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Forum Final Fantasy
Sortie le 07 Avril 2008
,
Playstation 1
Castelvania sotn, psone
Page 1 sur 2 / Total : 23 résultats
Castlevania : Symphony of the Night
Développeur/ Editeur : Konami
Genre : Action & Rpg/ 1 Joueur
Format : Psone
Année : 1997
Castelvania a eu du courage de sortir en même temps que le fabuleux Final Fantasy VII. Pourquoi, j’affirme ses propos, tout simplement, Konami se mesure face à Sqare Soft sur son territoire.
De plus, ce jeu bouleversera complètement la série vers un nouveau genre : l’action, mélangeant le Rôle Playing Game.
La concurrence des Vampires
L’ère de la 3D était déjà bien entamée avec des dizaines de sorties PS 1, que Konami effectue enfin la sortie d’un jeu prévu depuis très longtemps : Castlevania Symphony Of The Night (SOTN pour les intimes).
Cependant, ce genre de titre est déjà représenté par un soft de Crystal Dynamics nommé Legacy of Kain, où vous dirigez un vampire mais avec des similitudes avec Zelda.
Un rival mais ce dernier en fait de sa catégorie ne présente pas un concurrent réel pour SOTN, bien que le domaine des vampires est ici abordé.
Castelvania est issu d’un univers 2d et comment l’éditeur nippon a pu provoquer un tel engouement, là ou régnait les univers en trois dimensions de toutes sortes.
Konami a gardé ses techniques mais à profiter du support Cd qui réalisait un pur chef d’œuvre avec des thèmes issus de l’imagination de Michiru Yamane.
Sans oublier, le héros principal de l’aventure Alucard Vlad, le fils de Dracula, un choc dans l’histoire des Castelvania !
La petite Histoire
Vous débutez avec Richter Belmont qui lutte contre l’ennemi de toujours, bien sûr, vous le battez et commence le prologue du soft.
Depuis, la défaite du Comte, le membre Belmont n’est plus revenu parmis ses proches et des événements viennent apparaître comme le château toujours présent, introduction superbe à l’image d’un Super Castelvania IV.
La Morsure de Konami
SOTN est connu par ses salles immenses et ses multiples secrets comme les pièces cachées, avec des niveaux placés en hauteur indisponible au début.
Bien sûr, vous pouvez finir le jeu le plus vite possible , cependant finir le titre à 200 % est une autre affaire, car ceci modifie considérablement l’histoire, mais chut, à vous de découvrir.
La chose peut paraître insurmontable de prime à bord, tant les tableaux de jeu sont géants, et pourtant j’y suis arrivé en ayant refait le titre plusieurs fois, je vous conseille d’être patient et minutieux.
Edité le 26/12/2007 à 15:55
Les premiers Castelvania sont à classer plus dans un genre de Beat them all, malgré tous ces derniers demandaient de l’entraînement pour les finir, essayer le premier volet sur Gba ou sur Nes.
Pour ceux qui ont joué à Simon’s Quest, ils retrouveront quelques unes de leurs marques. Le volet sur Psone s’oriente vers un action/Rpg et la difficulté se présente atténué, sans doute à cause que Konami voulait viser une communauté plus accessible en d’autre terme vers le grand public.
Contrairement à Castelvania IV, l’action se déroulera directement au sein du château avec des environnements très varié comme la bibliothèque, les jardins, bref un univers vaste à traverser.
Le mélange de l’action et du Rpg
L’équipement d’Alucard possède des similitudes avec les titres Rpg : points de vie : mise à niveau de la puissance de vos armes, de votre vie, en fonction de votre expérience, armes de jet, armes à une ou deux mains, magies, coups spéciaux, objets de restaurations, armures, boucliers, tout cet ensemble sera repris pour le premier Castelvania Circle of the Moon sur GBA
Ce titre est très complet : on va même jusqu’à activer des facultés supplémentaires en fonction de ses choix d’équipements : traverser des murs, avec la brume par exemple.
