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Les supports de jeu que possèdent les rédacteurs de Jeuxvideo.fr

Vous êtes nombreux à nous demander quels sont les supports dont disposent ou ont disposé les rédacteurs de Jeuxvideo.fr à titre personnel. Voici donc un diaporama plutôt exhaustif des plateformes appartenant à chacun des testeurs. Au programme : un bon lot de supports, consoles comme micro-ordinateurs, avec parfois quelques anecdotes croustillantes. Bon visionnage !
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Publiée par Damien

le jeudi 14 juillet 2011


   
  • Les supports de la Rédac' : Apple II

    Les supports de la Rédac' : Apple II

     
  • Les supports de la Rédac' : Atari 2600

     
  • Les supports de la Rédac' : Hanimex-8610

     
  • Les supports de la Rédac' : TRS80

     
  • Les supports de la Rédac' : Videopac

     
  • Les supports de la Rédac' : Game & Watch

     
  • Les supports de la Rédac' : Intellevision

     
  • Les supports de la Rédac' : ZX81

     
  • Les supports de la Rédac' : Commodore 64

     
  • Les supports de la Rédac' : Nintendo (NES)

     
  • Les supports de la Rédac' : Amstrad CPC 464

     
  • Les supports de la Rédac' : Oric Atmos

     
  • Les supports de la Rédac' : ThomsonMO5

     
  • Les supports de la Rédac' : Amstrad CPC 6128

     
  • Les supports de la Rédac' : Atari 520 ST

     
  • Les supports de la Rédac' : Amstrad CPC 1512

     
  • Les supports de la Rédac' : Sega Master System

     
  • Les supports de la Rédac' : Amiga 500

     
  • Les supports de la Rédac' : PC-Engine

     
  • Les supports de la Rédac' : Goupil G5

     
  • Les supports de la Rédac' : Megadrive

     
  • Les supports de la Rédac' : CoregrafX

     
  • Les supports de la Rédac' : GameBoy

     
  • Les supports de la Rédac' : Lynx

     
  • Les supports de la Rédac' : GameGear

     
  • Les supports de la Rédac' : Neo-Geo

     
  • Les supports de la Rédac' : Amiga 1200

     
  • Les supports de la Rédac' : Super Nintendo

     
  • Les supports de la Rédac' : Mega-CD

     
  • Les supports de la Rédac' : GameBoy Pocket

     
  • Les supports de la Rédac' : Saturn

     
  • Les supports de la Rédac' : PlayStation

     
  • Les supports de la Rédac' : Nintendo 64

     
  • Les supports de la Rédac' : Dreamcast

     
  • Les supports de la Rédac' : GameBoy Color

     
  • Les supports de la Rédac' : Neo-Geo Pocket

     
  • Les supports de la Rédac' :Neo-Geo Pocket Color

     
  • Les supports de la Rédac' : Wonderswan

     
  • Les supports de la Rédac' : PlayStation 2 (PS2)

     
  • Les supports de la Rédac' : Game Boy Advance (GBA)

     
  • Les supports de la Rédac' : Xbox

     
  • Les supports de la Rédac' : Gamecube

     
  • Les supports de la Rédac' : GP32

     
  • Les supports de la Rédac' : GBA SP

     
  • Les supports de la Rédac' : PStwo

     
  • Les supports de la Rédac' : Nintendo DS

     
  • Les supports de la Rédac' : PlayStation Portable (PSP)

     
  • Les supports de la Rédac' : GameBoy Micro

     
  • Les supports de la Rédac' : Xbox 360

     
  • Les supports de la Rédac' : Nintendo DS Lite

     
  • Les supports de la Rédac' : Wii

     
  • Les supports de la Rédac' : PlayStation 3 (PS3)

     
  • Les supports de la Rédac' : iPhone

     
  • Les supports de la Rédac' : PSP Slim

     
  • Les supports de la Rédac' : Nintendo DSi

     
  • Les supports de la Rédac' : Mac

     
  • Les supports de la Rédac' : PC

     
Crédit : DR
 

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Sorti dès 1977, l'Apple II a été décliné en plusieurs versions jusqu'à 1988 (avec l'Apple IIc+). A la Rédac', Benoît disposait d'un Apple IIc alors que Maxence a eu un Apple IIgs quelques années plus tard.
Lancé en octobre 1977, l'Atari 2600 a lui aussi fait des adeptes à la Rédac'. La preuve : Virgile, Jean-Marc, Maxence et Nerces en ont possédé un.
Quasiment inconnu au bataillon, le Hanimex (sorti en 1978) a tout de même fait le bonheur de quelques joueurs dont notre ami Nerces. Ce dernier se rappelle d'ailleurs avec nostalgie que les fils des paddles étaient plutôt courts et donc que dans l'enthousiasme généré par des jeux « remarquables », on avait tendance à tout dégager !
Apparu dès 1977, le TRS-80 de Tandy a eu droit à plusieurs modèles. Un d'eux a eu l'immense honneur d'être acquis par Renaud.

Pour la petite histoire, c'est grâce à ce support que Renaud a commencé à développer des jeux. En effet, son père avait promis de lui offrir son premier jeu s'il arrivait à développer dessus. Evidemment, le pari a été remporté (y'a pas à dire, la carotte, ça marche toujours) !
Clone de l'Odyssey² de Magnavox, le Videopac de Philips a débarqué sur nos terres dès 1979. L'engin (plutôt colossal) est toujours en possession de notre blagueur du dimanche, Damien, lequel garde en soutien quelques titres dont « Glouton et voraces » - un clone de Pac-Man -, « Faire du ski » ou encore « Le Labyrithe Superlogique »... dire que l'on se plaint des noms de jeux actuels.
Produits de 1980 à 1991, les jeux électroniques Game & Watch de Nintendo ont connu un large succès et ont eu des formes différentes. Avec un ou deux écrans, avec ou sans couleur, il y en avait pour tous les goûts. Du coup, bon nombre de rédacteurs ont succombé à la tentation, à savoir : Renaud, Cyril, Virgile, Jean-Marc, Damien, Benoît et Maxence.
Console de jeu créée par Mattel (oui, oui, la firme de Barbie) et sortie en 1980, l'Intellivision n'a jamais pu rivaliser avec son principal concurrent : l'Atari 2600.

