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Publiée le 18/05/2011 à 00:05, par NatasFH

Dead Island

Pour la seconde fois, Deep Silver nous a invité dans ses locaux pour approcher le prochain Dead Island. Mais cette fois nous avons pu y jouer pendant quelques minutes histoire de se rendre compte de ce que promet ce défouloir sur zombis. Impressions.

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Attention à celui qui est au centre, il explose !
Tout commence dans une tour qui sert d’abri à plusieurs survivants. Ces derniers nous proposent quelques quêtes dont une qui nous réclame de partir en direction d’un phare dans lequel nous allons retrouver d’autres survivants barricadés. Bien entendu, la route ne sera pas de tout repos. Dans la peau d’une jeune femme, on commence par amasser quelques armes et l’on se dirige vers un établi pour les réparer, les améliorer et en créer de nouvelles. Dans sa grande mansuétude, l’équipe en place nous a fournit des plans d’armes et le niveau adéquat pour cette mission. Un peu de cheat ne fait de mal à personne surtout pour une session d’une demi heure. Une fois notre équipement complété, on se lance sur la route en suivant les indications du radar qui nous trace le chemin vers notre objectif. Après quelques pas, les premiers morts-vivants font leur apparition. On sent tout de suite que l’on n’incarne pas un super héros dans Dead Island. Le personnage est tout ce qu’il y a d’humain, avec des faiblesses marquées. Ainsi, une trop fréquente utilisation de son arme va fatiguer le héros et l’empêcher de bouger ou de continuer à attaquer. Pour éviter de tomber de fatigue face à ses adversaires, on prête attention à la jauge d’endurance qui apparait à chaque action. Pour survivre, il va également falloir utiliser toutes les options mises à notre disposition. Par exemple, on ne rentrera pas dans le tas si facilement. Les zombies se précipitent sur nous en courant et on leur balance alors un bon coup de pied pour les faire chuter. On peut ensuite les exterminer tranquillement à terre et sans risque de perdre de précieux points de vie. Une autre alternative consiste à balancer son arme sur les arrivants. Là encore ils tomberont au sol ou mourront sur le coup, la tête explosée par un bon coup de batte dans la tronche.

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Hmmm... Il va falloir trouver un autre moyen de locomotion...
Puis l’on tombe sur une voiture abandonnée. Chic ! Nous allons pouvoir jouer au bowling avec les décharnés. On se place donc au volant et on prend la route en vue intérieure. Nos ennemis utilisent toujours la même technique et se ruent sur notre capot. Ils finissent bien évidemment écrasés sous nos roues dans des gerbes de sang qui ne sont pas sans rappeler de la confiture de fraise. Un point qui, on l’espère, sera amélioré pour la version finale. Soudain, le pare-brise prend un mauvais coup et se fendille de toutes parts. Notre héroïne met alors quelques coups dans la vitre qui lui bouche la vue pour la faire tomber et libérer son champ de vision. Un point immersif en plus de la vue à la première personne qui n’est pas pour nous déplaire. Cette phase de conduite s’est avérée bien fun. Mais on note toutefois que la conduite est très raide et molle. La vitesse est très limitée et on préférera continuer à pied pour dézinguer du zombie à tout va.

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C'est lui ! Là ! Cet immense fou qui file des coups de boule !
Une seconde partie se déroulant plus loin dans la trame scénarisitque nous a aussi été présentée. On arrive directement au niveau 15 aux abords d’une église. Plusieurs zombies déambulent devant la porte et on remarque au milieu du groupe un type énorme dans une camisole de force. Ce dernier est pour ainsi dire invincible de face. Il va donc falloir ruser pour l’attaquer dans le dos. Sa technique de combat est simple : il fonce tête baissée tel un bélier pour faire un maximum de dégât. On utilise alors le système d’esquive qui consiste à enfoncer la touche de saut et se diriger à gauche ou à droite. Le monstre passe alors son chemin et se retrouve juste à côté de bonbonnes de gaz. On jette alors un couteau sur ces dernières, elles explosent et anéantissent le géant qui finit par cramer. Par la suite, nous avons pu essayer des armes améliorées comme la machette électrique ou les bombes collantes, toutes deux très efficaces à distance. Quelque soit l’arme utilisée, le plaisir sadique du démembrement et de la décapitation est au rendez-vous. Jouissif à souhait, on regrette que les cadavres disparaissent. On aurait aimé pouvoir contempler son œuvre une fois un paquet de goules mises à terre.

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Haaa le bonheur simple des corps qui éclatent...
C’est une version PC que nous avons pu essayer aujourd’hui. Malheureusement, le contrôle à la manette était imposé. La prise en main est rapide mais un petit temps d’adaptation est nécessaire pour bien maîtriser l’ensemble de la palette de mouvement, indispensable pour survivre. Le moteur graphique est efficace, sans plus. Comme nous le disions plus haut, le sang n’est pas réaliste pour deux sous mais au moins il coule à flot. Notre version d’essai s’est avéré bien optimisée, sans aucun ralentissement, même lorsque les ennemis se multiplient à l’écran. Que ce soit dans les palmiers, la verdure, la plage ou la ville, les environnements s’avèrent réaliste et détaillés. L’action ne manque pas de punch et on stresse souvent sous les assauts de nos adversaires, bien véloces pour des zombies. Il nous tarde maintenant d’en découvrir un peu plus sur ce Dead Island qui montrera son multijoueur à l’E3 de Los Angeles. Le jeu est attendu sur PC, PS3 et Xbox 360 dans le courant de l’année actuelle.
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