Autre particularité, alors que les jeux Rpg demandent rigueur et une bonne gestion (sachant que je n’excelle pas dans ce domaine), l’éditeur a opté pour un menu simple et pratique pour tous les novices, et ainsi garder son public d’origine et en attirant d’autres personnes vers ce genre réservé à une élite.
Cet aspect gestion s’avère être vraiment plaisant. Il faut savoir faire des essais, faire preuve de tact avec l’évolution de ses capacités et le renforcement de celles-ci puisque certains objets peuvent à la fois augmenter une capacité tout en baissant une autre.
Etant fan des premiers opus, je recherche l’action avant tout. Je ne suis pas déçu par l’œuvre de Konami.
Nous retrouvons très facilement nos repères, et les monstres sont vraiment superbes, quel plaisir de regrouper le bestiaire habituel : momie, sorcières, énormes gargouilles. Sans oublier, les gardiens dont vous aurez de nouvelles capacités après les avoir vaincu.
Bien sûr, les ennemis seront plus détaillés sur cet opus, mais il est inutile de préciser que la beauté représente toujours un atout dans ce volet.
Les graphismes très fins ne jettent pas de la poudre aux yeux, ils sont synonymes d’élégance.
Egalement, vous serez surpris de l’animation de votre allié (appelé Familier, monstres, elfes,…), vous aidant dans vos combat.
La série Castelvania est réputée pour ses thèmes, ainsi que son environnement sonore de haute voltige.
Utilisant, le support de Sony, Konami nous délivre des musiques superbes dont je crois qu’une édition fut sortie en Cd, mais seulement au Japon, à vérifier. Bien plus tard, les musiques de jeux ont été commercialisées en Europe.
L’ambiance vampirique, enivrante au possible vous emmènera au septième ciel, surtout avec ces voix digitalisées à la perfection et ces musiques scandaleusement ravageuses. En alternant les musiques ultra pêchues et les musiques d’ambiance, Konami réussit le pari fou de garder une intensité remarquable durant l’intégralité des couloirs du château.
Edité le 26/12/2007 à 16:01
Pour ceux qui ont joué à Simon’s Quest, ils retrouveront quelques unes de leurs marques. Le volet sur Psone s’oriente vers un action/Rpg et la difficulté se présente atténué, sans doute à cause que Konami voulait viser une communauté plus accessible en d’autre terme vers le grand public.
Contrairement à Castelvania IV, l’action se déroulera directement au sein du château avec des environnements très varié comme la bibliothèque, les jardins, bref un univers vaste à traverser.
Le mélange de l’action et du Rpg
L’équipement d’Alucard possède des similitudes avec les titres Rpg : points de vie : mise à niveau de la puissance de vos armes, de votre vie, en fonction de votre expérience, armes de jet, armes à une ou deux mains, magies, coups spéciaux, objets de restaurations, armures, boucliers, tout cet ensemble sera repris pour le premier Castelvania Circle of the Moon sur GBA
Ce titre est très complet : on va même jusqu’à activer des facultés supplémentaires en fonction de ses choix d’équipements : traverser des murs, avec la brume par exemple.
Autre particularité, alors que les jeux Rpg demandent rigueur et une bonne gestion (sachant que je n’excelle pas dans ce domaine), l’éditeur a opté pour un menu simple et pratique pour tous les novices, et ainsi garder son public d’origine et en attirant d’autres personnes vers ce genre réservé à une élite.
Cet aspect gestion s’avère être vraiment plaisant. Il faut savoir faire des essais, faire preuve de tact avec l’évolution de ses capacités et le renforcement de celles-ci puisque certains objets peuvent à la fois augmenter une capacité tout en baissant une autre.
Etant fan des premiers opus, je recherche l’action avant tout. Je ne suis pas déçu par l’œuvre de Konami.
Nous retrouvons très facilement nos repères, et les monstres sont vraiment superbes, quel plaisir de regrouper le bestiaire habituel : momie, sorcières, énormes gargouilles. Sans oublier, les gardiens dont vous aurez de nouvelles capacités après les avoir vaincu.
Bien sûr, les ennemis seront plus détaillés sur cet opus, mais il est inutile de préciser que la beauté représente toujours un atout dans ce volet.