Il n'empêche qu'elle disposait de quelques particularités comme deux contrôleurs atypiques (avec un disque directionnel et la possibilité d'insérer de petites fiches afin de comprendre rapidement l'utilité des touches) et l'intégration d'un module de synthèse sonore, l'Intellivoice. De quoi amuser notre brave Damien pendant quelques années avec des titres comme Tron Deadly Discs, Triple Action, NASL Soccer (qui avait la particularité de gérer notamment les touches et les corners !) ou Donkey Kong.
Disponible dès 1981 et commercialisé par Sinclair, le ZX81 était un ordinateur aux performances modestes mais vendu à un prix raisonnable. Le périphérique avait notamment pour originalité de voir son contrôle vidéo assuré par le microprocesseur (cadencé à 3,25 MHz) et de disposer d'un clavier très plat et sensitif. Idéal pour que Renaud puisse faire ses premiers cours d'informatique durant ses années collège... C'était le bon temps :)
Première machine à avoir été vendue à plusieurs millions d'exemplaires (entre 17 et 25 millions, tout de même), le Commodore 64 a fait bon nombre d'heureux depuis son lancement en 1982... dont Nerces qui est resté de longues heures durant sur l'inénarrable jeu de football doté de graphismes renversants pour l'époque : International Soccer.
Sortie dès 1983, le Nintendo Entertainement System dit NES (Family Computer Computer alias Famicom au Japon) a connu un succès colossal partout dans le monde. La console japonaise a de plus été un des éléments majeurs de la relance de l'industrie du jeu vidéo après la crise de 1983-1984, qui a tout de même poussé les constructeurs Mattel, Magnavox et Coleco à cesser leurs activités jeux vidéo.

Durant ses 20 ans de bons et loyaux services (la plus grande longévité jamais enregistrée pour une console), la NES a su conquérir le coeur de bon nombre de joueurs. C'est le cas de Kevin, Virgile et Cyril qui ont possédé la console, mais également d'autres rédacteurs qui ont pu passer un certain nombre d'heures à ses côtés (sur Super Mario Bros. ou Duck Hunt notamment) sans pour autant l'avoir à la maison.
Amstrad, gram, pic et pic et colégram ! C'est en 1984 qu'a débuté l'aventure Amstrad CPC 464 (doté de 64 Ko de mémoire vive !) laquelle a été couronnée de succès, notamment en France, avec pas moins de 2 millions d'exemplaires vendus... dont un à notre ami Nerces, grand amateur de crocodiles.
Sorti en fin de l'an 1984 et développé par la société Oric, l'Oric Atmos (version revue et corrigée de l'Oric-1 conçu par Tangerine) est passé inaperçu chez bon nombre d'entre nous. Mais pas aux yeux de Jean-Marc qui, non content de l'avoir utilisé pour ses cours d'informatique, en a profité pour tomber fou amoureux d'un jeu d'aventure : « les aventures d'Arsène Lapin ». Depuis, notre Jean-Marc national est devenu accro à ce genre de titres et aux jeux de mots... étonnant, non ?
Concurrent direct de l'Oric Atmos, le Thomson MO5 a vu le jour en juin 1984. Ce micro-ordinateur a bénéficié d'une bonne visibilité en France puisqu'il faisait partie du programme national d'équipement informatique d'établissements scolaires et d'enseignement dès 1985. Ce dernier visait (déjà) à démocratiser l'informatique en la rendant accessible au plus grand nombre. Au final, plus d'un demi-million d'unités ont été vendues dont une dans le foyer de notre collègue Nerces.
Evolution de l'Amstrad CPC 464, l'Amstrad CPC 6128 arborait un processeur plus puissant (4 Mhz) ainsi que le double de mémoire vive : 128 Ko, une capacité énorme pour l'époque. Dans les faits, la promesse était un peu biaisée : les 128 Ko de RAM annoncés étant en réalité constitués de 64 Ko de mémoire paginée (en gros, les performances sont moindres).

Ce qui n'a pas empêché Renaud et Maxence d'acquérir la machine et de s'éclater avec... notamment sur Bomb Jack, Rick Dangerous, Operation Wolf et l'Armure Sacrée d'Antiriad. C'est d'ailleurs sur ce support que Renaud a commencé sa carrière de demomaker.
Dans la famille des Atari ST, ordinateurs créés par Atari et ayant connu une belle renommée entre 1985 et 1990, on trouve l'Atari 520ST et ses 512 Ko de mémoire vive. Et avec lui des jeux qui ont marqué Nerces, comme : Arkanoid, Dungeon Master, Sensible Soccer, Kick Off, Speed Ball, Rick Dangerous et Xenon 2.
Premier ordinateur de la firme Amstrad à tourner sous MS-DOS, l'Amstrad PC-1512 a connu un franc succès depuis son lancement en 1986. Et ce, compte tenu d'un prix compétitif et de capacités satisfaisantes permettant à notre ami Nerces de s'amuser notamment sur Pirates!, Elite et SimCity.

Cependant, notre collègue ne peut pas passer sous silence ce fameux mode 16 couleurs à l'écran qui, hélas, ne marchait que dans une poignée de jeux dont Astérix Chez Rahazade...
En 1985, bien avant le succès des téléphones portables et de leurs SMS, Sega nous a gratifiés de la Master System (SMS pour les intimes). Il s'agit d'une console 8 bits, sortie un an après la NES.

Bien qu'elle se soit bien moins vendue que sa rivale, la Master System a tout de même fait le bonheur de bien des joueurs. C'est le cas notamment de Renaud, Virgile et Damien qui ont fait leurs armes sur Alex Kidd, Sonic The Hedgehog, Wonder Boy, Aladdin, Shinobi, Castle Of Illusion, Golden Axe, Psycho Fox, Street Of Rage et autres Outrun.

Enfin, signalons que la SMS était déjà compatible avec des Lunettes 3-D (nécessitant l'usage du Sega Card Slot, absent sur la SMS II) sur 8 jeux dont Maze Hunter 3-D, Out Run 3-D, Space Harrier 3-D, Blade Eagle 3-D et Zaxxon 3-D. L'image était dédoublée et les lunettes (utilisant un système d'obturation LCD) donnaient une certaine impression de profondeur. Le hic est que cela fatiguait vite et de manière importante les yeux.
Disponible dès 1987, l'Amiga 500 (alias A500), a lui aussi marqué les mémoires. Ne serait-ce que par le combat féroce qui l'opposait à l'Atari 520ST : les possesseurs de micros-ordinateurs européens étant en effet divisés en deux clans... comme cela a pu être le cas entre les amateurs de consoles Nintendo et Sega.

