au long du jeu.





En conclusion :

Allez, ne boudons pas notre plaisir sous prétexte que le soft offre en soi quand on y pense, un gameplay tout a fait classique, après tout en s’en fout et c’est ce qui fait la fierté d’un Castlevania ! Super Castlevania IV représente une première génération de jeux super nes qui étaient destiné a tout mettre en œuvre pour que même 10 ans plus tard, on soit toujours tenté de se replonger pour une petite partie, ici nous sommes bien en présence d’un de ces joyaux, véritable hymne au plaisir ludique qui conciliera amour du pad et amour de belle chose, le tout dans déluge de féerie auditive.

[A bon entendeur, foncez.




graphisme: 17/20
jouabilité: 18/20
son: 19/20 ( je ne mets pas [COLOR=blue]20 car cette cote comprend les bruitages sinon...)[/COLOR]
durée de vie: 17/20
scenario: ?...

note générale: 18/20
Message edité le 28/06/2007 à 06:15
Message edité le 28/06/2007 à 06:17
Message edité le 28/06/2007 à 06:19
Message edité le 28/06/2007 à 06:23
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
arkslateblue'>a noter que les details concernant l'année de parution, les screens etc...se trouve dans le test de keniori, inutile de les refaire en double.
arkslateblue'>
arkslateblue'>un grand merci a vous keniori d'avoir attendu que je finisse mon test.
arkslateblue'>
arkslateblue'>bonne lecture a tous.
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
Contacter le membreVoir profil
kaz
Superbe de bout en bout.

Merci à vous deux de m'avoir plongé "littéralement" dans un titre que je ne connaissais que par les épisodes de la....................N 64.
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
Pour ma part,je considère ce Castelvania comme le meilleur de la série, sans doute à cause de son ambiance et de la manière d'avancer dans le jeu.
 
 
[QUOTE=kaz]

Merci à vous deux de m'avoir plongé "littéralement" dans un titre que je ne connaissais que par les épisodes de la....................N 64.[/QUOTE]

Houlà, c'est sûr que là on peut pas pleinement aimer cette série car les épisodes Nintendo64 était certes sympa mais bien trop brouillon graphiquement et ce brouillard si omniprésent et caractéristiques à la 64! ^^
Les épisodes 2D et surtout ceux de la Super Nintendo sont parmis les meilleurs, j'avais pu en tester quelques bouts chez un pote, mon plaisir ne fut pas renier!

Très bon tests en tout cas, j'ai bien aimé le bînome! ^^
 
 
Ah excellent ce jeu, j'y ai rejoué y a quelques mois mais je l'ai pas fini, trop dur :o
Je devais pas etre loin de la fin en plus.

C'est l'un des meilleurs épisodes de la série, j'ai encore les musiques dans la tête
Tadadaaaa talada taladadada talala talata tamtala ^^


Ca m'a donné envie de m'y remettre, mais pour ça faut que je retrouve mes codes.

...
*cherche dans ses petits papiers*

Alors
Un coeur en haut à gauche, en dessous une hache, on saute une case on met un coeur,à droite une fiole, en haut à droite une hache, en dessous 2 coeurs.

Ah ***** c'est pas le niveau où je m'étais arrété, bon faut que je retrouve le bon.

*replonge dans ses paetits papiers*





"Enjoy with Joy"

Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
Bonne chance JOY_^, car comme j'ai expliqué les mots de passe sont une torture car il faut bien noter.
 
 
C'est bon je l'ai retrouvé



XD


et ça m'améne ici




Ce que j'aime bien dans ce Castlevania c'est qu'on peut monter les escaliers en MoonWalk ^^, trop la classe :cool: XD




"Enjoy with Joy"

Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
Merci pour les tests.
Ayant vu que Super Castlevania IV allait bientôt être disponible sur la Console Virtuelle de la Wii, je me posais la question de le prendre ou pas.
Aujourd'hui, je n'ai plus de doute, il fera parti de ma collection oldies au même titre que Donkey Kong Country.
Eh oui, la gamecube étant ma première console Nintendo, je me rattrappe comme je peux sur les anciens Hits.
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
Castelvania IV, je le considère encore d'actualité, car il n'a pas pris "une ride", de plus le jeu est prenant. Je suis content que mon test vous a satisfait Irontigers, cependant, vous pouvez consulter d'autres tests afin d'améliorer votre culture J.V.
 
 
Mise à jour de mon Oldies Test (images), en attente de Shenhua.
 
 
 
Exellent double test d'un jeu aujourd'hui culte !
Je n'ai aucun jeu dans ma collection
 
 
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