Les graphismes très fins ne jettent pas de la poudre aux yeux, ils sont synonymes d’élégance.
Egalement, vous serez surpris de l’animation de votre allié (appelé Familier, monstres, elfes,…), vous aidant dans vos combat.
La série Castelvania est réputée pour ses thèmes, ainsi que son environnement sonore de haute voltige.
Utilisant, le support de Sony, Konami nous délivre des musiques superbes dont je crois qu’une édition fut sortie en Cd, mais seulement au Japon, à vérifier. Bien plus tard, les musiques de jeux ont été commercialisées en Europe.
L’ambiance vampirique, enivrante au possible vous emmènera au septième ciel, surtout avec ces voix digitalisées à la perfection et ces musiques scandaleusement ravageuses. En alternant les musiques ultra pêchues et les musiques d’ambiance, Konami réussit le pari fou de garder une intensité remarquable durant l’intégralité des couloirs du château.
Edité le 26/12/2007 à 16:01
Un Castelvania bâti sur de nouvelles bases
Le domicile du comte est très vaste à visiter puisqu’il vous faudra le faire dans les deux sens. Je m’explique au milieu de l’aventure, le château de Dracula se retourne, et vous pourrez visiter d’autres lieux inaccessibles au départ (utilisez bien vos items).
Mais attention, prenez bien votre temps afin d’obtenir un excellent pourcentage.
Vous devez retrouver l’héritier Belmont avec l’aide de Maria Reinhart. Suivant votre progression représenté par un pourcentage sur la carte, vous obtiendrez plusieurs fins possible allant de la trafique fin en tuant Richter Belmont, ou en obtenant la fin suprême : la discussion avec votre père et un meilleur générique.
Bien sûr, je vous conseille au mieux d’exploiter ce titre au maximum.
Alucard, anagramme de Dracula représente à lui seul, un charisme superbe, le design de ce personnage mérite le détour.
Comme la première rencontre avec la Mort dont cette dernière vous supprime temporairement vos pouvoirs.
On remarque que les univers en deux dimensions ne doivent pas disparaître et inaugure des environnements magnifiques.
Une relève totalement nouvelle
J’ai oublié de citer auparavant les épisodes sur la console de Nintendo N64 dont ces derniers à mes yeux sont décevants en raison d’une réalisation médiocre (caméra mal placée et le passage en 3D).
Castelvania n’a pas trahi ses fans, bien au contraire en proposant un genre nouveau, qui aujourd’hui connaît encore un très large succès.
Pour décrire, cette pièce superbe, je vous conseille vivement d’y jouer, et d’apprécier toute cette profondeur d’Ame de jeu.
Konami a réussi encore un tour de force.
+ Ambiance toujours présente de la série,
+ Mélange action&Rpg, facile d’accès,
+ Musiques grandioses,
+ Facile à prendre en main,
+ Konami innove dans le genre.
- Recommencer pour le finir complètement.
Graphismes : 17
Maniement : 16
Son : 18
Durée de vie : 17
Scénario : 17
[B]Note Globale : 18.00/20[/B]
Remerciements : Jean-Marc pour le prêt de sa console japonaise, ainsi que mes précédentes sauvegardes sur carte mémoire.
Edité le 26/12/2007 à 16:08
Le domicile du comte est très vaste à visiter puisqu’il vous faudra le faire dans les deux sens. Je m’explique au milieu de l’aventure, le château de Dracula se retourne, et vous pourrez visiter d’autres lieux inaccessibles au départ (utilisez bien vos items).
Mais attention, prenez bien votre temps afin d’obtenir un excellent pourcentage.
Vous devez retrouver l’héritier Belmont avec l’aide de Maria Reinhart. Suivant votre progression représenté par un pourcentage sur la carte, vous obtiendrez plusieurs fins possible allant de la trafique fin en tuant Richter Belmont, ou en obtenant la fin suprême : la discussion avec votre père et un meilleur générique.
Bien sûr, je vous conseille au mieux d’exploiter ce titre au maximum.
Alucard, anagramme de Dracula représente à lui seul, un charisme superbe, le design de ce personnage mérite le détour.