Déjà plug & play, arborant 4096 couleurs et un chipset sonore performant, ce premier Amiga avait de sérieux arguments, dont des jeux comme Gobliins, The Secret Of Monkey Island, Indiana Jones, Shadow Of The Beast, Populous, Speedball 2, Xenon 2, Another World ou encore Lemmings. Du côté de la Rédac', Jean-Marc et Nerces se sont laissés séduire.
Pour une star comme Virgile, ce qu'il faut c'est le Nec plus ultra ! C'est donc fort logiquement que ce dernier s'est mis en tête de posséder la console PC-Engine de NEC.

Au fil des différentes versions de la console (dont une avec lecteur de CD), on y trouvait des jeux comme Bonk (P.C. Kid), Final Match Tennis, Formation Soccer, Ninja Gaiden, Ninja Spirit, R-Type, Super Star Soldier, Jacky-Chan Action Kung-Fu, Chase HQ, Operation Wolf, Gradius, Darius, Splatterhouse, Aero Blaster, Strider, Fatal Fury 2, Art Of Fighting ou encore l'intrigant Strip Fighter (clone de Street Fighter avec des personnages féminins aux formes avantageuses) et l'atypique Toilet Kids.
Sorti en 1988, le G5 est le modèle de micro-ordinateur le plus décliné de la marque Goupil (non, ce n'est pas un produit Apple). Il s'agissait d'une machine chère, dotée d'un design plutôt réussi et d'une fiabilité très satisfaisante. Des bons points qui ont conquis Damien (qui a acquis la version « 286 ») et lui ont permis de jouer longtemps à des titres comme Arkanoid - Revenge Of The Doh, Xenon 2, Test Drive 2, PGA Tour, Secret Of Monkey Island ou Duke Nukem 1 et 2.

La bête tournait sous Windows 3.0, qui permettait à notre artiste en herbe de s'adonner durant de nombreuses années à de la création infographique sous Paintbrush... et avec de 640 Ko à 8 Mo de RAM (en fonction des versions), il y avait vraiment de quoi se faire plaisir !
Après avoir lancé sa Master System, Sega propose une nouvelle console de salon dès 1988 : la Megadrive (ou Genesis aux États-Unis). L'occasion de devancer le rival Nintendo, officiant avec sa NES, au niveau technologique. Au final distancée par la Super Nintendo, la Megadrive s'est vendue à plus de 39 millions d'exemplaires (un record pour Sega) et a donné du bonheur à beaucoup de joueurs, dont Renaud, Virgile, Benoît et Nerces à la Rédac'.

Parmi les jeux marquants, on retrouve : Sonic The Hedgehog, Street Of Rage, Golden Axe, Comix Zone, Contra Hard Corps, Earthworm Jim, Strider, Mortal Kombat 2, Thunder Force, Rocket Knight Adventures, Shinobi 3, Story Of Thor, Ecco The Dolphin, Shining Force 2, Aladdin, Flashback ou encore Gunstar Heroes.
Disponible dès 1989, la CoreGrafX (ou TurboGrafx-16 aux USA) est en fait une version relookée de la PC-Engine de NEC. À la Rédac', c'est notre ami Nerces qui en a bénéficié.

Vendue à un prix un peu plus abordable que son aînée et de couleur noire (plus agréable que le blanc de la PC-Engine), elle disposait d'une entrée audio-vidéo différente de la PC-Engine laquelle se branchait sur la prise antenne de la TV. De plus, la console utilisait des cartes mémoires (les HuCards ou Turbochips) au lieu des traditionnelles cartouches pour stocker les jeux. Ajoutons qu'il s'agit de la première console à avoir disposé d'une extension pour lire les CD... ce qui ne lui a pas pour autant permis de percer davantage.
Véritable raz-de-marée dans les chaumières, le GameBoy conçu par Gunpei Yokoi (auteur des Game & Watch) a assurément été une des consoles portables les plus marquantes de tous les temps. Lancée (pas trop fort tout de même !) dès 1989 par Nintendo, elle proposait un écran monochrome au rendu assez discutable mais avec un prix, une autonomie et une robustesse défiant toute concurrence.

De plus, contrairement aux Game & Watch, on pouvait changer de cartouches (et donc de jeux) et brancher un câble pour jouer à plusieurs. Comble du bonheur, le catalogue de jeux était très riche et varié. C'est donc tout naturellement que Kevin, Virgile, Maxence, Benoît et Nerces y ont succombé avec des titres comme : Tetris, Super Mario Land, Wario Land 2, Zelda : Link's awakening, Final Fantasy Legend, Q*Bert, Pokémon Rouge / Bleu / Jaune, Kirby's Dream Land ou encore Double Dragon.
Apparue dès 1989, la Lynx (nom de code : « Handy ») est la première console portable d'Atari. Elle cherchait à affronter en frontal le GameBoy grâce à de sérieux atouts : un écran de meilleure qualité (en couleur) et rétro éclairé ainsi qu'une puissance accrue permettant même l'affichage de jeux en 3D - possibilité quasiment inutilisée -. Revers de la médaille : l'autonomie était clairement inférieure à sa concurrente (3h avec 6 piles), le prix élevé et il n'y avait pas assez de jeux marquants pour rivaliser avec la portable de Nintendo ou même celle de Sega. D'autant qu'Atari a accumulé les erreurs de marketing.

Ce qui n'a pas empêché Renaud et Nerces de s'amuser avec la Lynx, qui disposait de jeux comme Toki, California Games, S.T.U.N. Runner, Batman Returns, Dracula The Undead, Blue Lightning, Super Off-Road, Paperboy, Lemmings, Rygar, Double Dragon ou encore Ninja Gaiden.
Disponible dès 1990, la console portable Game Gear de Sega a elle aussi tenté de détrôner le GameBoy de Nintendo. Plus puissante et arborant un écran couleur rétro-éclairé, elle a souffert d'un prix très élevé (le double d'un GameBoy grosso modo), d'une autonomie peu satisfaisante (4H de jeu avec 6 piles LR6 !) et de composants matériels qui vieillissaient assez mal.

On y trouvait cela dit des jeux tout à fait valables, bien souvent hérités de la Master System (dont les cartouches étaient d'ailleurs compatibles via l'achat du Master Gear Converter dédié à cet usage). Dans certaines contrées autres que la France, on pouvait même adjoindre à la GameGear une cartouche comportant un Tuner TV, afin de capter les chaînes hertziennes analogiques : une grande déception pour Damien qui a attendu désespérément sa sortie. Cependant et à l'instar de Renaud, Kevin et Nerces, il a pu tout de même s'amuser sur des jeux comme Super Monace GP, Wonderboy, Sonic The Hedgehog, Street Of Rage, Columns, Pete Sampras Tennis, Aladdin, etc.
Disponible dès 1990, la Neo-Geo, alias NeoGeo Advanced Entertainment System, est une console de salon conçu par SNK qui en a fait rêver plus d'un. Ses capacités étant identiques au système d'arcade Neo-Geo MVS, cette dernière partageait assez logiquement la même ludothèque. Exclusivement dédiée à la 2D qu'elle sublimait autant que possible, la Neo Geo avait pourtant l'immense inconvénient d'être extrêmement chère.

Anticipant sans doute les pécules découlant de la gloire de ses futures émissions et articles sur Jeuxvideo.fr, Virgile demeure le seul membre de la Rédac' à avoir pu l'acquérir. En grand fan de jeux d'arcade, notamment dans les genres baston et shoot'em up, ce dernier a pu s'éclater de longues heures sur des titres comme Garou : Mark Of The Wolves, Samurai Spirits 3, Fatal Fury Special, Art Of Fighting, Last Blade 2, Thrash Rally, King Of Fighter (notamment le 98) ou encore Metal Slug.
Troisième génération d'ordinateurs conçus par Amiga, l'Amiga 1200 (ou A1200) a débarqué dès 1992 dans les foyers. Comme l'A500, il s'agit d'un « tout en un  » intégrant processeurs, claviers et lecteur de disquette. Pas aussi populaire que son illustre aîné, l'A1200 a tout même rendu de bons et loyaux services à Jean-Marc, Nerces et Renaud sur des jeux comme Secret Of Monkey Island, Alien Breed, Sensible World Of Soccer, Speedball 2, Warlords, Banshee, Lemmings 2 ou encore Lotus 2.

Petite anecdote : Renaud est même allé jusqu'à braver une tempête de neige pour aller récupérer son Amiga 1200 (payé 2500 francs) au fin fond de la campagne. C'est dire ! Ce dernier possédait au passage un overdrive (disque dur externe bien pratique). Quand à Jean-Marc, il a eu le malheur de recevoir Dungeon Master durant sa deuxième année de Fac de Droit. Bizarrement, il l'a ratée, allez savoir pourquoi ?
Console la mieux vendue de sa génération, la Super Nintendo (ou Super Famicom) a succédé avec réussite à la NES en marquant durablement les esprits. Il faut dire qu'elle a tout simplement dominé la Megadrive de Sega, la PC-Engine de NEC, la Neo-Geo AES de SNK et a même tenu tête aux consoles de la génération suivante comme la 3DO, la Saturn et la PlayStation.

Avec des titres comme Super Mario All-Stars, F-Zero, Street Fighter 2, Super Tennis, Final Fantasy 6, Secret Of Mana, Super Mario Kart, Donkey Kong Country, la console de salon de Nintendo a réussi à alléger les porte-monnaie de Renaud, Maxence, Kevin, Virgile et Nerces.
Disponible dès 1991, le Mega-CD (ou Sega CD aux USA) est une extension de la Megadrive lui permettant de lire des CD. Cela dit, ce n'était pas qu'un lecteur CD puisqu'il disposait d'un processeur et de mémoires propres. Ce dernier pouvait même accéder à ceux de la Megadrive et offrir aux joueurs des effets inédits au support, comme les zooms qui faisaient fureur sur Super Nintendo.

Le format CD rendait possible l'intégration de scènes cinématiques en vidéo ainsi qu'une qualité sonore supérieure à celui d'une cartouche. Cependant, le Mega CD était vendu très cher et la logithèque s'est avérée aussi décevante au niveau qualité et quantité. Cela dit, notre Virgile national s'est laissé tenté et s'est amusé sur des titres comme Road Avenger, Night Trap, Dune, Final Fight CD, Silpheed, Thunderhawk ou encore Tomcat Alley.
En 1996, histoire de laver l'affront causé par l'échec du Virtual Boy, Nintendo décide de sortir une version relookée de sa console portable à succès : le Gameboy. Ainsi débarque le GameBoy Pocket, plus petit, léger et économe en énergie (2 piles au lieu de 4) que son aîné. Il disposait aussi d'un écran monochrome de meilleure qualité (qui perdait son aspect verdâtre) et un tantinet agrandi. Plusieurs coques étaient disponibles dont une transparente. De quoi séduire nos amis Kevin et Cyril.
Après l'échec de son Mega-CD, Sega cherche à envoyer les joueurs en orbite dès 1994 avec la Saturn. Déclinée en différentes versions en fonction des fabricants (comme la Navi-Saturn, conçue par Hitachi, dotée d'un GPS et pouvant accepter un écran TFT !), cette dernière n'a pourtant pas permis à Sega de prendre l'ascendant son concurrent de toujours : Nintendo. Pire, la firme nippone se voit devancer par un autre challenger n'ayant jamais introduit de console auparavant : Sony à l'oeuvre avec sa redoutable PlayStation.

Plus à l'aise avec la 2D et les titres old-school mais sensiblement moins brillante sur les jeux 3D de la nouvelle génération, la Saturn n'a pas supporté la comparaison sur notre continent (alors que la situation est nettement meilleure au Japon) avec la console de Sony. La faute notamment à un prix bien plus important, à une campagne marketing faiblarde et à un catalogue perfectible : certains des jeux phares du lancement ont de surcroît été jugés graphiquement inférieurs à ceux du concurrent (Virtua Fighter vs. Tekken, Dayton USA vs. Ridge Racer / WipEout). Idem pour les jeux 3D portés également sur PlayStation par la suite.

Cela étant, la console avait de la gueule et disposait tout de même de jeux marquants, dont certains qui ne sont malheureusement jamais arrivés parmi nous : Nights, Dragon Ball Z : La Légende, House Of The Dead, Panzer Dragon, Sega Rally, The King Of Fighters 95, Virtual On - Cyber Troopers, Virtua Fighter 2, Dracula X : Nocturne in the Moonlight, Grandia, Radiant Silvergun, Samuraï Spirits Collection, Street Fighter Zero 3, Thunder Force V, Burning Rangers, Guardian Heroes... De quoi ravir Renaud et Virgile.
« Ne sous-estimez pas la puissance de la PlayStation ! » nous disait-on dans la publicité de la première console de salon de Sony. Et pour le coup, on ne peut pas dire que la pub nous ait menti dans le fond. Car si la console a bien failli ne pas sortir suite à un litige opposant Nintendo et Sony (la Play Station étant au départ une extension de la Super Nintendo lui permettant de lire des CD), elle a réussi le hold-up parfait dès son lancement en 1994 en écrasant toutes ces concurrentes, pourtant chapeautées par des firmes expérimentées dans le domaine.