Comme la première rencontre avec la Mort dont cette dernière vous supprime temporairement vos pouvoirs.
On remarque que les univers en deux dimensions ne doivent pas disparaître et inaugure des environnements magnifiques.
Une relève totalement nouvelle
J’ai oublié de citer auparavant les épisodes sur la console de Nintendo N64 dont ces derniers à mes yeux sont décevants en raison d’une réalisation médiocre (caméra mal placée et le passage en 3D).
Castelvania n’a pas trahi ses fans, bien au contraire en proposant un genre nouveau, qui aujourd’hui connaît encore un très large succès.
Pour décrire, cette pièce superbe, je vous conseille vivement d’y jouer, et d’apprécier toute cette profondeur d’Ame de jeu.
Konami a réussi encore un tour de force.
+ Ambiance toujours présente de la série,
+ Mélange action&Rpg, facile d’accès,
+ Musiques grandioses,
+ Facile à prendre en main,
+ Konami innove dans le genre.
- Recommencer pour le finir complètement.
Graphismes : 17
Maniement : 16
Son : 18
Durée de vie : 17
Scénario : 17
[B]Note Globale : 18.00/20[/B]
Remerciements : Jean-Marc pour le prêt de sa console japonaise, ainsi que mes précédentes sauvegardes sur carte mémoire.
Edité le 26/12/2007 à 16:08
Voici quelques images en plus, elle concerne les différentes fins. Par ailleurs, vous pouvez recommencer l'aventure avec Richter.
Edité le 26/12/2007 à 16:18
Edité le 26/12/2007 à 16:18
[QUOTE=Kabukiman]Bah ouais^^
J'ai du mal à suivre ce vouvoiement collectif[/QUOTE]
Tout simplement parce que Keniori vouvoie généralement dans ses posts et sans faire gaffe ou en faisant de même, on le vouvoie!
Mais c'est vrai que je fais ça généralement instinctivement maintenant avec Keniori! ^^
C'est toujours mieux que illoyer!
Au passage, une questio concernant ce jeux, est-il encore facile de le trouver dans les magasins de jeux vidéos? :confused:
J'ai du mal à suivre ce vouvoiement collectif[/QUOTE]
Tout simplement parce que Keniori vouvoie généralement dans ses posts et sans faire gaffe ou en faisant de même, on le vouvoie!
Mais c'est vrai que je fais ça généralement instinctivement maintenant avec Keniori! ^^
C'est toujours mieux que illoyer!
Au passage, une questio concernant ce jeux, est-il encore facile de le trouver dans les magasins de jeux vidéos? :confused:
Bah pas moi.
On est sur un forum, le vouvoiement c'est dans la rue que ça se fait^^
QUoi qu'il arrive, je tutoie
Sinon, pour le jeu, bah vivement qu'il sorte sur xba.
C'est le meilleur de la série, quoique trop facile vis à vis des précédents.
On est sur un forum, le vouvoiement c'est dans la rue que ça se fait^^
QUoi qu'il arrive, je tutoie
Sinon, pour le jeu, bah vivement qu'il sorte sur xba.
C'est le meilleur de la série, quoique trop facile vis à vis des précédents.
Une marque de respect?
Pourquoi?
Parce que t'es àgé?
Niporte nawak, je vois pas en quoi le tutoiement est "irrespectueux" et déplacé.
Fin, lol quoi
Merci de revenir sur le test, svp.
Pourquoi?
Parce que t'es àgé?
Niporte nawak, je vois pas en quoi le tutoiement est "irrespectueux" et déplacé.
Fin, lol quoi
Merci de revenir sur le test, svp.
Si vous voulez chopper la bande son de ce jeu, je ne saurais trop conseiller la mule, y'a d'excellents best of
Ha, au fait, c'est pas un double post. C'est juste keniori qui fait mumuse.
Je te prie de plus éditer mes posts. Ca, ca serait vraiment du respect, de le faire
Ha, au fait, c'est pas un double post. C'est juste keniori qui fait mumuse.
Je te prie de plus éditer mes posts. Ca, ca serait vraiment du respect, de le faire
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