Avec des titres cultes comme Crash Bandicoot, Gran Turismo, WipEout, Tekken, Tomb Raider, ISS Pro, Final Fantasy VII, Metal Gear Solid, Resident Evil, Medal Of Honor, Legacy Of Kain : Soul Reaver, Silent HIll, Medievil ou encore Driver, la PlayStation a conquis Renaud, Benoît, Virgile, Jean-Marc, Kevin, Maxence et Damien.

Ce dernier a même été complètement abattu lorsqu'il brancha un jour sa console chérie sur secteur et qu'il vit un petit éclair jaillir du côté de l'entrée de l'alimentation... avec une petite odeur de brûlé à la clé. Coïncidence ou loi du karma : des techniciens d'EDF étaient en effet en train de travailler sur la ligne électrique proche de sa maison. La console ne démarrant évidemment pas, Damien prit le pari risqué d'ouvrir la console afin de refaire la soudure entre l'entrée de l'alimentation et le reste de la console. Comble du bonheur, la PS1 remarchait. Elle fonctionne d'ailleurs toujours... Si ça c'est pas une belle histoire !
La réponse de Nintendo à SEGA et Sony a été un peu tardive, notamment compte tenu d'une Super Nintendo restée longtemps attractive. C'est donc seulement à partir de 1996 que la Nintendo 64 débarque en boutiques. Toujours pas de lecteur CD-Rom, la console n'accepte en effet que les cartouches (vendues à un prix assez élevé). Elle dispose tout de même d'un processeur 64 bits plus puissant que celui des Saturn et PlayStation (32 bits).

Et si la console de Big N n'a pas autant brillé que ses aînées (et donc balayé ses concurrents), elle a tout de même offert des expériences vidéoludiques marquantes comme The Legend Of Zelda : Ocarina Of Time, Mario 64, Golden Eye 007, Banjo-Kazooie, Star Fox 64, Mario Kart 64, Wave Race 64, Paper Mario, Super Smash Bros. ou encore Animal Crossing. De quoi enthousiasmer Kevin, Cyril, Benoît et Virgile.
Disponible dès 1998, la Dreamcast de SEGA a été la première console 128 bits du marché. La console utilisait un type de disque inédit, le GD-ROM, bien plus rapide que le lecteur CD de la PlayStation. Elle disposait d'une petite unité baptisée VMU, logeable dans la manette, servant aussi bien de carte mémoire que de mini-console portable puisque dotée d'un écran LCD. La Dreamcast tournait sous Windows CE et a été la première console à mettre véritablement en avant le jeu en ligne. Le succès commercial n'était pas tout à fait au rendez-vous, la faute notamment à une PS2 conquérante, elle fait cependant figure de « console maudite ». Elle signe de surcroît la fin des activités de SEGA en tant que constructeur.


La Dreamcast a tout de même eu le temps de nous proposer un certain nombre de titres de grande qualité : Jet Set Radio, Resident Evil : Code Veronica, Sonic Adventure, Virtua Tennis, Shenmue, Skies Of Arcadia, F355 Challenge, Ikaruga, NBA 2K, Phantasy Star Online, SoulCalibur, etc. Des jeux qui ont fort logiquement attiré certains de nos rédacteurs : Renaud, Virgile, Benoît, Nerces et Maxence.
Il a fallu attendre minimum jusqu'en 1998 pour voir débarquer un Game Boy arborant un écran en couleurs, sous la forme du Game Boy Color. Bien que possédant un processeur deux fois plus véloce et d'une mémoire deux fois plus grande que son aînée, la portable reste rétrocompatible avec tous les jeux GameBoy « première génération ».

Du coup, Kévin et Damien ont pu enfin se consoler de la déception de la GameGear en possédant une console davantage viable sur le long terme, dotée d'un catalogue plus fourni : Mario Bros Deluxe, Rayman Color, Tomb Raider, Metal Gear Solid : Ghost Babel, The Legend Of Zelda : Link's Awakening DX, les versions de Pokémon Or / Argent / Crystal...
Nous l'avons dit plus en amont, la Neo-Geo était une console de luxe. Histoire de concurrencer Nintendo et son GameBoy, SNK a choisi de lancer dès 1998 sa propre console portable : la Neo-Geo Pocket. Dotée d'un écran monochrome et de jeux renommés comme Samurai Shodown, King Of Fighters R-1, SNK vs. Capcom : Match Of The Millenium ou Fatal Fury First Contact et Magical Drop Pocket. A la Rédac', seul Kevin a mis la main au porte-monnaie pour se l'offrir. Et dire qu'une version Color est arrivée peu de temps après...
C'est en 1998 qu'a débarqué la Neo Geo Pocket Color reprenant une bonne partie des composantes de la Neo Geo Pocket mais en y ajoutant, comme son nom l'indique, la couleur. A noter qu'en plus de la possibilité de jouer avec plusieurs consoles connectées (en filaire ou en sans fil), la Neo Geo Pocket Color disposait d'un câble de liaison avec la Dreamcast, utile seulement pour quelques jeux. Accro aux consoles portables de SNK, Kevin a donc profité de ses jeunes années pour en acquérir une.
Autre constructeur à se lancer sur le marché des consoles portables : Bandai, avec son WonderSwan, sorti en 1999 au Japon. Malgré la sortie du GameBoy Color un an plus tôt et le fait qu'il ne dispose que d'un écran monochrome, le WonderSwan a connu un certain succès.

Enfantée par Gunpei Yokoi (le créateur des Game & Watch et GameBoy), elle était peu chère, légère, petite et bénéficiait d'une autonomie assez démentielle (environ 30h avec une seule pile AA / LR6 !). Il connaîtra d'ailleurs deux évolutions : le WonderSwan Color apportant un écran couleur et le SwanCrystal doté d'un écran de meilleure qualité.

Comble du bonheur, Bandai a profité du rififi entre Nintendo et SquareSoft pour proposer en exclusivité des titres de la firme sur sa portable (comme Chocobo Dungeon, Front MIssion, Final Fantasy I, II &IV). De quoi satisfaire Renaud et Kevin, acquéreurs de la première version de ladite console.
C'est à partir de l'an 2000 que la PlayStation 2, alias PS2, a débuté son règne. Malgré un prix de vente élevé, des retards d'approvisionnement et quelques polémiques quant à ses caractéristiques (lecteur DVD, tendance à l'aliasing, difficulté de programmation...), la console enthousiasme le public et éclipse ses concurrentes : Dreamcast, GameCube et Xbox. A tel point que, début 2011, Sony annonce avoir vendu pas moins de 150 millions de PS2 à travers le monde.

Parmi les jeux qui ont marqué son histoire, on trouve Grand Theft Auto : San Andreas, God Of War, Metal Gear Solid 3 : Subsistence, Shadow Of The Colossus, Ico, Gran Turismo 3, Burnout, Jak & Daxter, Devil May Cry, Kingdom Hearts, Final Fantasy X, Guitar Hero, Silent Hill 2, Okami, Dragon Quest VIII, PES et bien d'autres encore. Un catalogue de jeux extrêmement riche qui a touché un grand nombre de joueurs dont Renaud, Benoît, Virgile, Jean-Marc, Kevin, Cyril, Damien et Maxence.
Il a fallu attendre 2001 pour que Nintendo daigne lancer une console portable dont l'apparence change nettement de son GameBoy légendaire. Tout en gardant le nom de son aîné, le GameBoy Advance (ou GBA) est une console qui s'étend en largeur plutôt qu'en longueur. Elle dispose d'un écran couleur et d'un processeur offrant des performances un tantinet supérieures aux consoles de salon 16 bits (Super Nintendo et Megadrive).

Très agréable à prendre en main et plutôt solide, elle possédait cela dit d'un sacré talon d'Achille : l'absence de rétro-éclairage qui rendait l'affichage très sombre. Du pain béni pour les constructeurs d'accessoires qui ont alors proposé toute une panoplie de solutions lumineuses, assez chères et gourmandes en piles. Ce qui n'a pas découragé Renaud, Damien et Cyril qui ont acquis ladite console. Ils ont pu s'amuser sur des titres comme The Legend Of Zelda : The Minish Cap, Final Fantasy 6 Advance, Funstar Super Heroes, Sword Of Mana, Fire Emblem, Advance Wars, Pokémon Rubis / Sapphire, Boktai, Golden Sun, Kirby : Nightmare In DreamLand, Mario & Luigi ou encore Super Mario Kart.
C'est à partir de 2001 que Microsoft se lance dans le domaine des consoles de salon, avec sa Xbox. Annoncée comme la plus puissante des consoles de l'ère PS2 / GC / Dreamcast, la Xbox possédait une architecture proche de celle d'un PC avec notamment un processeur Intel Pentium III cadencé à 733 Mhz (pour information, le processeur de la Wii tourne à 729 Mhz). La console pouvait même diffuser de l'image en haute-résolution (720p) moyennant l'achat d'un câble coûteux. Au-delà de la puissance, Microsoft a aussi mis en avant la dimension online de son bébé et notamment l'interface Xbox Live.

Pas forcément très esthétique mais particulièrement robuste (même après quelques chutes accidentelles), la Xbox n'a pas réussi à détrôner la PS2 malgré un succès certain aux USA. Il faut dire qu'il y avait de quoi faire malgré l'absence de gros RPG nippons : Dead Or Alive 3, Halo, Fable, Splinter Cell, Rally Sport Challenge, Star Wars Knights Of The Old Republic, Forza Motorsport, Amped, Ninja Gaiden, The Elder Scrolls III : Morrowind, Project Gotham Racing 2, Midtown Madness 3, Oddworld 3... A la Rédac', Virgile, Renaud, Jean-Marc, Benoît, Kevin et Damien ont été séduits.
Révolution en 2001 ! Nintendo décide enfin de se mettre au support CD avec le GameCube. Certes il s'agit d'un format propriétaire, de taille plus petite qu'un DVD, mais l'idée est là. Un format cubique, une poignée, une manette atypique, un prix plus abordable que chez les concurrents (et extrêmement bas à la fin de vie de la console - 99 euros -), Nintendo a voulu marquer sa différence. Cela dit, cela n'a pas suffi pour détrôner la PS2 et pour distancer la Xbox.

Niveau jeux, il y avait largement de quoi faire : entre le remake de Resident Evil, Resident Evil 4, The Legend Of Zelda : The Wind Waker et Twilight Princess, Metroid Prime, Luigi's Mansion, Baten Kaitos, Pikmin, StarFox Adventures, Super Smash Bros. Melee, F-Zero GX, Tales Of Symphonia, Donkey Kong : Jungle Beat, Super Mario Sunshine, Viewtiful Joe, Killer 7, Metal Gear Solid : Twin Snakes... De quoi conquérir le coeur de Virgile, Kevin, Damien, Maxence et Benoît.
Autre constructeur à se lancer dans la course aux consoles portables : Game Park qui proposait dès 2002 sa Game Park 32 (GP 32 pour les intimes). Il s'agissait d'une console « ouverte » sur laquelle les programmeurs pouvaient laisser libre cours à leur imagination en créant jeux et applications.

Le support a au final été énormément utilisé dans l'optique « émulation de vieilles consoles » ; ce qui lui a valu une réputation de « console rétro » alors qu'elle proposait également des fonctions multimédias et des éléments matériels assez inédits pour l'époque : lecteur MP3, port USB, écran LCD anti-reflets, lecteur de carte amovible... À la Rédac', c'est Kevin, notre grand collectionneur de consoles portables, qui a réussi à l'acquérir (la GP32 n'était officiellement vendue qu'en Italie, Espagne et Portugal sur le Vieux Continent).
Comme énoncé dans une diapo précédente, la console GameBoy Advance avait bien des qualités mais aussi un défaut important : son écran n'était pas éclairé. C'est en 2003 que Nintendo corrige le tir avec sa GameBoy Advance SP : une GBA au look clairement différent, doté d'un écran enfin éclairé si besoin (via un petit bouton à actionner). On note également une forme repliable pratique dans les déplacements : l'écran est désormais protégé et la console devient moins encombrante.

A la Rédac', Virgile, Renaud et Damien ont été conquis par ce modèle.
Fort de l'important succès de sa PlayStation 2, Sony propose dès 2004 une nouvelle version de sa console de salon phare : la PStwo. Ce modèle a fini par remplacer l'ancien au fil des mois. Sa grande finesse et sa légèreté (le volume a été réduit de près de 75% et le poids est passé 2kg à 900 grammes !) ainsi que l'ajout du port Ethernet (auparavant en option) ont été les principaux points positifs retenus par Maxence et Damien.
Si la GBA avait amorcé une nette évolution par rapport au mythique GameBoy et sa forme si particulière, c'est à partir de 2004 que Nintendo réalise sa petite révolution au niveau de ses consoles portables. C'est en effet l'année où la Nintendo DS est lancée. Si le concept d'une console à deux écrans rappelle clairement les Game & Watch, l'écran tactile, le microphone intégré, le Wi-Fi intégré permettant le jeu sans fil en local ou via Internet, les deux ports cartouches et les quelques fonctions multimédias (intégrées progressivement à la console) marquent clairement un bon en avant.

Des fonctionnalités qui ont marqué une vraie différence avec l'héritage GameBoy et qui ont parfois déstabilisé certains hardcore gamers. À tel point, que le spectre d'une hypothétique « GBA 2 » a longtemps plané sur la tête des joueurs sans réel démenti de la part de Nintendo qui y voyait sans doute là comme une bouée de sauvetage en cas d'échec de la DS.

Pourtant, et même si la console n'était pas très jolie et demeurait assez lourde, sa nouvelle manière de jouer a fini par attirer la plupart des joueurs, assidus comme occasionnels. Tout cela a abouti sur un immense succès commercial partout dans le monde et à un catalogue de jeux assez hétérogène : The Legend Of Zelda : Phantom Hourglass, Programme d'Entraînement Cérébral du Professeur Kawashima, Nintendogs, Animal Crossing : Wild World, Nintendogs, Mario Kart DS, New Super Mario Bros, Pokémon Diamant / Perle et Noir / Blanc, Professeur Layton, Dragon Quest IX, Elite Beat Agents / Ôendan...

À la Rédac', ce sont Kevin, Maxence, Damien, Virgile et Benoît qui se sont laissés tenter par ce modèle.
C'est à partir de 2004 que Sony se lance sur le marché des consoles portables avec sa PlayStation Portable (PSP). Et il ne fait pas les choses à moitié en proposant une console plus élégante et puissante que la DS, dotée d'un large écran de très bonne qualité et de fonctions multimédias avancées (internet, lecteur d'images, de vidéos et de musiques...). Le hic, c'est qu'elle a eu du mal à exister face au succès fulgurant de la DS, notamment compte tenu de ses quelques failles : un prix élevé, une autonomie faible, un format de carte mémoire peu courant (Memory Stick Pro Duo) et un format de disque propriétaire (UMD) induisant des temps de chargement et une nuisance sonore bien perceptibles.

Il n'empêche que la PSP a accueilli un certain nombre de jeux de qualité comme LocoRoco, Dissidia : Final Fantasy, Final Fantasy 7 : Crisis Core, Metal Gear Peace Walker, WipEout Fusion, Silent Hill Origins, Daxter, Monster Hunter Freedom Unite, Tales Of Eternia ou encore GTA Liberty City Stories... ainsi que des accessoires comme une caméra, un GPS ou encore un tuner TV.

À la Rédac', ce sont Virgile, Damien, Benoît, Maxence et Kevin qui sont passés par la case « achat ».
Alors que la DS est déjà lancée, Nintendo propose dès 2005 une nouvelle version de sa console Game Boy Advance baptisée Game Boy Micro. Assez coûteuse, elle demeurait très facile à transporter (80 grammes, 10 cm de long sur 5 cm de large et seulement 2 cm d'épaisseur) et dotée d'un niveau de finition fort appréciable. L'écran était plus petit que celui des anciens modèles (chose assez rare pour être remarquée) mais bénéficiait d'une luminosité bien meilleure. Nintendo a cela dit dû sacrifier le port permettant le jeu en réseau. Ce qui n'a pas effrayé notre Renaud national, qui s'est empressé de se la procurer à sa sortie.
Dès 2005, Microsoft lance la console qui succède à sa Xbox : la Xbox 360 (nom de code « Xenon »). Première console dite « next-gen », elle affiche des graphismes en haute-définition à l'heure où beaucoup de joueurs disposent encore d'une TV cathodique. Fidèle à sa ligne de conduite, Microsoft pousse sa plateforme de jeux en ligne Xbox Live et étoffe ses fonctionnalités. La console est d'ailleurs davantage orientée vers le multimédia et dispose de ports USB permettant la lecture de contenus vidéo, photo et audio.

En 2010, la firme tente une approche avec sa caméra à détection de mouvements, Kinect, pour contenter à la fois les joueurs occasionnels et assidus. Une approche qui redonne de surcroît un côté « innovant » à une console tout de même âgée de 5 ans. Elle demeure malgré son âge et ses soucis matériels, un support encore tout à fait viable, doté d'un catalogue assez fourni et varié. On y trouve des licences fortes comme Halo, Fable, Forza Motorsport, Gears Of War, Top Spin, Tales Of Vesperia, Mass Effect, GTA, Assassin's Creed, Dead Rising, Child Of Eden, Rock Band, Dance Central, Ninja Gaiden, Left4Dead, Dead Space... Ainsi que de jeunes pousses, souvent réalisées par de « modestes » développeurs indépendants, comme Limbo, Braid ou Shadow Complex, disponibles sur le Xbox Live Arcade.

De quoi intéresser tous les membres de la Rédac' : Renaud, Benoît, Virgile, Damien, Cyril, Maxence, Kevin, Nerces et Jean-Marc.

Alors que les pontes de Nintendo ont nié jusqu'au dernier moment son existence, la Nintendo DS Lite débarque dès 2006 en répondant quasiment à tous les reproches à destination de son aînée. Plus légère, compacte et élégante ainsi que dotée d'un écran de meilleure qualité, bien plus lumineux. Certains regretteront tout de même le côté glissant et brillant de sa surface ainsi qu'une croix directionnelle réduite de 16%.

Cette nouvelle version de la DS (la dernière à disposer du port cartouche GBA) a su conquérir la plupart des joueurs réfractaires au premier modèle de DS, voire même les acheteurs du premier modèle. La preuve : Maxence et Virgile sont repassés à la caisse pour se l'offrir ; Renaud, Jean-Marc et Nerces ont quant à eux profité de cette version pour découvrir cette « nouvelle manière de jouer ».
Dès 2006, Nintendo lance une nouvelle console de salon qui doit lui permettre de reprendre le leadership, en effaçant au passage une Gamecube un brin décevante en termes de ventes. Et si l'on en croît les chiffres, il a été bien difficile de dire « Non » à la Wii de Big N. En effet, alors que les PS3 et Xbox 360 misent beaucoup sur la puissance (leur permettant d'afficher des graphismes très détaillés en haute-définition), la Wii axe sa communication sur une nouvelle manière de jouer... un créneau dans le fond assez similaire à celui de la DS finalement.

Sauf que la Wii met en avant une technologie déjà existante mais encore peu connue du grand public : la capture de mouvements. L'occasion de proposer des titres multijoueurs festifs comme Wii Sports, Wii Play, Wii Party mais aussi des titres plus traditionnels dans leur approche comme Mario Kart Wii, New Super Mario Bros Wii, Mario Galaxy, Metroid : Other M, Super Smash Bros. Brawl, Disney Epic Mickey, Donkey Kong Country Returns ou encore Muramasa : The Demon Blade.

A la Rédac', la Wii a élu domicile dans les foyers de Virgile, Kevin, Damien, Maxence, Benoît et Cyril.
Après le succès retentissant des premières PlayStation, Sony lance dès la fin 2006 sa PlayStation 3. Attention, il ne s'agit officiellement pas d'une console de jeux vidéo mais d'un computer system, c'est-à-dire grosso modo une plateforme de divertissement numérique doté de nombreuses fonctionnalités multimédias.

En plus de la lecture des films au format Blu-Ray, la PS3 dispose d'un disque dur intégré, d'un navigateur web, d'un système d'exploitation permettant de consulter images, musiques et vidéos, mais aussi d'installer un autre système d'exploitation alternatif (possibilité supprimée par la suite). Contrairement à la Xbox 360, sa principale rivale, elle dispose d'une connectivité Wi-Fi et propose du jeu en ligne gratuit via sa plateforme PlayStation Network. Annoncée comme bien plus puissante que la console de Microsoft, la PS3 dispose au final d'un bon nombre de jeux portés quasiment à l'identique ainsi que quelques titres exclusifs.

Ce qui offre à Damien, Virgile, Benoît, Maxence et Kevin - heureux possesseurs de la console - accès à un catalogue de jeux plutôt solide et de qualité : Metal Gear Solid 4, les Uncharted, les LittleBigPlanet, WipEout HD, les Motorstorm, God Of War 3, Gran Turismo 5, les Dead Space, les Naruto : Ultimate Ninja Storm, Portal 2, etc. Sans oublier des projets plus modestes, puisque réalisés par de petites structures, mais pas dénués de qualité comme Flower, les titres PixelJunk ou encore Journey.
Annoncé depuis quelque temps comme le tueur de consoles portables par notre bien-aimé Nostra-Kevin-damus, l'iPhone d'Apple a été pourtant lancé au départ comme un téléphone évolué, un smartphone. Ensuite, les choses ont évolué, différentes versions de l'iPhone ont débarqué et le sémillant Steeve Jobs (grand gourou de la marque à la pomme) a commencé à parler d'une véritable plateforme de jeu, notamment dès le lancement de la boutique en ligne Apple Store en 2008.

Depuis, la plupart des gros éditeurs de jeux (Sega, Square Enix, Activision, EA...) y ont transposé tantôt leurs titres à succès - parfois en avance par rapport à la sortie des versions Xbox 360 / PS3 d'ailleurs - tantôt de nouveaux jeux exclusifs à ce support. Et n'oublions pas la multitude de jeux réalisés par les développeurs indépendants. De quoi titiller le porte-monnaie de nombreux joueurs comme Virgile, Kevin, Damien, Nerces et Maxence.
En septembre 2007, Sony lance la PSP Slim & Lite (ou PSP-2000), nettement plus légère et fine que son aînée. En plus de quelques modifications au niveau de la disposition de certains éléments, on retiendra l'écran un brin amélioré et l'arrivée d'une sortie TV pour jouer ou diffuser l'écran de la PSP sur un écran de télévision. Plus tard, un autre modèle de PSP Slim débarquera en boutique, la PSP-3000, dont la particularité majeure est de disposer d'un microphone.
Histoire de continuer à rendre attractive sa console portable, Nintendo lance dès 2008 la DSi. Il s'agit d'une console plus large que la DS Lite dotée d'un écran plus grand et un poil plus brillant. La DSi dispose d'un port SDHC permettant notamment d'exporter les photos prises avec les objectifs de la console (une des nouveautés principales). Elle perd le port cartouche GBA mais gagne l'accès à la boutique DSi Ware dans laquelle on peut télécharger un certain nombre de jeux et logiciels.

A la Rédac', Renaud, Jean-Marc et Damien se sont laissés séduire par ce modèle.
C'est bien connu, il n'y a pas que les PC dans la vie. Il existe aussi les ordinateurs Mac d'Apple qui font notamment le bonheur des infographistes et monteurs vidéo. C'est donc en toute logique Maxence, notre David Lynch à nous (auteur notamment d'une splendide vidéo screener de Dead Space qui de son aveu est « the best video ever »), qui utilise son Mac Book Pro pour jouer... en plus de monter des vidéos exclusives de gameplay, des reportages ainsi que des émissions publiées sur Jeuxvideo.fr.
Comme la plupart des humains de ce bas monde, tous les membres de la Rédaction ont été confrontés à un PC, ne serait-ce que pour vous proposer chaque jour des news, tests, previews dossiers et autres vidéos officielles ou maison. Polyvalent par essence, le PC sert également à bien des usages : consultation des mails, visionnage de films, écoute de musiques, surf sur Jeuxvideo.fr ainsi que sur un certain nombre de sites au contenu parfois un brin douteux...

Mais Jean-Marc, Renaud, Benoît, Maxence, Nerces, Virgile, Damien et Cyril font mieux : ils jouent avec ! Et cela, sur des jeux comme : Counter Strike, Team Fortress 2, Left & Dead 2, Civilization 5, The Witcher 2, Portal 2, World Of Warcraft, S.T.A.L.K.E.R., StarCraft 1 & 2, Unreal Tournament et même quelques curiosités comme Victoria II (pour l'ami Nerces) et Mario A Disparu (pour Cyril ; il s'agit d'un jeu éducatif avec comme héros Luigi, sorti en 1992 sur PC sous licence Nintendo).

Merci d'avoir consulté ce diaporama et bon surf !
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